LES HISTOIRES D'AARKLASH


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NIGTHMARE


Gabriel cherchait Covian, sans savoir où il pouvait se trouver, il l'apperçu au loin,sur l'ancien champ de bataille, avançant lentement vers lui.
- Sir Covian, vous allez bien, Merrin soit loué!
- Heureux de vous voir en bonne santé vous aussi Gabriel, tout le monde va bien?
- Oui, même Falion n'est plus envouté, nous avons vu disparaître une ame damnée, en tout cas sans la 7eme compagnie, nous serions mort.
- En effet, je me suis entretenu avec l'un des capitaines, l'empereur lui même a estimé que les dolmens étaient importants, nous allons tous au pays des glaces, nous partons dans une heure, une embuscade a été tendu à l'ennemi, ce qui nous laisse un peu de répit mais dépêchons!
- Bien sir, je vais les prévenir.

Le sommeil de Salia et de Falion était perturbé, ils remuaient dans tous les sens. En même temps ils entendirent une voix, une voix sombre et maléfique, cruelle et calme.
- Ainsi tu m'as échappé Falion de Firael, qu'importe, tu périras comme les autres, il y a des années j'ai ordonné le massacre de votre village, toi Salia, la mort de ton père m'a apporté beaucoup de satisfaction, ton frère le rejoindra bientôt, la blessure qui lui a été infligé lui sera fatale, c'est moi il y a des années qui ai réduit votre village en cendre, vous ne m'avez jamais vu, du moins Falion tu m'as vaguement apperçu mais tu n'étais plus toi même, tu ne t'en souviens même pas, imaginez comment je peux être. Savez vous seulement de qui je suis né, du cauchemar de Gorgyn votre roi, j'ai été formé par ses peurs cachées, par ses doutes et ses incertitudes, et ses peurs sont celle de son peuple, oserez vous seulement m'approchez; et mon pauvre Falion, tu n'as été qu'un pion, Gorgyn espère que toi et tes pathétiques amis me vaincront, il t'envoie vers une mort certaine. Ce soir vous serez tous mort, les hordes d'Achéron vous auront écrasé, vous vous demandé peut être qui je suis, Gorgyn ne te l'a pas dit Falion, comme c'est étonnant.
Tous deux furent réveillés en sursaut, leur respiration était rapide, leur souffle était coupé, il suait à grosses gouttes.
- Qu'avez vous? vous revenez enfin à vous, quel mauvais rêve avez vous fait? s'étonna La Lionne
- L... l'être, qui a tenté de nous tué, celui qui m'a controlé, il m'a parlé et à Salia aussi, il... Gorgyn il ne nous a pas tout dit dame Laureena, je... j'ai peur, le pays des glaces, il faut y aller au plus vite, dit d'une voix lente et coupée par des sifflements le garde royal.
- L'orque, j'ai assomé un orque peut être s'es t'il quelquechose.

Arkéon Sanath apperçu l'attaque des wolfens, il était accompagné de Selketh. Il observa, puis après avoir hésité ordonna la charge, Selketh dans sa course prit le forme d'un wolfen, il se jeta dans la mélée.

Cantaol posa le dolmen, il était bien trop lourd pour qu'il le porte une minute de plus, Astafeors blessé et Garshan se posèrent à côté de lui.
- As tu tué la fianna? dit l'ainé.
- Non
- comment? tu lui a laissé la vie
- à quoi bon la tuer, nous avons le dolmen
Ataferos l'envoya à terre d'une giffle.
- J'ai affronté Covian, un wolfen l'a aidé, il m'a gravement blessé, j'ai du fuire et toi pendant ce temps tu n'as fait qu'à moité ta tâche. Crois tu que le maître sera content?!
- Peu m'importe, j'ai fait ce que j'avais à faire
- Je m'occupe du domen avec Garshan et les anges morbides, surveille les alentours et regardent si nos alliés n'ont pas besoin d'aide!
Gabriel entra dans les habitations perchées dans les arbres.
- Nous partons dans une heure, ah? mais tout le monde est réveillé!
Salia était en train de secouer un orque.
- Keske vou m'voulez?
- qui vous a envoyé ici? demanda la fianna
- pas vu, mais il nous fait très peur, gob malin l'appelait Nightmare
- Nightmare?
- Oui, nous obéir ou nous mourrir!
- Où est il?
- Très loin, dans grand royaume souterrain, plein de morts vivants, c'n'est pas un bon endroit!
- Je vois...
Admeos s'écroula soudain, sa plaie était importante, tout le monde l'entoura, Salia s'affola, mais avec un bandage bien serré et de l'eau le keltois en armure tint le coup.
- J'aimerais prendre l'air ,dit Salia, juste avant que nous partions pour le pays des glaces.
- Oui,s'exclama Gabriel, la 7eme légion doit nous y attendre le temps presse.
Kersios entra.
- Tout va bien? demanda le wolfen
- Kerios!
Salia se jeta dans ses bras, Aerix étant un wolfen n'en fit pas autant en fut tout aussi content de voir son père vivant.
- Calme toi petite, content que t'aille bien, Aerix mon fils, tu es là toi aussi!
Aerix hocha de la tête en souriant.
- Et Karthar, le shaman et les autres.
- Il y a peu de survivant, beaucoup se sont sacrifiés pour nous mais nous les vengerons.
- Bien, j'aimerais sortir, dit la fianna.
- Je t'accompagne! s'exclama Falion
Ils descendirent des habitations tous les deux.

