LES HISTOIRES D'AARKLASH


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FALION


- Il s'agite de trop derrière moi! déclara la LIONNE en se retournant de temps en temps vers son prisonnier.
Le garde royal agacé, stoppa pour la dixième fois de la matinée sa monture.
- Il n'a pas changé d'état, depuis hier soir, je croyais qu'en le frappant il aurait été d'ésenvouté, c'estce que vous m'avez dit non! Alors, Prenez patience encore une petite heure, nous arrivons au village de ces wolfens.
A peine avait il dit cela, que trois énormes ombres sautèrent de branches au dessus d'eux et attérirent juste aux côtés des chevaux ALAHANAIS. Surprises les pauvres bêtes hénirent en se cabrant de terreur, renversant par la même leurs occupants en arrière.
les trois chasseurs extrémement nerveux brandirent leurs longues lances au dessus de la gorge des deux voyageurs encore stupéfaite de cette attaque imprévue.
- Ma dame, je vous conseille de ne pas brandirent votre arme.
- Je ne suis pas suicidaire, messire! cracha t-elle indigné.
- Silence !! gronda l'énorme loup.
Puis se tournant vers l'un de ces comparces.
- Toi va chercher des liannes qu'on attache ces dangereux humains.
- Mais qu'est ce que vous racontez...
- Silence, j'ai dit ..! menaca le chef des chasseurs wolfens, le garde ALAHANAIS de la pointe de sa lance
- Emennez moi ces traitres jusqu'au village ou ils seront juger par la loi d'YLLIA et détachez moi notre allié. Continua le chasseur.
La troupe de chasseurs ramenèrent leur prisonniers comme des gibiers, mais lorsqu'il pénétrèrent à l'intérieur des restes de l'enceinte de protection, tout un atroupement entourait un étrange personnage vétu d'un long manteau dissimulant son visage au centre ddu village.
Juste au bordures de celle-ci des tentes d'AKKYNNLIEN avait été montaient dans un ordre parfait, ce qui contraster incroyablement avec les demeures wolfens presque entièrement calciné.
D'un grognement le chef de la patrouille arrêta sa section et partit en vitesse rejoindre le groupe de survivant.
Il revint quelques minutes plus tard, et avec un autre grognement gutural il reprit sa marche jusqu'a une petite cage près d'un gigantesque arbre.
Les deux chasseurs les transportant coupèrent les liens qui les ratachaient a la poutre de bois servant de support et les forcèrent à rentrer dans cette petite prison, puis ils prirent bien garde de les désarmer.
Puis ils tirèrent sur une corde de liannes qui les monta haut dans les airs.
- Et maintenant que va t-on faire? demanda la LIONNE avec sarcasme.
- Attendre !lui répondit simplement le capitaine de la garde en croisant les bras.

Leur attente dura des heures, subitement vers la fin de journée la cage se mit à descendre.
En bas le commandeur des griffons les observait de façon inquisitoire, enfin du moins ils le percevaient de la sorte.
Quand enfin la base de leur geôle se posa sur le sol, le grand inquisiteur se pencha vers eux et parla.
- Alors voila ce que m'offre votre roi comme renfort! un soldat d'élite et... une femme, exprima le moine guerrier en appercevant la jeune fille de dos. Eh bien bravo, je n'en attendez pas autant.
- Laissez moi vous expliquer...
D'un signe de la main, il interrompit sa tirade et d'une autre il ordonna à l'un de ses lanciers d'ouvrir la porte de la cage.
Les deux guerriers d'ALAHAN sortirent de ce cube de bois et s'éttirèrent les membres.
Là, avec grande stupeur le commandeur reconnu l'ancienne prisonnièrent, désormais visible.
- Dame LAUREENA, est ce bien vous !
- "LAUREENA !" murmura FALION pour lui.
- Maitre COVIAN, je ne pense pas que ce soit réellement un plaisir de vous revoir, je vous prierez donc d'être plus poli à mon égard.
- Ne soyez pas si hargneuse, même entre ancien ennemi.
- "Ennemi!"écouta le garde du roi.
- Vous avez du fouiller nos affaires comme à votre accoutumé, je présume! vous savez donc pourquoi nous sommes ici.
- Bien entendu ma chere, votre présence nous honnore.
-Bien ..! donc je vous prierez de vous adresser à mon supérieur dorénnavant, voici sir FALION de FIRAEL, capitaine de la garde royale et chef de cette mission. Maintenant , si je suis libre, laissez moi me soustraire de votre présence.
La jeune héroïne du royame d'ALAHAN s'en alla vers le puit du village dévasté, sous le regard amusé du commandeur.
Celui-ci retrouva un sérieux terrifiant quand il se tourna denouveau vers le colosse du roi.
- Comme cela, vous êtes venu me protéger!
- Oui commandeur!
- Pourquoi? Je n'ai aucun besoin de garde du corps, que veux en réalité votre roi?
Le grand inquisiteur fixa intensement le soldat de GORGYN qui tint bon son regard. COVIAN en fut impréssionné.
- Félicitation, tu as réussi la première épreuve, tu as du courage tu fais honneur à ton peuple. Maintenant, suis moi jusqu'a ma tente, nous allons parler de ta mission. termina t-il en l'invitant à le suivre.
Tous deux se dirigèrent jusqu'à la maison de toile qui servait de quartier général, mais une voix derrière eux les stoppèrent.
- Des morts-vivants .. Commandeur! Hurla un templier éssoufflé, des morts-vivants.


NIGTHMARE


Le gob de gobland était stupefait de voir un clone de Salia, il comprit mieux quand il vit quelques alchimistes de dirz s'agitaient dans le laboratoire. Le gob eut soudain un exces de rage en voyant ses ennemis de toujours.
- Maudits batards!
Les alchimistes tournèrent la tête et énervé par son insulte ils s'avancèrent.
- Nous chercherais tu vermisseau, s'exclama un neuromancien.
Le minotaure le stoppa, puis un questeur vint trouver le gob.
- C'est donc toi qui as été choisi pour nous aider, bien. Vois tu ce clone de la fiana dans le bocal.
- Bien sur, chui pas aveugle.
- eh bien tu devras la livrer au village wolfen.
- Comment avez vous fait ça?
- Nergal, spectre obscur a blessé la fiana, près avoir prélevé du sang de son crève coeur les alchimistes sont parvenus avec du temps à créer ce clone.Un tel ouvrage a valu un bon nombre de gemmes de ténèbres mais cela en valait la peine.
- Je dois donner le clone aux wolfens, je pense qu'il faudra que je demande une rançon...
- En effet pour plus de réalisme, d'ailleurs tu la cachera d'abord puis tu leur indiquera le lieu où elle se trouve.
- Mais quel est votre intérêt dans tout ça, un clone ne peut pas avoir le caractère de la personne elle même, ils découvriront en un rien de temps que c'est un leure.
- Pas tout à fait, mon maître controlera le clone, nous lui avons greffé une gemme de ténèbre, ce qui permet d'en faire ce qu'on veut.
- Et?
- Tu n'as pas besoin dans savoir plus!
- Je veux savoir!
- Est ce un ordre petit gobelin?!
- Euh? non! une dernière question, peut elle être controllé infiniment?
- Non! Au bout d'une journée elle se consumera. Pour aller plus vite le clône et toi serez transporté par des anges morbides.
- Comment?!
- Tu n'es pas en mesure de discuter et puis tu es mouillé jusqu'au cou, si tu nous trahi nous te retrouverons. Réfléchis y bien!

Le guerrier en armure bleu s'arrêta.
- des MVs sont là, je pressens aussi une nécromancienne, je ne peux pas intervenir pour l'instant, je vous rejoins un peu plus tard.
Karthar s'exprima:
- mais que se passe t'il donc?qui es tu réellement.
- tu as juste besoin de savoir qu'il ne faut pas qu'Achéron sache que je vous ai contacté.
Le guerrier disparut dans un voile de ténèbres.
- Prêt pour le combat les gars?

Le questeur avait quelquechose d'important à dire au seigneur démon, cependant celui ci lui demanda d'attendre, aussi important soit il le message pouvait attendre. Il devait avant tout neutraliser les gêneurs, jusqu'à présent toutes les tentatives avaient échoué, cette fois ci ça devait marcher. C'est pourquoi le démon voulait être concentré, le questeur devait attendre quelques heures, il s'en alla donc et se dirigea vers le laboratoire. Gob devait une fois arrivé,ligoter le clone et le cacher puis indiquer la cachette aux wolfens en échange d'or et partir.