Malkuth était fou de rage, le massacre n'avait pas du tout était total.
- Eh bien Malkuth, tu m'as l'air d'être énervé
Le crâne se retourna
- Je les tenais entre mes mains et ce fichu Admeos était plus résistant qu'il en avait l'air, mais que fais tu là Azael.
- J'aimerais rencontrer un vieil ami, j'ai connu son père, la nécromancienne ricana

- Comment est le royaume d'Alahan? s'interrogea Salia
- magnifique, le soleil l'illumine, les baronnies sont resplandissantes, l'acceuil y est chaleureux et le roi est indulgent et généreux, ainsi que vaillant comme tous ces chevaliers, mais...
- Tu doutes, ce sont les paroles de Nightmare...
- Oui, cet être ne disait peut être pas n'importe quoi.
- Le crois tu vraiment?
Salia apperçu Cantaol.
- Mais c'est...
- Tiens mais voici la petite fianna accompagné du colosse en armure, quel bon vent vous amène les puissants combattants, ironisa l'ange noir
Falion brandit son hallebarde, Salia lui fit signe de la ranger, le garde royal s'executa
- Pourquoi m'as tu laissé la vie?
- Je...
- Je t'en prie, réponds moi, pourquoi as tu trahi Lahn?
- je ne sais pas si...
- Qu'est ce que cela te coute?
- très bien, si j'ai rejoint Achéron c'est parce que Lahn m'a trahi
- impossible, cria le garde royal
- Oh que si, Menevien, m'a bien aimée a péri par sa faute, elles avaient été envoyé avec quelques anges en mission de reconnaissance en terre d'Akkylanie en temps de guerre, pour voir si tout allait, bien, les griffons étaient attaqués par les scorpions aux alentours de leur royaume, c'était une armée menée par Arkhos, ils ont fui vers leur cité et les anges se sont envolés en abandonnant Menevien à son sort, elle leur a servi pour couvrir leur fuite, ils s'en sont débarassés, depuis je hais la lumière!
- As tu des preuves? demanda le garde royal
- Je n'en ai pas besoin je le sais, Astaferos m'a montré le chemin à suivre, j'en ai assez dit, je pense qu'on se reverra au pays des glaces.
L'ange déchu s'envola....
Falion et Salion le regardèrent s'éloigner.


DI STEPHANO


L’armée avait fuit le village daikinesse en catastrophe, les forces d’achéron se regroupé et allait sans doute tenter une nouvelle attaque. La retraite c’était faite en bonne ordre tout elfes survivant de l’host de défense ou civil du village avaient pris leurs armes et c’étaient joint a l’armée. Depuis la bataille de la plaine les elfes vouaient une obéissance sans faille à Covian.
Covian se tenait au sommet d’une colline en compagnie de son état major, derrière lui flottait les bannière de tout les peuples qui l’avaient rejoins. De son poste d’observation Covian contemplé l’avance de son armée, au loin il pouvait voir l’avant garde composée de tirailleur elfes. C’était comme un fleuve, longue de plusieurs kilomètre l’armée avait à sa tête les force des elfes, d’interminable régiment de lanciers et d’archer, de si et de là on pouvait voir distinctement quelques créatures sylvestre comme d’élégante dryade ou encor les massifs hommes arbres. La cavalerie elfe avançait en bonne ordre, leurs allure gracieuse contrastant vivement avec les lourds chevaliers griffon qui martelé le sol aux rythme des tambours de guerre. Forte de plusieurs millier de guerrier, la légion ne connaissait pas la défaite. Les rang parfaitement ordonné faisait un bruit d’enfer qui raisonnait à des lieux a la ronde. Au milieu des troupes il y avait de nombreux chasseur des ténèbres et autres prêtres qui psalmodiés des prière et hurlé des malédictions, si ils n’avaient pas était sous ses ordres Covian les auraient crains. Juste derrière venait les troupes du royaume d’Alahan, c’était une centaine de guerriers d’élite qui avait rejoins la légion, d’après les dire de son commandant, ils étaient l’avant garde d’une puissante armée commandé par le célèbre Urland de Montvert, un allier de taille pensait Covian. Loin derrière, étaient à peine visible l’arrière garde composé des wolfen de Kersios et des exécuteurs désormais sous les ordres de Dolann, ce dernier a tout de même sauvé Falion qui lui a exprimé sa gratitude, de plus lors de l’assaut des mort-vivant il a prouvé sa valeur au combats en abattant nombre des dirigeant de l’armée des déchus. Au centre de l’host on pouvais voir quelques chariots flottant tel des navires sur la marée humaine. Un des chariot portait une bannière
frappée de symbole Keltois et en son centre le signe de Danu surmonté d’un dolmen, c’était la bannière personnel d’Adméos, ce dernier toujours pas remis de ces blessures avait laissé aux soins des médecin elfes et de sa sœur. Les rapports des médecin n’indiqué rien de bon, même les pouvoirs de la keltoise n’arrivaient à endiguer le flot de sang qui ne cessé de couler, aux dires des elfes il ne lui restait que quelques jours à vivre, au mieux une semaine si il ne recevait pas de soins « magique ». Covian espéré qu’Uriak pourrait y faire quelque chose, Adméos est un bon guerrier son aide serait un plus pour la force de la lumière.
Dolann avait pris du recul par rapport à l’armée, lui et ces paires étaient resté en retrait, il voulait voir si l’armée des ténèbres les poursuivaient toujours. La petite troupe avait pris refuge dans un petit bois de conifère, après une bonne demis journée d’attente ils purent enfin apercevoir l’avant garde puis enfin toute l’armée des maudits ce déverser sur la plaine marqué par l’avancer de l’host des lumineux. C’était une armée disparate et indiscipliné, mort-vivants, orque et gobelin étaient mélangé et progressaient dans le désordre et la lenteur la plus totale, seul les traîtres de Dirz avançaient à part de façon ordonné et discipliné aux sons des tambours de guerre. Soudain la horde s’immobilisa, un son étrange parvenais des cieux embrumaient, puis une gigantesque langue de flamme fut projeté semblant surgire de la brume, puis deux et une autre, encor une autre. C’était un orage de feu qui s’abattait sur les eux fois né. Une escadre de cinq dragon des cimes passaient en raz mottes tout en projetant des flammes. Après cela les cinq monstre volant prirent la direction du nord repoussés par les sorts des nécromanciens. Dolann n’en croyaient pas ses yeux, les Cynwälls venaient se joindre à l’alliance. Lui et ses hommes suivirent les dragons dans l’intention de faire son rapport au seigneur Covian.
Le premier reflex de Covian fut de sortir sa lame, les dragons avaient plongeaient en piqué sur l’host. Covian avait pris sa pour une attaque puis il remarqua que les dragons avaient une allure gracieuse et il reconnu enfin les nobles seigneurs des cimes. Le plus imposant des dragon déposa son maître à proximité de l’état major de Covian, le seigneur elfe s’avança vers le groupe. Par mesure protocolaire Falion se plaça entre le nouveau venu et Covian, après tout il est le garde du corps de l’inquisiteur.
- Laissez, sir Falion, je pense que nous avons à faire avec de nouveaux alliers. J e me trompe ?
- Bien sur que non seigneur Covian ! Nous venons nous joindre à vous, nous connaissons votre quête et sommes venu dès que nous avions appris la chute de la ville Daikinees.
- A qui ai-je l’honneur…
- Je suis Laéel le seigneurs des nuées, et je me place sous vous ordre ainsi que les autres dragon que vous pouvaient voir et mes cinq cents guerrier qui sont à environ un jour de marche de nos position.
- Soyez le bienvenu seigneur Laéel vous serez d’une aide précieuse.
Le noble elfe rejoignit sa monture et pris son envole haut dans le ciel. L’host progressait rapidement bientôt ils seraient arrivé… déjà la neige commençait à tomber, le sol devenant blanc comme un linceul.