- Les morts vivants nous attaquent!
- Rester groupé s'écria Covian!
Une première troupe de pantins avança, elle fut vite anéanti par les fusiliers griffons. Les wolfens massacrèrent sans mal les misérables créatures. Soudain melmoth accompagné d'un quinzaine de guerriers squellettes se rua à l'assaut. Il se dirigea vers la Lionne avec trois guerriers, celle ci eu du mal à faire face.
Peu à peu tout le monde était dispersé. Mais il en fallait plus que ça pour en finir avec les wolfens et les griffons accompagné de deux élites lions et ils parvinrent à se défaire de la plupart de leurs ennemis.
Tout à coup les morts vivants se mirent à reculer puis se retranchèrent.
Le gob de gobland allait bientôt arrivé avec le pantin tueur, lui et sa facheuse manie de fouiner partout allait lui en faire baver...


LE GOB DE GOBLAND


Le gob de gobland serra les liens du clône au maximum. Elle n'aurait aucune raison de s'échapper puisque contrôlée par les morts vivants, mais cela permettait au gob de passer ses nerfs sans risques de représailles. Comme à son habitude, le gob marmonna pour lui même :
"Une fois de plus je vais morfler. . . aller traiter avec des wolfens, il est marrant le gars ! J'espère que Nirhüne est toujours sur les lieux, au moins il pourra me couvrir si ça foire !"
Il balança encore un petit coup de tatane à la fianna, histoire de "vérifier si les liens sont biens comme il faut", puis se dirigea vers la sortie de la grotte.

Nirhüne cria. Malgré lui, un son strident était sorti de sa gorge. Les morts vivants étaient partout, ils relançaient une attaque sur le village wolfen. Prenant son courage à deux mains, il envoya son pied défoncer le thorax du pantin morbide qui lui faisait face. Puis, se planquant sous la couverture qui lui avait servi de refuge depuis qu'il était là, il tenta d'observer le plus attentivement possible la suite des événements.
Il y avait eu un beau boxon dans le village : tout avait commencé avec l'arrivée de deux prisonniers, des alahan, une femme assez mignonne mais avec un caractère de guenon, et un gros balaise en armure lourde qui semblait supporter sa compagne avec la plus grande difficulté. Les deux arrivants avaient fait sensation et avaient été libérés quelques minutes plus tard. La gonzesse semblait bien connaître le chef des griffons, celui que l'on appelle Covian.
Puis il y avait cet étrange guerrier. Un sombre personnage en armure bleu sombre, qui était entré dans le village avec un wolfen nommé Khartar, et qui n'avait par la suite plus fait parler de lui.
Mais pour l'instant, dans le village, c'était la guerre. Une véritable bataille rangée. Le bruit des armes résonnaient dans tout le village. Les deux alahans se battaient tous deux remarquablement bien et abattaient leurs ennemis les uns après les autres avec brio. Les morts vivants tombaient les uns après les autres avec une régularité mécanique. Très vite, il n'en resta plus un seul dans le village. Les alliés avaient gagnés et pensaient en silence leurs plaies, tout en enterrant les quelques guerriers qui étaient tombés pendant la bataille.

Nirhüne sourit. Sa planque allait se terminer, il allait bientôt devoir ressortir du village et retrouver son chef à la grotte.
C'est alors qu'un grand tumulte figea son sourire sur ses lèvres. Un attroupement s'était formé près de l'entrée du village. . .

Le gob de gobland frissonna : un wolfen c'est encore plus laid vu de près. Complètement encerclé par un groupe hargneux de prédateurs, le gob ne se donnait pas une chance sur dix de survivre. D'ailleurs, s'il n'avaient pas gardé les mains ouvertes et levées au dessus de sa tête en signe de paix, il serait déjà mort depuis longtemps.
Fendant la foule des curieux, un inquisiteur avança vers lui.
- Tiens donc ! Il y a aussi des gobs dans cette forêt maudite ? Prépare toi à subir le jugement de dieu misérable petite merde.
Le gob de gobland fronça les sourcils. Depuis le début de cette histoire, tout le monde le méprisait. . . il serait peut être temps de se faire un peu respecter.
- Casse toi, larbin ! Je veux parler au chef des wolfens et à personne d'autre !
Un signe attira l'attention du gob. C'était Nirhüne, planqué sous une couverture, qui le regardait ébahi. Discrètement, le gob de gobland lui fit signe de foutre le camp au plus vite. Puis il fut trainé devant un wolfen particulièrement grand.
- Que nous veux tu misérable peau verte ?
- Discuter. . .Juste discuter . . .
- Et, de quoi ?
- D'une jeune fille.
Les wolfens se regardèrent, subitement calmés. Khartar prit la parole.
- Où est elle ? Parle ou tu mourra !
- Toute chose à un prix, de plus, s'il m'arrive quelque chose, vous ne la reverrez jamais !
- Combien !
- Tout d'abord, vous devez savoir que si cette demoiselle est en ma possession, ce n'est pas par choix personnel ! Je l'ai récupéré au cours d'une bataille, alors qu'elle était sur le point de se faire enlever par des morts vivants. . .si je n'avais pas été là, elle serait déjà morte. . . Aussi, je vous propose de vous dire où elle se trouve, en échange de quelques pièces d'or, et puis. . .
- Et puis ?
- Disons. . . une sorte de tolérance ! Je n'ai pas vraiment d'amour pour les morts vivants, et je déteste les dirz. Nous avons donc, à défaut de but communs, au moins des ennemis communs ! Aussi, ce serait sympa, si, au cas où on se retrouveraient, vous pouviez vous souvenir de ce que j'ai fait pour vous, et aussi que, dans cette histoire, nous n'avons pas à être complètement ennemis !
- C'est ridicule ! Les gobelins sont des monstres, nous les éradiquerons tous à vue.
- Et vous en reverrez jamais la fianna ! Sans parler du fait que je m'allierai alors avec les morts vivants, vous faisant un ennemi supplémentaire !
Le wolfen se renfrogna, puis du bout des lèvres déclara :
- Conditions acceptées. . .
Ravi, le gob de gobland empocha l'or, leur indiqua la grotte, puis tourna les talons et disparu, à la recherche de Nirhüne.


DI STEPHANO


Les deux gobs étaient partis depuis près d’une demi-heure, ils avaient traversé la plaine devant le village désormais rouge du sang des nombreux protagonistes des affrontements des dernier jours. Un observateur a l’œil attentif pouvait voir, à la lisière de la forêt bordant la plaine, progresser discrètement une petite troupe de trois exécuteur :
- pourquoi les avez vous fait suivre commandeur ? Il semble ne nous poser aucun problème.
- Cela est vrais sir falion, mais sachez qu’il faut toujours se méfier des gobs ! Mes hommes ont pour ordres de les suivre et d’évaluer l’ampleur de la menace gobeline, car là où il y a un gob il y en a forcement d’autres ! Si en effet il y a menace mes exécuteurs devront y mettre un terme en assassinant les leader !
- Allons nous devoir affronter les gobs en plus des autres ?
- Pas dans l’immédiat je pense, mais je pense que cela sera inévitable , de plus quelque chose me tracasse… les gobs ont réclamé de l’or en échange de la fianna !
- Oui et alors ?
- Ils l’ont accepté sans marchander, cela n’est pas dans leurs nature ! Et pourquoi être venu nous voir nous et pas les émissaire d’acheron? Cela ne colle pas les ténébreux pourraient leurs offrir bien plus que de l’or !
- Mais vous l’avez dit vous même se sont des gobs, des créatures nuisible !
- Certes nuisible mais maligne, ces créature ont un don pour la traîtrise et le complot ! Cela sent mauvais je vous conseil de rester sur vos garde !
La plaine devant les deux guerrier avait une allure de charnier, dirz, wolfen, griffon et reste de mort vivant était entremêlé dans un repos survenu de façon prématuré. Deux équipe de griffons parcourrait la plaine a la recherche de cadavre des alliers pour les déposer sur le bûché qui brûlait déjà depuis un jour entier. L’inquisiteur avait ordonné que les cadavre soit brûlés afin que la nécromancienne ne les réveille pas, le morale des troupes aurait sévèrement chuté si il avait eu à se battre contre leurs frères tombés. Soudain deux grand guerrier wolfen surgirent du village et se dirigèrent vers l’inquisiteur :
- Notre chef vous confie la mission d’aller récupérer la fianna.
- Bien laissez nous une heure et elle sera de retour au village.
Sur ceux les wolfen retournèrent à leurs occupation et l’inquisiteur prit un pas décidé vers le camps des Akkylaniens.
- Vous laissez les wolfen vous donner des ordres ?
- En effet, j’en sui venu a la conclusion qu’étant leurs alliers ici, ils ne s’en prennent pas à nos frontières, c’est donc une action de diplomatie ! Sinon jamais je ne me laisserait commander par ces créature hérétique !
- Ah….
- Bien occupons nous de cette fianna…
Covian se dirigeât vers la célèbre lionne rousse. Celle-ci depuis son arrivée n’avait échangé que peu de mots avec l’inquisiteur, elle ne faisait que se battre mais elle le faisait bien. En face d’elle l’inquisiteur ne pouvait que faire preuve d’arrogance et être extrêmement moqueur .
- Ah ! Dame Laureena ! Vous voilà, j’ai une mission a vous confier, une dangereuse mission !
- Ah oui ? Quoi comme mission ?
- Vous devez escorter mon second, Gabriel, pour aller récupérer cette fianna, mais attention il se pourrait que ce soit un piège tendu par des….Gobs !
- Vous cherchez délibérément a m’humilier ?
- Possible…Dépêchez vous je vous donne une heure !
L’inquisiteur s’éloigna un sourire éclairant son visage caché par le masque d’ivoire. La lionne était furieuse ! Comment osé t’il l’humilier de la sorte ? Un jour ou l’autre elle aurait sa revanche !
Quelque temps plus tard l’expédition revint, pour accéder à la grotte le groupe avait du traverser un marécage et une partie de la forêt. Les soldats de l’escorte étaient extenués, Gabriel lui allait plutôt bien les soins du shaman lui ayant redonné des forces. Par contre pour la lionne rousse, grande et célèbre légende de tout alahan, sorti victorieuse de nombreuse bataille, sujet de nombre de chanson, la voilà réduite a l’état de simple garde du favori de l’inquisiteur ! Elle était dans un état lamentable, sa tunique avait perdu le rouge éclatant d’alahan, sont armure était recouverte d’immondices, ces cheveux, ébouriffés cachaient son beau visage couvert de boue.
- Gabriel ! Au rapport !
- Mission remplit avec succès, la fianna est de nouveau des nôtres !
- Et vous Laureena… rapport !
La lionne ne laissa échapper qu’un grognement et disparu vers sa tente sous les brimades des hommes du griffon, jamais elle ne fut autant humiliée ! Cela ne pouvait plus durer.