URIAK LE SHAMAN


Fassar avait donné ses instructions afin de détruire tout cadavre susceptible d'être réutilisés par les serviteurs des ténèbres. De nombreux bûchers funéraires s'étalaient sur la plaine, réduisant en cendre ceux qui s'étaient battus pour la vie et redant leur repos aux serviteurs forcés des nécromanciens.Fassar avait attendu la venue d4uriak ou d'un autre et n'avait pu qu'apprendre le déroulement d'une embuscade entreprise par les siens, et avait choisi de suivre Covian, Falion, la Lionne et Salia. Tous convergeaient vers le pays des glaces, ce qui rassurait et inquitait à la fois le shaaman. Nul doute que les forces des ténèbres seraitn alors provisoirement vaincues, mais les étranges projets d'Uriak l'inquietaient.
Yllion essuya sa lame de chasse couverte de restes de cadavres, définitivement inanimés cette fois ci. Massacrer des morts vivants était un tache ingate, car tendre une embuscade à des êtres décérébrés ne representai pas le pinacle de l'art de la guerre. Il avait aperçus des scorpions qui avaient eux, prudemmment évité le piège. "Ce sera pour plus tard mes mignons", pensa-t-il, se réjouissant à l'avance de réduire ces créatures mutantes et leurs créateurs déments à l'état de de chair sanguignolante, si c'était bien du sang qui courait dans leurs veines. Puis un chasseur exténué vint le voir, trempé de sueur à cause de la longue course qu'il avait effectué. "Seigneur, Uriak vous fait signe de laisser le village Daïkinnes, et de le rejoindre au mont Aexemplar." Yllion irrité par le comportement du shaman qui avit tendance à l'envoyer un peu partout, se décida, d'y aller mais en emmenant ses plus fidèles serviteurs afin de dire ce qu'il en pensait au shaman des glaces...
La terre, de plus en plus froide était à present dure comme de la pierre, et la marche de la septième légion en était accélérée. Fassar, qui suivait Salia, considéra le spendide corps d'armée qui avançait sous les ordres de Covian leur coeur dévoué à Mérin. Il se demanda commen ces guerriers malgrès leur entrainement, allaient supporter le froid rigoureux des sommet dans ces armures metalliques. Il faudra que les serviteurs des ténèbres, s'ils osent se manifester à nouveau, soient combattus sur les plateux, car plus haut seuls les Wolfens pourraient se batttre sans difficultées.Ce qui était vrai pour les griffons l'était encore plus pour les elfes Cynwälls, car leurs majestueuses montures ne pourraient supporter longtemps ces températeurs rigoureuses, et Laéel hésitait à annoncer la douloureuse décision de rester en arrière garde sans aller plus loin à ses nouveaux alliés.
Salia renaissait, sachant l'objet de son amour enfin libéré de la présence du spectre, mais comme tous les autres elle était très inquiète, pour le destin d'Adméos, dont l'etat empirait rapidement. La Lionne avit rajoint les rangs des guerriers d'Alahan sachant que sa présence galvanisait les guerriers du lion , et en effet la soif de combattre et de vaincre se lisait dans leurs yeux. Mais Griffons, Sessairs, Daïkinnes, Wolfens tous avaient de bonnes raisons d'espérer et de se battre pour en finir avec le mal qui rongeait Aarklash.
Au bout d'un certain temps, Salia vint voir Fassar qui restait toujours à proximité, et s'adressa à lui "Savez vous que faire pour le pauvre Adméos, nous ne savons plus quoi faire", le ton desespéré de sa voix fit fléchir Fassar qui répondit d'une voix douce :"Uriak saura le sauver, du moins je le crois, mais j'avoue que la route et bien longue et les chances de votre amis bien maigres."Fassar allait exprimet ses regrets quand il eu la sensation d'une présence dans son dos et se rapella de la terrible arme qu'il était parvenu à chasser de ses pensées. "A moins que...", murmura-t-il tout en saisissant le fourreau de l'épée. Puis comme pris d'une impulsion soudaine il fit monter Salia sur ses épaules et se dirigea vers la litière contenant Adméos que des elfes tentaient d'empécher de se vider de son sang. Fassar s'approcha de lui, et dégaina la lame noire, qui se mit à murmurer dans sa tête, mettant le shaman mal à l'aise. Puis, il demanda aux elfes de s'écarter, et enleva les tissus qui recouvraient la plaie d'Adméos. Il apposa la lame sur la blessure et Adméos poussa un cri de douleur, Salia affolée essaya de tirer le bras de Fassar en lui criant : "Mais que fais-tu? Arrète!
-Laisse moi faire, c'est sa seule chance de toute façon" répondit Fassar attentif à passer la lame sur l'ensemble de la plaie. Puis il la retira laissant la chaire entourant la blessure gelée, et le sang formant une gangue de glace rouge vif, d'où il ne s'échappait plus. "J'ai accentué ses blessures mais il aura ainsi peut-être le temps de tenir jusqu'à notre destination, mais il faut quand même veiller sur lui..."

Uriak considéra les dolmes installés sur un cercle qu'il avait fait rapidement déblayer, près du village de la meute des lunes blanches, avec la quelle il était lié. "Maintenant il me faut trouver les catlyseurs et le dernier dolmen, Salia et les autres viendront, j'en suis assuré par Fassar, mais si le dernier dolmen est entre de mauvaise mains, il me sera difficile d'en disposer" songea Uriak. Il s'adressa à un grand Wolfen blanc comme neige "Thryos, j'ai appris que la coalition de la lumière avait resisté aux damnés et se dirigeait ici; elle ammène les personnes capables de libérer le pouvoir de ces pierres. Il faudra nous assurer qu'elle restent notres après la défaite des ténèbres, et je pense que je touverai les bon arguments. Il faudra faire venir Yllion, ici-même pour vérifier définitivement si c'est bien la colère d'Yllia qui l'anime ou bien autre chose... Dans ce cas nous le purifiront, ce qui sera d'autant plus facile avec la lame de Givre.
-Certe mais j'aimerai autant récupérer la seconde, Uriak, celle que tu as confié à ton disciple. Nightmare si c'est là bien son nom ne sera pas disposé à nous laisser. Et il ne faut pas croire que les disciples de Mérin ou de Lahn nous laisseront disposer de ce pouvoir.
-Exact c'est pourquoi nous nous tiendront prets. Il faut laisser Kersios et Yllion mener le gros des combats avec nos alliés, mais laisser les Wolfens des glaces avec les catalyseurs ici. Fassar et toi vous devrez détruire les lieutenants de Nightmare, en faisant appel aux armes d'Yllia.
-Détruire ses abominations ne sera que la première étape ava,t le renouveau de notre gloire. J'aimerait bien lire le doute dans les yeux de ces créatures infernales avant de les détruire...
-Oui, leur orgueil les perdra, tout comme la naïveté des troupes de la lumières.
-Et pour les peaux-vertes? Tu m'as dit savoir qu'ils étaient mélés à tout cela.
-Ils essayent de trouver quelquechose à y gagner et je pense qu'ils partiront dès qu'ils sauron tles choses perdus pour eux et leurs alliés, il ne m'inquiètent pas.
-Bien je vais donner les instructions à mes fidèles, à plus tard Uriak.
-Bonne chance Thryos"

Uriak vérifia ses gemmes d'eau, et descendit vers le plateau surplombé par le mont Aexemplar ancien lieu dédié à des dieux depuis longtemps oublié par Aarklash... Se searit sur ses pentes que les dieux déchainés allaient rejouer une nouvelle partie qui cette fois pourrait leur être dommagable...