Au même moment les exécuteur suivaient toujours les deux gobs. Les nuisibles avaient depuis peu pénétré dans le territoire récemment passé sous le joug d’acheron. Les exécuteurs préparèrent leurs armes si il fallait en découdre ils ne regretteraient pas d’être venu !


FALION


Voyant le trouble assaillir à cet instant sa compagne de route, le garde royal prit congé auprés du commandeur griffon en s'excusant humblement. Il sortit ensuite précipitement de la tente de commandement et se dirigea avec un peu de retard vers le refuge de la jeune fille.
Durant son parcours, le grand soldat du roi GORGYN fit taire tous les guerriers d'AKKYNNALIE d'un regard mécontent.
Puis une fois arrivé devant la toile qui condamnait l'entrée de sa tente. Il s'arrêta net et demanda la permission de rentrer. Mais celle-ci lui refusa l'accés presque immédiatement.
- Voyons ma dame, laissez moi rentrer, j'ai à vous parler! posa calmement le colosse.
- Je vous ai dit non, il me semble! Alors restez dehors. cracha coléreuse la grande dame.
- Bon, puisque vous ne me laissez plus le choix!
Sans attendre, il pénétra les lieux sans permission et vit ce qu'il n'aurait jamais du voir. La grande héroïne du royaume versait quelques larmes de tristesse. Tout à coup le garde du roi se sentit mal à l'aise et se retourna à l'opposé de la jeune femme en un instant.
- J'espère que vous ne raconterez jamais ce que vous venez d'appercevoir ou sinon je me verrai dans l'obligation de demander réparation auprés du conseil du roi! est ce bien clair! parla hargneuse la LIONNE.
Confus, le jeune homme d'ALAHAN acquiésca seulement de la tête.
- bon que vouliez vous me dire, vue que maintenant vous êtes ici. demanda plus calme la jeune femme ALAHANAISE.
- Eh bien voila! Vous savez certainement pourquoi nous sommes ici, donc j'aimerais bien savoir, pour la réussite de notre mission ce qui c'est passé entre vous et notre allié griffon afin de mettre les choses aux claires une fois pour toutes.
- Ceci ne vous regarde pas que je sache, elles sont strictement personnelles,.. capitaine! Je n'ai de compte à régler avec personne, ni avec vous , ni avec lui. Si ce n'était que pour cela, laissez moi me reposer et me nettoyer de cette infâmie dont je porte encore les traces, je vous prie.
FALION poussa un grand soupir d'agacement et s'appréta à sortir quand devant la toile la voix particulière de GABRIEL lança une tirade.
- Dame LAUREENA, veuillez pardonner à mon maître ces propos blessants ainsi qu'a nos hommes pour leur manque de politesse. Moi je sais ce que vous avez du endurer pour retrouver cette fianna, et je l'ai clairement expliquer à mon seigneur. Pour ma part je serais eternellement reconnaissant de m'avoir tirer vivant de ces sables mouvant. J'ai une dette envers vous et je compte bien la régler, soyez en sûr.
Puis sans un mot de plus, le bras droit de COVIAN se redressa et repartit vers la tente de son supérieur.
Le chef des gardes royaux se retourna une dernière fois vers sa compagne et lui signifia qu'elle devait se tenir prête dans l'heure qui suivait. Celle-ci le salua en grimaçant et commença à retirer son armure sans aucune pudeur devant son supérieur.

D'un pas pressé le soldat de GORGYN se dirigea cette fois vers la tente ou se reposait la jeune fianna, pour l'interroger. Juste devantl'entrée deux chasseurs wolfens lui barra le passe de leurs lances. malgré sa position il ne pu rentrer à l'intérieur, c'était les ordres de KERSIOS. déclarant forfait, il abandonna sa résolution et repartit dans l'autre sens, mais en chemein il croisa un énorme prédateur au pelage noir, aussi noir que la nuit la plus sombre. Il le suivit du regard tout le long de son cheminement, jusque devant la tente de la jeune keltoise.
Devant le monstreux fauve les deux plus jeune s'écartèrent et le laissèrent rentrer.
le grand guerrier d'ALAHAN voulu repartir quand dans la tente il eut une sorte de râle de colère très bestial .
Les deux wolfens rentrèrent à la hâte à l'intérieur, tandis que FALION se précipitait vers la tente.
Soudain Une jeune Keltoise traversa la porte en toile en vol palné et s'écrasa bléssé et à moitié consciente aux pieds du garde royal qui en stoppa sa course par reflexe.
L'énorme wolfen noir sortit coléreux et en hurla de rage, il se dirigea à vive allure vers la fille au sol.
KARTHAR s'appréta à se saisir de la fille quand le garde royal se mit en face de lui et le repoussa.
- Laissez cette fille tranquille! carcha le guerrier d'ALAHAN.
Le rafus provoqué par la colère du prédateur rameuta tous les grands pontifs jusqu'au lieu de l'accident. Ils virent le colossse en armure blanche défier l'énorme bête.
- Que ce passe t-il ici? demanda KERSIOS à son subordonné.
Le commandeur COVIAN fit de même avec son garde du corps.
- Qu'est ce que cette créature fait ici? lança plein de haine le monstreux prédateur en montrant la fianna de son doigt.
- Voyons, qu'est ce qui t'arrive ? Tu le vois bien c'est SALIA ! calma le chef de la meute.
- Cette créature n'est pas ma SALIA. Elle n'a pas son odeur habituel de fleur de cerisier blanc.
- GABRIEL ! hurla l'inquisiteur.
Celui-ci arriva sur le champ au côté de son seigneur et s'inclina respectueusement.
- appellez moi dame LAUREENA immédiatement.
D'un autre salut le protégé du commandant s'en alla précipitement.
- Bon réglons cette histoire calmement. Proposa le chef des griffons. En attendant il faudrait enfermer ce supposé imposteur, le temps d'y voir plus clair. Grand KERSIOS ai-je votre accord.
le grand et sage wolfen ascquiésca la tête en guise de réponse.
- Très bien que deux hommes surveillent la prisonnière avec ces deux chasseurs wolfens. Nous allons attendre que mes éxecuteurs reviennent faire leur rapport.
Sur ces mots il repartit avec FALION sous la tente de commandement.