NIGTHMARE

Les troupes de la lumière avançaient en marche forcée dans le direction du mont Aexemplar déjà atteint par Uriak. Yllion était impatient de mettre les choses au point. Le froid déstabilisait les humains, Covian et les inquisiteurs étaient ceux qui résistaient le mieux car les prêcheur de Merrin sont habités par son feu, mais à une telle température même eux étaient frigorifiés. Laàel vint voir Covian.
- Commandant Covian, nous allons rester en retrait pour les retarder, si les hordes de morts vivants parviennent à passer notre défense nous foncerons vers le sommet assez facilement à l'aide de nos dragons. De toute manière.
- Bien, sir Laàel, que la lumière vous garde.
- Que la lumière vous garde commandant Covian.
Admeos se trouvait sur les épaules de Fassar, la chaleur de sa fourrure le l'abritait partiellement du froid, de plus Fassar résistait bien mieux que les humains au froid. Falion, Covian, La Lionne et Salia se trouvaient sur une hauteur, un sentiment d'horreur les submergea.
Malkuth l'un des plus puissants guerrier crâne menait une horde de guerrier squelettes et de zombis, d'autres guerriers cranes épaulaient leur chef.
Des voix infernales résonnèrent, les questeurs étaient là eux aussi, récitant leur sombre incantation.
De nombreux pantins avancaient lentement vers le pays des glaces lais il aurait du en avoir plus, les héros comprirent, la plupart des pantins avaient étaient changés en ange morbides, réduisant les troupes mais facilitant l'attaque d'un sommet. Ils étaient menés par Garshan, Cantaol et Astaferos.
Azael était là elle aussi accompagné d'autres nécromants qui avaient l'air plus puissants les uns que les autres.
Quelques spectres se détachaient du gros de l'armée brandissant leur créve coueur.
Mais le pire se rappochait, les wolfens morts durant la bataille contre le village de Kersios avaient été rappelé à la vie, leur forme grotesque aux multiples blessures d'où coulait du pue étaient écoeurantes.
Une détachement de scorpions dirigé par le bashar Arkéon Sanath qui voulait prouver à Achéron que les dirzs étaient toujours leurs alliés, se trouvaient sur le flanc droit de l'armée, les guerriers criagnaient peu le froid grâce au mutagène. Selketh était au côté d'Arkéon.
Enfin à gauche on pouvait appercevoir les orques et les gobelins, quelque uns étaient habillés de fourrure.
Un grand chevalier en armure étincelants accompagné d'un mage vétu de rouge vint voir les quatres champions, Falion et La Lionne s'inclinèrent, et Covian les salua.
- Sir Urland et sir Mighail, merci d'être venu à notre aide, nous en aurons bien besoin, les hordes se rapprochent, dit Covian inquiet.
- Eh bien mes amis nous vous aiderons comme nous pourrons.
Falion se rappela soudain les paroles de Nightmare, il fut submergé par la colère.
- Il faut rejoindre le sommet au plus vite, s'exclama La Lionne.
Uriak observa les alentours, la bataille riquait d'être meurtrière...


FALION


La nuit commença à tomber sur les vastes plaines entourant le sommet du mont Aexemplar. Le seigneur COVIAN ainsi que le général URLAND et URIAK formaient une première ligne de défense efficace tout autour du mont enfin de réduire l'ennemi en nombre avant la bataille final qui s'annonçait être fort coûteux en fier guerrier de lumière.
Dès leur retour dans le monstrueux campement monté par les troupes de lumière, les grands seigneurs de la guerre se retrouvèrent sous une tente afin de peaufiner leur plan tactique.
- Que fait votre dévoué disciple YLLION, il est en retard! ses troupes nous serons d'une aide précieuse, demain! Demanda URLAND au monstrueux wolfen blanc.
- Ne vous inquiétez pas pour cela, il sera là en temps utile.
- Alors temps mieux, exprima l'ALAHANAIS d'un ton formel.
- Pour les pierres, s'enquit le grand elfe assis dans un coin de l'abri. Elles ont été correctement installées, ...comme prévu!
Le shaman n'apprécia pas le ton employé par cet être si chétif, et en grogna en guise de réponse.
- Que voulez vous dire, ...elfe. Que je suis incapable de pratiquer des rituels correctement.
- non je n'ai rien dit de tout cela, répondit sur le même ton l'elfe cynwall. Il faut dire que nous n'en avons plus que deux de ces précieux objets. Il ne faudrait pas les perdre "bêtement".
Le wolfen se retourna plus menaçant que jamais en montrant les crocs.
- Ce n'est pas moi qui a été incapable de garder le troisième, vos pitoyables cousins l'ont abandonné trop facilement à mon goût!
- Comment ! Se leva le grand seigneur elfique une main sur la garde de son arme.
- S'il vous plait mes amis calmez vous un peu, nous ne sommes pas ici pour nous battre entre nous! déclara COVIAN en s'interposant devant ses deux alliés.
- Sir COVIAN, a raison! ...Bon, pour ce soir c'est terminé, nous avons besoin de repos une dure journée nous attends demain.
Se regardant méchamment les deux querelleurs sortirent de la tente et se séparèrent sans un autre regard dans la nuit pour rejoindre chacun de leur côté leur soldats.
Le commandeur griffon salua son homologue humain et sortit à son tour de l'abri aussitôt suivi par le capitaine des gardes royaux qui l'avait accompagné jusque là. Mais le grand général URLAND le retint subitement.
- Sir FALION de FIRAEL, je dois m'entretenir avec vous, je vous prie! ...C'est important.
D'un regard il demanda la permission à l'inquisiteur qui lui accorda de la tête.
- Venez à moi mon ami! continua le grand héro d'ALAHAN.
le garde retira son caque et le mit sous son bras avant de s'incliner respectueusement devant son seigneur.
- Je sens en vous un profond trouble, me trompais je ?
- Puis je avoir la permission de parler franchement seigneur! demanda FALION avec calme.
- Permission accordé! répondit le général en s'asseyant sur un siège.
- Pourquoi ...pourquoi m'avez vous menti? Qu’elle était réellement le but de cette mission inutile! le commandeur griffon n'a aucunement besoin de protection, alors pourquoi m'avez vous envoyez là bas. Et qu'est ce qu'il a voulu dire par "GORGYN ne te l'a pas dit"
Le grand seigneur d'ALAHAN croisa le regard de son conseillé MIGAÏL qui acquiesça de la tête!
- Bon, je vais te raconter ta réelle mission, après tout tu as le droit de savoir, vu que tu es le premier concerné!
Lors de ton arrivé devant les portes du palais royal il y a de cela 22 années. Notre bon roi, te trouva des particularités pour le bien assez exceptionnel. Pour te veiller il te confia à ses plus fidèle amis les FIRAEL pour que tu sois élevé dans le meilleur encadrement possible, afin de développer chez toi une puissante force du bien. Cependant, pendant que tu étais enfant il y eu des fuites sur ton existence. Les troupes maudite d'ACHERON désireuse de te récupérer, envoyèrent alors un fort contingent d'horreur infernal aux portes même de nos terres sacrées afin de te détruire. Ton père se porta en première ligne et se sacrifia pour te sauver car les intentions de ces maudits étaient claires, il voulait te récupérer pour que tu leur serves de réceptacle pour de sombres projets que je ne connais pas moi même. Après les avoir défait, nous avons commencé ta formation de guerrier d'élite pour le jour ou tu serais confronté à cette même menace. Les années s'écoulèrent et tu remplaças ton père à la tête des gardes royaux. Mais un soir notre roi eu une visite maléfique dans son sommeil et après avoir lutté vaillamment il libéra sans le vouloir sa plus grande crainte. Je ne sais pas à quoi cette chose ressemble, même le roi ne me l'a pas dit, mais une chose fut sur c'est qu'elle le terrorisé...
- Je ne vois pas en quoi ceci me concerne, je ne comprends rien à cette histoire. Qu'est ce que le roi m'a caché, je veux le savoir! demanda t'il plus insistant, frisant presque l'insubordination.
- Ce que veux le roi, ce que voulait le roi, très bien tu vas le savoir! dit le grand chevalier les mains croisé devant ses lèvres. Ta mission était fort simple tu devais te faire capturer par l'ennemi et te faire corrompre!
- Comment ! s'emporta le garde royal
- Tu as bien entendu mon ami, ton rôle était de te faire posséder par cette créature et une fois cette simple tâche accompli, dame LAUREENA devait t'abattre, du moins le devait-elle...Mais je ne sais pourquoi elle m'a désobéi, encore une fois!
FALION perdit tout calme et saisit son chef par l'armure.
- Comment... comment avez vous pu!
- calmez vous, jeune homme! apaisa le sélénite. Ceci est du passé maintenant, la grande puissance qui est enfermé en vous à eu raison de la volonté de cette être démoniaque, soyez en fier!
- Comment voulez vous que je me calme, vous ...vous m'avez trahi!
- Non, jeune homme! nous vous avions sacrifié! pour que le reste des peuples demeure en paix sur les terres d'AARKLASH. Vous devriez comprendre cela n'est ce pas! continua le sélénite.
Le garde royal relâcha lentement sa prise et commença à verser des larmes de résignation.
- Ton courage sera louangé, dans notre royaume! poursuivit le général. Tu as affronté à toi seul un des plus puissant démons de BELIAL, et tu as vaincu.
- Pourquoi...
- Repose toi mon ami, demain tu auras besoin de toutes tes forces, pour combattre une nouvelle fois le mal.
- Pourquoi... répéta à voix basse le garde.
Le seigneur se porta à sa rencontre et le raccompagna jusqu'à l'ouverture de la tente. Il somma ensuite à deux de ses gardes personnels de le ramener sous sa tente.
D'un geste brusque et rageur il se détacha des mains de son supérieur.
- Laissez moi, je vous prie j'ai à réfléchir!
Sans un mot de plus, sans une salutation il s'en alla dans un endroit sombre, à l'abri des regards indiscrets.
D'un signe de la tête le commandant ALAHANAIS demanda à ses deux gardes de le surveiller à bonne distance.