NIGTHMARE


Les deux éxecuteurs comprirent que leursdoutes étaient fondés quand ils virent les deux gobelins dans le territoire de leur soit disant ennemis. D'un pas rapide l'un d'eux contourna les gobs par des falaises tandis que l'autre restait en arrière pour leur couper toutes retraîtes.
- Halte, que faites vous ici?
- Heu? je peux tout expliquer!
Les deux gobs prirent leurs jambes à leur cou mais ils furent stoppés par le deuxième exécuteur, soudain celui ci eu une expression d'horreur.
- Derrière toi, un guerrier crâne!
L'autre n'eut pas le temps de réagir, la lame de carnage de Melmoth embrocha l'executeur le faisant cracher une gorgée de sang. Le deuxième fanatique entendit une voix obscure, il sentit s'est force l'abandonner à mesure que les paroles étaient prononcées. La putréfaction s'empara de son corps puis puis plusieurs mains squelletiques le saisirent et le perforèrent de leurs lames. Le gob de gobland fut content de ne pas avoir fini ainsi.
- Merci les gars, c'était moins une.
Melmoth ricana prêt à abbatre sa lame sur la demi portion.
- qu'est ce tu fous? chui votre allié, j'ai aidé un haut démon, j'ai fait ce qu'il m'a demandé, vous pouvez pas me faire ça.
Azael parla:
- Combien même tu auras aidé un haut démon, à quoi cela lui servirait de te garder.
Nirhune et Gob se regardèrent, plus de fuite possible, leur destin était t'il de mourrir?
Des battement d'ailes les attirèrent, des anges morbides s'apprêtaient à mettre pied sur terre.
- Que voulez vous? demanda la nécromancienne.
- On les embarquent, ordre de Nightmare.
- Bien, si il veut sans encombrer, c'est lui qui décide. Les deux gobs furent emportés dans les airs par les anges morbides, Azael rescussita les deux griffons.

Radium campait près des ruines de stylus, à côté de lui se trouvait un gros sac. Soudain il vit trois spectres dont celui de l'autre jour. Il dégaina ses six épieux.
- Qu'est ce que vous voulez?
- Ce qu'il y a dans ce sac!
- Et pourquoi vous le donnerais-je? il faudra vous battre!
- L'issue du combat est incertaine, nous sommes et tu es tout seul et même si tu nous échappes ou que tu parviens à nous tuer, Achéron de recherchera et te tortureras, ce n'est qu'un question de temps!
- qui vous a dit où j'étais?
- ton ami Gob!
- Dans ce cas, je crois qu'il n'a pu faire qu'un choix juste. Prenez ce sac.
- Bien et tu vas nous suivre!
- A ça non! jamais!
- Tu ne veux pas revoir ton ami Gob?
- Bon je viens...
Il monta sur son rat et suivit les spectres avaient désormais la fianna tant convoitée par Achéron.

La "suposée" Salia restait enfermé, la cale était gardée par deux guerriers wolfens. D'un coup elle se mit à supplier les wolfens.
- Je vous en prie sortez moi d'ici, comment pouvez vous me faire ça, vous me reconaissez bien, je suis Salia. S'il vous plait.
Elle se mit à pleurer.
Les wolfens n'y tenirent plus.
- On peut pas la laisser comme ça, ça ne peut être que Salia.
- Tu as raison je vais lui laisser prendre un peu l'air quelques minutes.
Il entra dans la hutte et il bougea la grille qui enfermait le "pantin tueur" et à son grand étonnement il se jeta sur lui et d'un coup lui brisa la nuque. Puis la fausse Salia prit l'arme du wolfen. L'autre vint voir ce qui se passait. Elle l'attendait dans un coin de la hutte, elle lui plonga l'arme dans le dos, le loup s'écroula.

Seigneur Covian appela le shaman vous et votre suite devez venir chez moi tout de suite, ainsi que Kersios.
Covian accompagné de Gabriel, de la Lionne et de Falion pénétrèrent dans la grotte.
- Vous nous avez convoqué? son regard se stoppa sur un grand guerrier équipé d'une armure bleu sombre.
- Qui êtes vous?
- Qui je suis à peu d'importance il est temps que je vous dise à tous le potentiel de Salia!
Kersios entra.
- Que se passe t'il, Aerok.
Aerok, le shaman wolfen parla:
- Ce guerrier va nous renseigner sur le potentiel de Salia! Parlez, combattant.
- Bien, je vais être bref, le temps m'est compté. Les dolmens sont au nombre de trois, ce sont une source incroyable de puissance. Salia possède une force de lumière en elle. Les dolmens ont été crée pour un idéal de pureté, le temps est venu de révéler leur pouvoir. Les trois dolmens doivent être réunis, un élu de chaque peuple devra prononcer les paroles des forces originelles alors la puissance des pierres sera révélée. Tout ce qui a été corrompu, pour être plus précis,tout ce que ce qui est contre nature sera anéanti plusieurs dizaines de mètres à la ronde. Les dolmens ne peuvent rien contre ce qui a toujours existaient dans Aarklash, comme les démons mais peut détruire tout ce qui a été modifié par le chaos. Le toucher des élus les brulera, les dirzs et les gobelins mutants ne se doutent de rien mais ce sera aussi ravageur pour eux que pour les pantins d'achéron.
- Quels sont les autres élus, demanda Covian?
- je pense que ce jeune wolfen, qui est attiré par Salia en fait partit. Pour les daïkiness je ne sais pas!
Un griffon fit irruption.
- Sir, salia et les deux gardes ont été attaqué, elle a quelquechose d'important à vous dire!
Falion et Gabriel firent signe de l'accompagner mais Covian voulut y aller seul.
Elle l'attendait dans sa tente.
- Qu'y a t'il que s'est t'il passé?
- J'ai tué ces deux loups et tu vas être le prochain!
- comment par Merrin, quelle créature maléfique es tu?
Un poing d'acier s'abbatit sur son visage, le propulsant à terre.
Au loin il entendit la voix d'un wolfen criant que les morts vivants attaqués. La fausse Salia se jeta sur lui, celui ci appela à l'aide la force de merrin, usant beaucoup de ses forces il envoya une boule de feu sur son ennemie qui éjecta celle ci en la brulant. Cependant cette créature était hors du commun. Elle se releva et revint à la charge, lui envoyant un coup de pied dans le tronc, ce qui eut pour effet de lui couper le souffle. Il se reprit, la foi de merrin était avec lui, il planta sa lame dans le corps du pantin fianna. Soudain il se sentit affaiblit par les incantations d'une nécromancienne. Il perdit trop de force pour faire face efficacement à son adversaire. Celui ci s'apprêtait à achever le commandant à terre quand une lame transperça la fausse fianna qui s'écroula. Le combattant en armure bleu apparut, Azael aussi entra.
- Toi!ici?!
Celui ci lui envoyant une boule noire et aida le comandant à se relever.
Derrière Kersios les attendait avec le shaman.
- Nous avons pris une décision, toi commandant, le garde royal, la lionne, gabriel et Aerix partirait chez les Daïkiness, avec eux vous pourrez tenter de retrouver Salia si ils ne l'ont pas déjà tuée.
- Et vous, je ne veux pas vous laisser!
le shaman prit la parole.
- Fuyait pendant qu'il en est encore temps, le village et perdu mais nous vendrons chèrement notre peau.
- Je ne partirais pas sans vous!
Kersios fit un signe au mystérieux guerrier.
Covian fut assomé. A cheval les atttendaient tout le groupe d'élite et le jeune wolfen qui ne put s'empêcher de pleurer. au loin ils virent Karthar se jeter dans la masse de morts vivants fou de rage et brisée, sans aucun espoir de revoir un jour Salia. Covian fut hissé sur un cheval, puis ils furent prêt à partir au galop, Melmoth et deux zombis leur bloqué la route, Kersios se jeta dessus.
- Fuyez!!!
Au fur et à mesure que les chevaux couraient ils voyaient le village se détruire peu à peu, Achéron avait gagné une bataille mais pas la guerre.

Le haut démon perdit le contact avec son réceptacle.
- Que c'est t'il passé, par Belial! De toutes manières le village est perdu.
Les portes de la salle du trône s'ouvrirent.
- Gob de gobland j'ai encore besoin de toi!
- ça!...
- Qu'as tu dis?
- je disais:oui sir!
- Premièrement Gob, quel est ton rôle dans tout ça, que faisais dans les parages et pourquoi suis tu ce mutant à six bras?
- Ben euh? comme ça.
L'un des minotaures s'avança et le frappa, ce qui l'envoya à terre.
- Aie*! D'accord d'accord c'est pas par hasard.
- Ah oui et aussi, j'aurais besoin de mercenaires, hum, ce fameux vorak et ses orques m'ont l'air efficaces, cela doit être dans tes cordes de les contacter. Il y aura de l'or!
Les yeux du gob s'illuminèrent.
- Pour moi aussi?
- si tu fais de bon boulot, oui!...