Assis seul dans la pénombre de se sous bois gelé, le garde recroquevillé sur lui même réfléchissait avec beaucoup de force sur les dires de son supérieur. Quand soudain une brindille se brisa derrière sa personne. D'un réflexe guerrier il se retourna et vit emmitoufler dans une peau de bête, l'être cher à son coeur le fixer avec tendresse.
- C'est toi, ...laisse moi seul s'il te plait. parla FALION en refixant ses yeux sur l'obscurité devant lui.
- Qu'est ce qui t'arrive? tu n'es pas content de me voir!
- si, mais ce n'est pas le moment! vois tu.
La jeune keltoise s'approcha tout de même et s'assis contre lui.
- Parle moi, tu iras peut être mieux après.
Le guerrier d'ALAHAN se tus un long moment, avant de lui raconter tout ce que venait de dire URLAND.
- Est ce que cela te dérange tant que cela de te sacrifier, pour ta patrie.
- Non ce n'est pas çà, c'est qu'ils se sont servis de moi en me mentant. Il m'aurai dit tout de suite ce que devait faire je l'aurai fait sans hésité, maintenant je doute!
- Tu doutes !
- Oui je doute, il y a toi maintenant.
La fianna en rosit de gène et se blottit encore un peu plus au creux de ses bras.
- Que vas tu faire maintenant?
- Me battre, encore et toujours. Mais cette fois-ci ce ne sera pas pour ALAHAN ou pour qui que ce soit d'autre que je devrais me sacrifier, ce sera uniquement pour toi.
- FALION...! dit elle en larmoyant.
Une violente explosion réveilla le couple d'amoureux de leur torpeur romantique. Ils se levèrent tout d'eux et ce précipitèrent vers l'entrée du sous bois. Là devant leurs yeux ébahis, un large incendie commença à opérer ses oeuvres destructrices au sein même du campement.
- Que ce passe t-il ?demanda Le garde en interceptant un autre soldat paniqué.
- Une attaque aérienne.. Ils nous attaquent par les airs avec des anges morbides.

En pleine nuit et à l'aube du dernier jour du rituel de purification, l'alliance de la lumière subit une violente et surprenante attaque des maudits d'ACHERON.
MALKHUT assis sur son destrier mort vivant, commença à rire fortement en voyant en haut du mont Aexemplar, des lueurs rougeoyantes danser dans l'obscurité de la nuit.


LE GOB DE GOBLAND


La nuit touchait a sa fin. Par petit groupes, les gobelins préparèrent leurs armes, et se mirent en rangs serrés. Le gob de gobland était exténués, seuls quelques orcs et gob avaient réussis à sortir vivants de l'embuscade wolfens. Heureusement, le gros de l'armée était resté dans les étendues glacées et avait déjà pris contact avec Achéron. La princesse orc avait préparé le terrain avant leur arrivée. Le contingent de peaux vertes était maintenant près à la bataille.
Une lumière dans le ciel et quelques bruits diffus montraient que le combat avait déjà commencé. Il s'agissait probablement d'anges morbides invoqués par les nécromanciens afin d'empêcher l'adversaire de se préparer convenablement au combat : Achéron faisait ca souvent.
Les troupes de la lumières avait forgés des alliances avec les peuples elfes. De grands dragons commençaient déjà à décoller, se jetant sur les pantins ailés. La lutte serait rude ce coup ci.
Le gob de gobland s'approcha de Radium, celui ci, accroupis par terre, faisait des incantations au dieu rat.
- Qu'est ce que tu fous ?
- Je prie notre dieu, pour qu'il nous donne la force d'écraser les pantins de la lumière.
- T'en penses quoi, toi, de cette bataille ?
- Je pense qu'on est mal barré. . . t'as vu les dragons en face ? J'ai jamais affronté ça moi !
- Ouais. . . Je crois savoir ce qu'il nous reste à faire.
Le gob de gobland fit un signe à Nirhüne, qui s'approcha aussitôt.
- Qu'est ce qui se passe boss ?
- Ecoute mon gars, tu vas partir vers l'arrière de l'armée d'Achéron. Tu vas repérer le seul dolmen qu'ils aient en leur possession. Si la bataille semble perdue pour nous, tu t'empare du dolmen et tu te casse en courant. J'ai repéré une grotte dans la montagne. Elle est très profonde, personne te retrouveras si tu te planque là bas. T'as compris ?
- Ouais boss. Il faut pas que la lumière s'empare du dolmen.
- A aucun prix . . .

L'aube commençait à poindre sur l'horizon. Pour les combattants, quel que fut leur peuple, s'était un signe qui ne trompait pas. La bataille allait commencer. Lentement, les troupes des ténèbres s'avancèrent vers l'armée adverse, qui campait sur ses postions. Le silence laissa place aux cris de guerre. La lutte s'engageait, et ce combat serait sanglant, sans pitié.

Le premier choc fut d'une rare violence. Une véritable marée de pantin se heurta à la rangée de boucliers des troupes de la lumière. De partout semblait jaillir des morts vivants. Descendant à basse altitude, les dragons elfes crachaient leurs torrents de flammes sur les troupes d'achéron. Tandis que les carreaux précis et meurtriers des arbalétriers de dirz fauchaient plusieurs guerriers. Tant de magie était déployée que l'air semblait vibrer. Les éclairs magiques et les boules de feu zébrèrent le ciel, essayant de toucher les féroces dragons qui les esquivaient sans problème. Radium dirigeait le groupes des mutants, qui se jeta sauvagement sur les troupes d'alahans.

Les premières minutes du combats furent terribles de violence et de sauvagerie. Mais ce n'était que le début. . . La mort n'avait pas fini de se réjouir. . .


URIAK LE SHAMAN


Ils sont bien plus rapides que je ne le pensais, laissa echapper Uriak. Le démon qui les guide doit être anxieu de triompher une fois pour toutes, et il sait que ne sera possible qu'en frappant avant que nous ne soyons trop bien retranchés.
-Yllion va les attaquer sur l'arrière ou les flancs, et tel que je le connais, il va d'abord s'en prendre à ce qu'Achéron possède de plus insultant : nos morts.
-Tu as raison Thryos, mais cela permettra aux troupes restantes de s'attaquer à la tête de l'armée des morts-vivants pendant que leurs renforts seront bloqués.
-Tu ne semble pas porter le seigneur elfe dans ton coeur...
-Et il me le rend bien. Il est très dangereux car il pourrai rappeller aux Sessairs qu'ils étaient les propriétaires de l'un des dolmens. Le leur est aux mains des forces des ténèbres mais ils l'amèneront car le Démon ne voudra pas laisser la chance de corrompre nos armées en se servants des dolmens ici même, aussi il faudra nous tenir prêts.

Les cieux vomissaient des anges morbides qui après avoir lancé leurs torches sur le campement esquivaient avec plus ou moins de succès les redoutables flammes des dragons des cîmes. La mort venait prendre sont tribu sur le plateau et ceux qui l'avaietn déjà embrassée la donnaient aux vivants. La VIIème Légion avait pu tirer quelques salves malgrès le froid et les projectiles avaient eu un impact dévastateur sur les corps raides et rendus cassants par le froid des créatures ténébreuses les plus faibles. Mais la mélée qui s'ensuivit vit ceux qui ne craignait plus le froid ou la fatigue bénéficier à leur tour d'un avantage. des morceaux de chairs morte depuis plus ou moins longtemps parsemaient la neige coloriées de taches rouges, noires et verdâtres.
Les combattants enlisés dans la neige et les combats ne pouvait plus suivre la terrible lutte aérienne qui avait lieu au desus de tous et qui ne se manifestait que par la chute des corps des vaincus. Le coeur réchauffé par la présence de leur Dieu, les Griffons accentuèrent la pression, et c'est avec des paroles sacrées sur les lèvres que les templiers, lanciers luttaient jusqu'à la mort. Le chaos avait rapidement remplacé l'ordre qui avait précédé la bataille, et cette situation n'était pas pour déplaire aux malfaisantes engeances qui manipulaient les troupes décédées. Les fusiliers ne pouvaient plus se permettre de tirer dans cette masse de combattants et se préparaient à faire feu au cas où les leurs seraient vaincus.