SELKETH


Jarkhan et Selketh arrivèrent enfin à la sortie du bois. Une odeur nauséabonde se dégageait du village. Selketh comprit rapidement quand il vit les cadavres qui jonchaient le sol. Des griffons, des wolfens, des squelettes par centaines. Une nouvelle attaque avait été porté sur les loups mais pour quelle raison? Comment Achéron avait osé défié 2 peuples et pas des moindre? Tout en se posant des questions, il fouillait le village à la recherche d'un quelconque indice.
-La bataille est récente Jarkhan. Je dirai une heure ou deux. Mais si il y a des survivants, ils sont déjà partis.
Un carreau vint se planter dans l'épaule de Selketh. Des horribles akkyshans sortirent de l'ombre.
-Ne bouge plus Selketh Samaris. Au nom de Achéron, je t'arrête.
-Achéron? Tu es à la solde des cadavres? Traître!
-Tu ne me reconnais pas? Je suis l'assassin que tu avais acheté. J'ai fui du combat contre les chasseurs. Et j'ai retrouvé les miens. Ta tête est déjà mise à prix partout sur Aarklash. Les tiens ne t'aideront pas cette fois tu es seul.
Les elfes ligotèrent Jarkhan puis l'égorgèrent sans que le scorpion puisse réagir. Orka s'énervait sur le côté, ses poils se hérissaient déjà.
-Calme ton animal. Ce n'est pas avec ça que tu défieras les MV.
Une voix étrange se fit entendre.
-Tuez-les...jusqu'au dernier!
De derrière les ruines du village, des alchimistes chargèrent. Un fier soldat brandit son épée-hache. Arkéon, Arkéon Sanath la légende de Dirz! En moins de temps qu'il ne faut pour le dire les troupes elfiques furent anéantis. Selketh tomba à genou devant son maître.
-Pardonnez-moi Bashar j'ai échoué.
-Cela fait longtemps que je le sais même si tu ne t'es pas avoué vaincu immédiatement. Tout le temps je t'ai surveillé. La Scorporation a suivi tes moindres faits et gestes depuis le début. Tu n'as pas comblé toutes me attentes mais je pense que Kayl t'as surestimé. Peu importe tu en seras puni. Tu subiras l'épreuve du cobaye puisque tu es vaincu.
-En quoi consiste-t-elle?
-C'est très simple j'ai amené des technomanciens qui vont t'opérer pour tenter une nouvelle expérience. Si elle réussit tu auras une seconde chance. Si tu échoues...tu meurs. Prépare toi. Car c'est ici même que sera faite l'expérience.
Le matériel fut vite installé par les centaines de clone qui s'affairaient comme des fourmis à leur oeuvre. Les technomanciens installèrent le cobaye Selketh et puis il s'endormit...

Quelques heures plus tard, Selketh eut un réveil difficile.
-Enfin! Alors tu t'es bien reposé mon cher Selketh?
-Arkéon? Qu'est ce qu'on m'a fait?
-C'est très simple je vais tout t'expliquer. D'abord les scientistes t'ont mis ces lames de combat que tu vois sur ton bras. Elles sortiront quand tu le veux. Oublie toutes tes armes maintenant ce sont tes bras tes armes. Pour la seconde partie il faut que je teste moi-même.
Arkéon s'empara du produit qu'utilisait les alchimistes pour gonfler leur organisme. Il prit une piqûre et l'enfonça dans le bras de Selketh.
-C'est maintenant que l'on voit si l'expérience a marché. Les technomanciens ont changé ton organisme en le mélant avec celui d'un...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Un cri inhumain sortit de la bouche de Selketh et peu à peu il se transforma en...WOLFEN!
-Les lames restent bien fixé. Son organisme ne subit pas de dommages visibles. Le cobaye à l'air de fonctionner. Selketh?
-Oui Maître?
-Le mutagène a un nouvel effet sur toi. L'expérience a réussi. Tu te transformes maintenant en wolfen. Enfin je t'expliquerai cela plus en détails. Patience.
Les Syhars se regroupèrent, rangèrent le matériel et partirent dans la direction opposé de la fôrêt...


LE GOB DE GOBLAND


- Putain ! ca y est, j'ai le nez qui pisse du sang !
Le gob de gobland eut un long reniflement et épongea le sang qui maculait la partie inférieure de son visage. Ca cogne dur un minotaure. . .
- Tu sais, Nirhüne, ces gars là persistent à nous prendre pour des demeurés. Maintenant ils nous proposent de l'or, comme si on avait une gueule de mercenaires !
- Mais. . . chef, ca rime à quoi tout ce boxon ?
- C'est la gonzesse, le morback m'a dit qu'elle possédait un pouvoir magique, qui, si il était déclenché avec l'aide de dolmens . . .
- Ouais des dolmens, les wolfens en ont parler pendant qu'j'étais en planque !
- Laisse moi finir ! Donc le pouvoir pourrait détruire les bébêtes corrompue par le chaos.
- Bin, on s'en branle chef ! Ca nous concerne pas. . .
- Si, ca détruirait aussi les mutants. Ce serait chiant pour nos armées. . .A gobland, y en a qui feraient drôlement la gueule !

"Ehhh cheeeef ! Vous êtes là ?"
Sortant d'un buisson, trois des hommes du gob de gobland, étaient revenus de leurs mission.
- Ca fait un moment qu'on est revenu chef, on à réuni plusieurs tribus gob des environs, ca fait une bonne petite armée. On a voulu les envoyer à Klüne, mais comme on à pas vu revenir votre copain. . . le mutant, et bien on les à placés en faction plus loin dans les ruines d'un village humain qu'on à trouvé sur le chemin.
- Bien. . .très bien . . .
Le gob de gobland extirpa la bourse pleine d'or qui lui avait été donné par Nightmare pour amadouer les orques. Puis il s'adressa à l'un de ses hommes.
- Va donner ca aux gars, et dis leurs d'être toujours près et de ramener leur poire au plus vite. Nirhüne, tu retourne au village, et tu espionne ce qui s'y passe. Mais te fait pas griller, ce coups ci t'auras pas de seconde chance. Si ils se sont rendus compte que la fianna était un clône et que tu te fais chopper, dis leur qu'on s'est fait tromper par Achéron nous aussi.
- Et toi, chef, où tu vas ?
- Chez les orques. Il est temps que les peaux vertes fassent un peu régner leur loi.

Nightmare avait dit au gob que Vorak était dans le coin, il ne s'attendait pas à le trouver aussi vite ! En effet, à peine trois heures après avoir quitté ses hommes, le gob de gobland commençait déjà à trouver des traces d'orques, et en nombre ! Suivant la piste, il finit par rejoindre le groupe de peaux vertes, montagnes de muscles sur pattes. Un orque fit prévenir Vorak qu'un gob isolé voulait lui parler. L'orque gigantesque s'approcha.
- Salut mon gars. J'suis Vorak, chef de cette troupe. On vient foutre le bordel. Et toi ?
- Gob de gobland, chef d'une autre troupe. Je viens vous proposer une alliance.
- Pourquoi faire ?
- Sauver vos vies les gars . . . Là bas, y a plein d'histoire qui tournent autour d'un rituel qui détruirait toute créature corrompue. Dont les mutant. . .
- Et en quoi ca nous concerne ?
- . . . et les orques. Vous avez été déformés par Dirz ! Aussi, il faut qu'on empêche ca !
- Merde . . . et combien ca nous rapporte ?
- Que dalle. Sauf que si vous me suivez pas, vous êtes tous morts dans quelques jours. . .
- Pas d'argent !!! nan mais tu te . . .
- Silence Vorak !
La personne qui venait de parler n'était pas un orque. C'était une humaine, ce qui était d'ailleurs assez étonnant. Le gob de gobland haussa un sourcil. La jeune fille continua.
- On est avec vous les gobs !
Vorak sourit. Tout était dit. Deux heures plus tard, les gobs et les orques étaient réunis sous une même bannière. Le gob de gobland demanda à Vorak et dix de ses hommes de venir avec lui dans la forêt. Il dirait aux morts vivants que c'était là la totalité de l'armée orque. Le reste interviendrait en temps voulu, dirigée par la jeune fille inconnue. . .


PRINCESS ORK


- D'accord Vorak, fit la jeune fille, tu suis le petit bonhomme vert avec une bande de guerriers chacals.
- Pour faire quoi, demanda Vorak incrédule.
- J'en sais rien moi, répondit la ch'tite, ouais pour faire quoi au fait, demanda t'elle en s'adressant au Gob de GobLand.

Celui ci se massait les tempes avec les doigts, ils craignaient qu'avoir les orques comme alliés allait lui donner une migraine.

- Mais c'est pas permis d'être con comme ca, se dit il tout haut, suivez moi.

Vorak regarda une dernière fois sa protégée :

- Bon Vorak tu suis le petit bonhomme ??? On va pas y passer la nuit non plus.
- Beearg, fut la seule réaction de Vorak.

Et c'est ainsi que Vorak, suivit d'une quinzaine de guerriers Chacals suivirent le Gob de Gobland pour aller faire quelque chose qu'aucun ne comprenez, quant au Gob de Gobland il se refusa de perdre une journée a leur expliquer.

La princess se retourna vers son armée, en découvrant le spectacle, elle ne savait pas si elle devait éclater de rire ou de tristesse.

Une trentaine d'orques étaient en train de se battre a mort entre eux pour une histoire de viande de Brontops, les autres étaient autour de la bagarre en prenant des paris sur les vainqueurs, ce qui, bien entendu, finit par entrainer une autre bagarre entre les mauvais payeurs et ceux qui voulaient leurs argents.

- Bon c'est pas bientot fini ce BoooOORRRddelll !!!!

Les orques s'arrétèrent nets, incrédules, fixant la fille comme s'ils ne l'avaient jamais vu.

- Bon toi tu seras mon second, continua t'elle en pointant un cogneur du doigt.
(NdlA : il est important de noter qu'aucun orque possède de nom, ils préfèrent se nommer par "et toi" ou alors "l'autre" ce qui rend parfois la cohésion de groupe difficile).

Le jeune cogneur s'approcha de la jeune femme, d'un air fier, arriva a ses cotés et lui donna une tape dans le dos ce qui envoya la "verte ch'tite" dans la boue. Tous les orques éclatèrent de rire et se replongèrent frénétiquement dans leur bagarre.

Assise dans la boue, l'humaine verte regarda le spectacle affligeant des orques, elle savait très bien que jamais la troupe se ferait commander par une humaine. Alors elle observa, regarda ses pairs se taper sur le museau, s'amusa en voyant la camaraderie qui régnait dans cette bousculade improvisée. Ils sont comme ca les orques, vainqueur ou vaincu, c'est la même chose, tant qu'il y a possibilité de donner et de recevoir quelques bonnes mandales.

Les heures passèrent et ce qui devait arriver arriva; la nuit tomba.
Les orques pansaient leurs blessures, ils avaient déjà installé un camp de fortune et mangaient ce que la proximité de la fôret pouvait leur offrir.

- Eh la petite c'est pas grave !
La princess se retourna en voyant arriver un guerrier avec une cuisse de brontops dans une gamelle.
- Mange, t'es toute maigre la, ajouta t'il en pointant son doigt sur les hanches de la gamine.
- Pas faim !
- Allez fait pas la gueule, on s'est un peu amusé c'est vrai, mais demain on reprend la route.
- A quoi bon ?
- Ben, il doit y avoir de quoi se battre là bas non ?
- Vous vous péter déjà la gueule entre vous, pourquoi vouloir aller la bas ?
- Ben, pour emmerder d'autres gens, la routine quoi!
- Vous êtes vraiment des deumeurés !
- Et alors, tant qu'on s'amuse, bon maintenant dors, demain on va marcher toute la journée, ca va être pénible.
- Mais c'est moi votre chef, c'est moi qui vous donne les ordres.

L'orque regarda la petite, cligna des yeux, hurla de rire et se roula sur lui même en mettant ses mains sur les cotes.
- Je ne vois pas ce qu'il y a de drole, insista la gamine vexée.
- Désolé, mais ,non, tu n'es pas notre chef, le boss ici c'est Vorak, il nous a dit d'aller la bas alors on ira la bas.
- Mais il m'a dit de prendre le commandement de...
- Allez repose toi maintenant, demain la journée sera longue.


NIGTHMARE


Le démon contemplait son oeuvre, le village wolfen était maintenant détruit, deux des trois terrains n'étaient plus, resté à trouver le dernier. Le questeur entra dans la salle du trône.
- Maître, si vous avez fini avec votre pantin, je pourrais vous faire part de ma découverte. J'ai découvert des choses encore plus interressantes.
- Parle, je t'écoutes!
- Le pouvoir des dolmens est purificateur à la base mais comme toute chose dans Aarklash il pourrait être corrompu!
- Cela voudrait dire...
- Oui, les fiers combattants d'alahan seraient convertis, les wolfens deviendraient de terribles bêtes mutantes, les arbres seraient de puissantes créatures étranglant les voyageurs, il nous reste une dernier chose à trouver, la clef du pouvoir des dolmens.
- Peut être que cette fianna serait la clef de ces pouvoirs et part la puissance des nécromants les dolmens deviendraient une source corruptrice. Je vais soumettre ce cas aux nécromants et ils faudraient peut être demandre une réponse à Belial lui même! Le pouvoir d'Achéron serait alors immense.

Le gobelin prit note,
"le gob de gobland se montre peut coopératif maître, il mijote quelquechose, l'or n'a pas été donnée orque, comme vous vous en doutiez il veut faire cavalier seul, j'ai aussi remarqué que Vorak a une protégée, une humaine, j'attends vos instructions."
Skavior.
Le gob remit la lettre à l'ange morbide qui attendait le message puis rejoint le groupe d'orques.

Nergal pénètra dans le repaire du haut démon avec le précieux butin et Radium.
- Maître, je suis de retour!
- As-tu ce que je veux?
- La fianna est bien là!
- Mène là dans les baronnies maudites, et remet leur cette lettre!
- Bien maître.
Le spectre disparut. le démon incanta,serrant plusieurs gemmes de ténèbres dans sa main, un portail s'ouvrit et un être maléfique apparut. Un ange noir qui contrairement aux autres avaient de la chair, sa peau était bleu sombre, ses ailes d'un noir obscur, il était drapé dans une toge rouge foncée et ses yeux étaient enflammés.
- Astaferos!
- Oui maître?
- Où en sont les localisations?
- Le village Daïkiness a été repéré, les elfes sont nombreux, le shaman Uriak est en route avec les dolmens, nous avons repérés en chemin le commandant griffon et ses gardes du corps.
- bien je vais attendre ce qu'ordonne le maître suprême mais de toutes manières le village sera attaqué en force! Reste dans les lentours du village jusqu'à nouvelle ordre, je n'utiliserais plus de portail, trop couteux en gemmes!
- Bien maître.
Astaferos retraversa le portail qui se ferma derrière lui. Ses multiples troupes bien que n'étant pas innombrables étaient efficaces, bientôt le village Daïkiness serait détruit, resté un chose à régler, ses maudits serviteurs de la lumière et découvrir qui avait fait échoué ses plans, un traître était parmi eux!


URIAK LE SHAMAN


Uriak traversa rapidement le grand campement qui abritait une des meutes d'Yllion, dans la forêt d'Uvaris. Il parvint rapidement devant une grnad ehutte dont les parois étaient couvertes d'ossements et de bandelettes de murmures.
-Va chercher mon disciple, Aenor, murmura-t-il à un Wolfen qui se trouvait dans la hutte, j'ai un besoin urgent de ses services.
Lorsqu'il revint il amenait avec un lui un grand Wolfen à la fourrure blanche, portant diverses amulettes et sacoches.
-Fassar, comme Aenor te l'a dit je vai faire appel à tes services. Ma troupe va installer ces dolmens dans ce campement de façon provisoire. J'ai commencé à traduire leurs inscriptions et j'ai découvert que ces dolmens sont capables d'anéatir la corruption, et je pense que la jeune fille qui a disparut et l'un des catalyseurs de ce pouvoir. Il faut absolument que j'en sache plus mais pour cela je devrait d'abord en parler à Yllion. Cependant je compte bien garder quelques atouts en mains, Fassar, crois moi.
-Je n'en doute pas maître, dois je comprendre que je suis un de ces atouts?
-Exactement. Je perçois mieux à present l'interêt dont font preuve les divers protagonistes de cette affaire. Les suppots des ténèbres ne veulent pas qu'un tel pouvoir ressurgisse jamais sur Aarklash, car la soi disant ineluctable corruption du monde prendrait alors fin. Ils cherchent à s'emparer de cette jeune fille, je ne sais dans quel but, il faut la retrouver vant eux je te confierait donc cette mission à toi et mes fidèles Wolfens des neiges. Et je vai te remettre la lame de givre pour que tu ne sois pas mis en echec.
le jeune shaman contint à grand peine sa surprise. La lame de givre! Il avait vu Uriak et Scaenor en forger une il y a plusieurs cycles. Il se souvint...
les deux shamans avaient réunis leurs diciples sur un sommet et avaient demandé alors au forgeront de réchauffer le métal. Le Wolfen avait preuve d'une grande habileté pour parvenir à maintenir son âtre sur cette hauteur ennegée et battus par un vent glacial. Cependant ce maigre feu ne suffirait jamais jamais à réchauffer le métal encore moins à le rendre propre à être forgée en une lame. C'est alors ques les deux shamans firent signes aux disciples de commencer à rassembler l'énergie d'Yllia. Fassar récita les mots sacrés et commença à réunir les jemmes d'eau qu'ils avait accumulée pendant plus d'un mois. Il vit les autres Wolfens en faire de même et s'aperçut que le total des gemmes était colossal, bien plus qu'il n'en n'aurai fallu pour jeter un sort en combat. Uriak et Shaenor se mirent de part et d'autre du forgeront qui attendait patiemment. Puis ils étendirent les bras et hurlèrent ensemble : libérez l'énergie!! Fassar et les autres murmurèrent les dreniers mots et laissèrent couler l'énergie des gemmes vers les deux shamans. La concentration de magie était si importante qu'un noninitié aurait pu la sentir pensa Fassar. en effet l'air crépitai t,surchargé de fluide, et soudain les shamans lancèrent le sort. Fassar vit une aura bleutée sur leurs mains soudains il ecarquilla les yeux de surprise, avant de se reprendre et continuer à liberer l'énergie. Le feu était gelé, ce n'était plus des flammes mais une masse de glace qui s'agitait dans le foyer. A ce moment le forgeront placa le métal au dessus et celui-ci se mit à briller comme le ferait de fer porté au rouge, mais avec un couleur bleue à la place. Il modella le fer qui contre toute attente était fondu mais non par de la simple chaleur. Le forgeron façonna l'arme patiemment, un temps durant lequel le sort devait être maintenu ce qui expliquait l'extraordinaire quantitée de gemmes nécessaires. A la fin, le forgeront le va l'arme, une épée de couleur noire, où des cristaux de givre se déplacait sans cesse. Fasciné par ce spectacle Fassar distingua à peine les paroles des shamans : Yllia a imprimé sa marque à l'arme, nous sommes dignes de nous venger en son nom...

Deux heures plus tard, Faasr équipé et connaissant la description de Salia, se prepara à partir et attendit les dernières instruction d'Uriak. Le grnad shaman s'avança vers lui et lui dit.
-Il est probable que tu assiste à des scènes de carnage et massacre. Tu fort je le sais et tu ne devra pas te laisser gagner par tes emotions, laisse ton astuce être ton seul guide. L'arme est capable d'empêcher entre autres, toute utilisation d'un cadavre à des fins malveillantes. M^mes si tu pense pouvoir aider les nôtre sache que tu ne le fera mieux qu'en restant discret, car le temps n'est plus à l'honneur Fassar. Laisse donc ta fierté à Yllion et parvient à ton but de n'importe quelle manière.
-Et si Achéron réussit à s'emparer du catalyseur?
Les yeux d'Uriak luirent en prenonçant ces paroles : "Et bien, tue-la!"


DI STEPHANO


Pour la toute première foi de son existence l’exécuteur Dolann ressentait un profond doute en lui. Il venait de voir devant lui ses deux compagnons d’armes mourir dans d’atroces souffrances de la main d’entité morte-vivante. Pire que tout la nécromancienne avait ramené à la vie les deux serviteur de Merin qui maintenant titubaient aux cotes des autres membres de la horde de Belial. Il ne savait que faire, quelle décision a prendre. Sa mission d’origine était de suivre les deux gobs qui avaient livré la fianna aux troupes de la lumière, par la suite après le carnage les deux gobs avaient pris la fuite dans les bras décharné des caricature d’ange que sont les anges morbides.
Il lui fallait racheter sa couardise, il n’avait pas aidé ses paires lors de l’embuscade et jamais il ne pourrait se présenter devant Covian le fanatique et lui annoncer que la mission fut un échec car il fut paralysé de terreur au moment de l’affrontement. Il décida donc de mener a bien sa mission, de pénétrer en territoire ennemi et de pouvoir ralentire leurs projet du mieux qu’il pouvait.
Il pris donc la direction par la quel étaient partis les anges de l’enfer, il progressa rapidement sur plusieurs dizaines de kilomètres et c’est sans surprise qu’il aperçu bientôt au loin les terres maudites de la baronnie maléfique d’achéron. Il vit à quelques lieux des anges morbides tourner autour d’une forteresse délabrée, c’est là qu’il allait pouvoir racheter son honneur !

Covian revint enfin à lui. Les événement étaient embrouillés dans sa tête, il se souvient avec difficulté des derniers événement survenu dans le camps. La fausse Salia fut démasquée, le camps fut de nouveau attaqué par les morts vivants, il voulait se battre, puis plus rien le noir total.
Le mouvement le gêné pour réfléchir, soudain il se rendit compte qu’il était attaché a son cheval lui même attaché au cheval de Gabriel. Il regarda autour de lui et identifia les autres membres de l’équipe : Le garde royale, Aerix le jeune wolfen et enfin la lionne rousse.
- Pouvez vous avoir l’obligeance de me détacher par Merin !
- Oh ! Arrêtez les chevaux, on fait une pause. Préconisa Gabriel
Ce dernier s’exécuta et libera le commandant griffon, les autres ayant démonté de leurs montures et commençaient à installer le bivouac.
- Peut-on me dire ce que nous faisons ici plutôt que d’être a la bataille !
- Et bien, maître, nous nous dirigeons vers les terres des elfes afin de trouver du renfort pour nous aider a notre cause.
- Où sont mes hommes pourquoi sommes nous seul ?
- Nos hommes et la troupes wolfen sont restés pour couvrire notre retraite, je doute que le village existe encor.
- Ne me dites pas que toute la cohorte est perdue ?
- Non ne vous en faite pas, vu votre indisposition , j’ai donné l’ordre aux autres capitaines de tenir le plus longtemps possible et de se replier vers le fort de Agenberg où nous les rejoindrons en temps voulu. Je suppose que les wolfen ont tenu a défendre leur demeure jusqu'à la mort, mais j’espère que l’état major les aura convaincu de les suivre.
A ces mots le jeune Aerix laissa couler quelque larmes sur son pelage, en effet son père et sûrement déjà mort à l’heure qu’il est.
- Bon avons nous des contacte en territoire elfes ?
- Nous devons prendre contacte avec le chef d’un village a la frontière, cet elfe se nomme Deleänir. C’est un grand guerrier et il nous aidera dans notre quête, d’après les dires des wolfen. Normalement il serais déjà prévenu de notre venu.
- En effet nous vous attendions !
Les mots virent de nul par, ils semblaient venir de tout autour d’eux. Rapidement le petit groupe avait formé un cercle autour du feu qui venait d’être allumé pour tenir éloigné la nuit.
Puis surgit des bois une troupes constitué d’une dizaine d’elfes. Covian n’avait jamais vu d’elfe du moins pas de cette espèce, il avait déjà affronté des akkyshann, accompagné au combat les monteurs de dragon Cymwälls mais jamais il n’avait rencontré de Daïkinees. Ils étaient grand, plus grand que des hommes, pâles, ils portaient un équipement plutôt léger et tout les partis nu de leurs corps arboré des tatouages de différente couleur plus ou moins sombres.
- Je suis venu a votre rencontre, et j’ai pour ordre de vous conduire a notre cité seigneur Covian. Le seigneur Deleänir souhaite s’entretenir avec vous.
- Qu’il en soit ainsi ! A combien de jour de marche se situ votre… « cité » ?
- Deux jour je pense qu’il serait bon pour nous de partir sur le champs, vous vous restaurerez en chemin. Je tien a signaler que nos éclaireurs ont aperçu une troupe ennemi qui vous suivez a la trace.
La compagnie se mit en route enfin fixé sur sa destination.


SELKETH


-Qu'as tu donc à me rapporter?
-J'ai cherché dans tous les environs, histoire de voir si les ennuis arrivaient. La situation et pire que ce que j'imaginais Arkéon. En plus des griffons, de quelques Lions, des Wolfens, de Achéron, des Akkyshans ils y a des Orques qui sont dans les parages. Et peut-être même des gobelins, mais peut-être que ma vue m'a trompée.
-Je ne vois pas où sont les problèmes? Nous sommes ici pour les griffons. Et surtout pour ce Covian, un ennemi de longue date. Maintenant qu'il y a des Orques il serait bon d'en reprendre quelques uns! Ce sont les nôtres. Ces créatures ne vivent que grâce à nous, récupérons les. Par contre si tu dis vrai, les gob vont nous poser des bâtons dans les roues. Ils vont défendre les crétins verts sous prétexte que nos cobayes étaient à l'origine des gob!
-Je peux demander quelque chose Bashar?
-Je t'en prie Selketh...
-Pourquoi m'avoir menti sur le véritable but. Deux fois en plus.
-Deux fois? Je ne t'ai pas donné l'objectif à proprement parler, puisque je t'ai embrouillé avec les dolmens mais c'était juste pour voir si ta conscience était en parfait état. Ainsi en réfléchissant tu as prouvé que tu n'étais pas un simple clone! Mais pour la deuxième fois décidément je ne vois pas.
-Je parle de cette prétresse akkyshane qui est venu me parler, elle venait de votre part soi-disant.
-Cette akkyshane t'as parlé de moi? Je l'ai bien vu lorsqu'elle est venu puisque je te surveillais mais jamais elle ne m'a rencontré! Que t'as t'elle donc dit?
-Elle m'a confié qu'elle était à notre service et que vous aviez volé des gemmes à Achéron pour pouvoir la payer.
-C'est pas vrai. Ces elfes complotent contre nous. Je pense qu'elles ont tout mis sur notre dos afin de retourner les MV contre nous. On perd un allié puissant et on est plus facile à tuer...Ils feront tout pour arriver au sommet des ténèbres. Achéron doit vouloir nous tuer à l'heure qu'il est. Il faut vite les raisonner. Nous n'avons rien fait et je pense qu'ils ont en vérité camouflé leur acte de vandalisme. C'est eux les coupables du vol des gemmes certainement. Mais ce que je crains c'est que nos scientistes qui travaillait pour Achéron soit mort! Il faut que j'entre au plus vite en contact avec Nightmare. C'est un haut-démon qui m'a aidé à Kylaë pour détruire les griffons. Je lui dois bcp il pourra paut être m'aider...


NIGTHMARE


Nergal était maintenant dans les baronnies maudites, trainant Salia qui était maintenant gravement blessé et presque inconsciente. Tous dans la salle des arcanes furent stupéfaits, la fameuse élue se trouvait enfin devant eux. Salia revint à elle, elle se débattit, le spectre la jeta durement à terre. Les portes de salles aux icones démoniaues changeant sans cesse de forme étaient ouverte, la jeune keltoise vit une occasion de s'enfuir. Elle se précipita vers son seul échappatoire, Mntis d'un seul mot ferma les portes. Elle s'écrasa dessus.
- Ainsi, nous avons devnt nous, la petite championne de la lumière! Tu es très belle ma petite, dommage qu'il faille de sacrifier à Belial, notre maître incontesté et vénéré.
- Non, laissez moi, je ne vous ai rien fait. Ne m'approchez pas monstres!
- Tais toi donc, tu periras par un couteau à sacrifice et c'est tout!
Nergal intervint:
- Grand duc, mon maître ma chargé de vous remettre cette lettre.
Le plus puissant des nécromants prit la lettre:
" Grand duc, je te demandes d'enfermer la fianna dans les geoles les moins accessibles d'Achéron. A l'heure où tu liras cette lettre je serais parti pour le domaine du maître suprème. En effet il semblerait que les dolmens comme n'importe qu'elle chose dans Aarklash puisse être corompu. Salia serait une des clefs, je pense que si nous réunissons trois élus, et les trois pierres deviendraient une puissante source de ténèbres. C'est pour ça qu'il ne faut pas toucher à l'élue tant que je n'aurais pas eu de réponse de Belial.
Nightmare, le seigneur damné."
- Bien, enfermez la! Au passage Nergal, annonce à ton maître que Arkéon nous a trahi.
- Il est déjà au courant, les rumeurs vont vite, il préfère attendre d'en savoir plus pour s'en prendre à Arkéon.
- Bien, tu peux partir.
Le spectre traversa les murs. Salia se retrouvait frigorifiée dans une cellule pour la deuxième fois, de gros rats venaient ronger des os surement inutilisable par Achéron. Ses bras étaient enchainés au mur, elle avait extrèmement peur, rien ne pouvait plus la sauver.

Covian et son escorte chevauchaient à grande allure depuis plusieurs heures. Soudain le mystèrieux guerrier en armure bleu lui revint à l'esprit. Il demanda de faire une halte.
- Pourquoi, voulez-vous vous arrêtez? interrogea le chef des elfes.
- Une question à poser, ce n'est l'affaire que de quelques minutes.
- Bien mais faites vite!
- Gabriel, où est donc passé le guerrier bleu.
- Ah oui, sir, je voulais vous en parler. Il est parti pour les baronnies maudites, il va tenter quelquechose pour Salia. Apparement il aurait connu les combattants du dolmen, il a aussi dévoilé qu'il servait maintenant Achéron mais qu'il était décidé à tout faire pour leur nuire. Il n'a pas voulu m'en dire plus.
- Nous pourrions peut être aller l'aider un peu plus tard.
- Bien sur sir!
Tout à coup Falion perçut un mouvement rapide, puis plusieurs ombres, vers le ciel. Soudain une quinzaine d'anges d'Achéron se jetèrent sur la troupe. Parmi eux se trouvait un ange bien différent. Il était d'une grande beauté, ses traits étaient gracieux, cependant sa peau était d'un bleu obscur et ses yeux étaient rouge, sans pupilles. Il replia ses longues et magnifiques ailes bleu azur et dégainna une lame incandescente.
- Merci jeune inquisiteur de m'avoir dévoilé la trahison de Admeos, j'ai prévenu mon maître.
Falion lui cria:
- Qui est ton maître?
- Qu'importe, vous allez tous périr, la seule chose que vous avez à savoir c'est que vous périrez de la main d'Astaferos.
Deux anges accompagnés l'être, un terrible combat aller débuter.

Le démon était rentré du domaine du grand bélier et pénètrait dans les baronnies maudites acompagnés de Fureur et de Frénésie ses deux minotaures. Il se dirigeait vers les geoles prêt à faire des test sur la fianna, Belial voulait exploiter son pouvoir plutôt que de la tuer et Nightmare était chargé de le faire ressortir.
- Bien allez me chercher la fianna, avant que ce traitre Admeos ne la délivre.
- Bien maître!
Le démon emprunta un escalier, tandis que les deux minotaures continués tout droit.

Salia dormait profondemment, elle fut brusquement réveillé par le bruit d'une porte défoncée. Un guerrier en armure bleu se trouvait devant elle.
- Laissez moi, ne m'approchez pas!
Elle tira sur ses chaînes qui ne bougèrent pas d'un poil. De désespoir elle sanglota.
Il ota son heaume pour dévoiler un visage séduisant, l'homme était chatain et avait une belle barbe.
- Calme toi, Salia, je ne te veux aucun mal! lui dit-il d'un voix dousse.
Elle essuya ses larmes.
- Qui êtes vous?
- Ne te pose pas de questions, je t'emmène loin d'ici, viens!
Il avait brisé ses chaines et il l'aida à se relever. Il sortit de sa poche une morceau du précieux dolmen de son village.
- Je le leur ai volé! Garde-le! Maintenant laisse toi aller!
Elle sentit soudain en elle une force nouvelle, le guerrier la touché, elle était maintenant réconforté, une douce chaleur l'envahit. Elle était heureuse durant ce peu de temps, elle se sentait en sécurité. Le silence fut troublé par des bruits de sabots. Deux minotaures apparurent.
- Te voila, traitre, notre maître et la baronnie entière est au courant maintenant! Admeos, tu vas mourrir! et ta jeune protégée sera le cobaye du démon!
- fuis Salia!
- Je veux rester avec toi!
- Non fuis, si ces deux minotaures sont là c'est que leur maître n'est pas loin! Je t'en prie!
Elle prit la fuite laissant son sauveur. Dans ses mains le morceau dolmen brillait.
- Alerte, la fiana s'echappe et Admeos est là!
Salia continua de courrir, elle fut stoppée par trois zombis, elle serra fort la pierre contre elle! Elle continua sa course en envoyant un coup de poing en pleine face d'un zombi, celui ci eu la tête carbonisée, Salia fut stuppéfaite, les autres zombis reulèrent devant la lumière qui émanée du morceu de dolmen. Elle se sentait poursuivi par de nombreuses créatures, se sentant perdu elle sauta par une fenêtre.

Les deux minotaures toisèrent Admeos. Celui ci incanta, une boule de feu explosa au contact de fureur qui fut éjecté. Frénésie chargea le guerrier mage l'envoyant s'écraser contre un mur. Celui ci se releva pour faire face à la grande créature. Il brandit son épée mais avant même qu'il n'est pu frapper il dut parer le coup de minotaure. Il fit un saut en arrière, puis fonça vers son adversaire et plongea sa lame dans son torse. Fureur s'était relevé et il chargea tête baissée, mais Admeos l'évita. Cependant Fureur se retourna et lui asséna un terrible coup de hache qu'il le propulsa à terre. Frénésie était remis de sa blessure, les deux champions du démon étaient prêts à écraser celui qui avait oser trahir Achéron. Admeos n'avait aucune chance, et bien que grièvement blessé il eut la force de prendre la fuite. Il dévala un escalier qui mené à une fenêtre, il se jeta à travers et atterrit prêt de Salia, celle tenait en respect les squellettes.
- viens vite j'ai caché des chevaux dans la forêt.
- Où va t'on? demanda Salia
- Chez les daïkiness!
Il montèrent à cheval, au bout de quelques minutes Admeos toussa du sang. Il épongea sa plai avec un vieux chiffon qu'il ressera contre lui.
- qui es tu?
- Salia, je vais t'avouer quelquechose, je suis ton frère!
La fianna en perdit la voie, des heures étaient passés et il ne s'étaient plus dit un mot. Soudain Admeos perdit conscience. Il tomba de son cheval qui continua sans lui, Salia cria à l'aide...




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