Les yeux d'Yllion luirent quand il aperçut les Wolfen prisonneirs de la volonté des nécromanciens; d'un signe de tête il lança ses troupes sur le côté de l'énorme ruban noir qui constituait l'armée maudite. Dans un concert de hurlement destinés autant à Yllia qu'à leurs ennemis les teriibles prédateurs se jettèrent sur la masse de cadavres. Ils essayaient d'ignorer les plus petite créatures pour détruire les Wolfens zombies. Mais les pantins et les squelettes tentèrent de les rouer de coup et Yllion chargea les guerriers de s'en occuper. Lui-même et les Wolfens les plus imposants esquivaient les coups terribles portés par les wolfen déchus et devaient compter sur leurs insticts pour contrebalancer le surcoit de puissance accordé à leurs frères morts. Yllion trancha en deux un ancien fils d'Yllia et aperçut la figure grimançante d'un questeur qui utulisait des énergies impies pour faire tourner le combat en sa faveur. Yllion sauta par dessus un important groupe de pantins, et s'élança sur le questeur. Une litanie sortit de la bouche de la créature et Yllion sentit soudain son corps souffrir sous l'attaque d'une énergie mystérieuse. Ignorant la douleur il se retrouva face à guerrier-mage qui eu l'air à peine surprit. Yllion mis sa lame double de part et d'autre du cou de la créature et tourna d'un coup sec mettant fin à ses paroles et sa douleur. Le combat prenait une bonne tournurent ici mais les Wolfens étaient éxités par la vengeance de leurs frères, ce qui ne serait pas le cas partout ailleurs...

Thryos brisa le corps congelé du zombie d'un coup de patte. Et considéra sa lame, qui venait de lui permettre de faire un carnage; l'objet terrible semblait vraiment être l'aube d'une nouvelle ère pour les fils d'Yllia, et Uriak en serait peut-être avec lui-même l'auteur. Les rangs de l'armée elfique se battaient avec l'énergie du desespoir mais les Daïkinees se trouvaient sur un territoire hostiles et dépourvus d'arbres qui ne leur convenait pas. Les troupes maudites ne devaient pas leur prendre un trop lourd tribu à eux qui étaient déjà si peu nombreux. Le combat était bloqué plus bas et les troupes de la lumière et des ténèbres reculaient puis s'élançaient alternativement l'une sur l'autre sans répit.
Mais Falion et Salia n'assistaient toujours pas à ce combat...


DI STEPHANO


Du haut de la colline, Covian dominait le champs de bataille. Pour l’instant tout allé bien, la 7eme légion tenait le centre, et elle le faisait bien. De son coté Urland et ces troupes avaient opérés un percée et avaient presque rejoins les wolfen de Yllion qui avaient chargés dans le désordre le plus totale la masse grouillante de mort-vivant. Les daikinesse, quand à eux, avaient plutôt du mal à retenir les forces coalisées de dirz et d’achéron, seul l’intervention des être sylvestres avaient permis à ce flanc de tenir. Les hommes arbres s’étant totalement adaptés au milieu faisaient grand ravage parmi l’engeance du mal. La bataille aérienne était de toute beauté, le balais qui s’effectué depuis le début de l’engagement tournait rapidement à l’avantage des elfes, que pouvaient faire de misérable pantins ailés contre les dragon ancestraux ?
Par contre les renforts elfes de Laéel n’était toujours pas arrivés, un tel retard n’était pas permis. Au milieu du combats la Lionne massacrée à tour de bras, personne ne pouvait lui résister, à ces coté se tenait Gabriel et une importante phalange de templiers de l’inquisition. La lame enflammée de Gabriel lui permis de venir à bout d’un énorme guerrier crâne, s’en était presque facile. Soudain une clameur retenti des rangs elfes, le seigneurs Laéel venait de s’écraser a même le sol, le sort d’un nécromancien avait paralysé l’aile droite da sa monture. A porté de tout les ennemis de la lumière, le général elfes avait du mal à défendre sa monture et surtout sa propre vie. N’écoutant que son courage Covian fit faire demis tour à sa monture, tira son épée de son fourreau et s’adressa aux deux-cents chevalier de Merin qui attendaient les ordres en rang serrés.
- Mes amis ! Il est temps pour nous d’intervenir, vous allez me suivre dans ma charge au cœur des formations ennemis. Notre devoir est de venir en aide à notre allier. Pour Merin suivez moi !
- Pour Merin !
Suite à cette clameur la colonne déferla sur les ténébreux, ils progressèrent rapidement et plusieurs dizaines de cadavre ressuscité périrent sous leurs coups. Puis la charge perdit son élans, se retrouva empêtré dans la neige et face aux troupes d’élite de l’ennemi. Covian avait lui même du mal à avancer, voyant qu’il n’arriverait pas à temps pour sauver le noble elfe il fit signe à son étendard de hisser la bannière bleu. A ce signal les exécuteur et les faucheurs entrèrent dans la danse.
Dolann reconnu le signal et les signe de l’inquisiteur, il compris de suite en voyant dans quelle situation périlleuse l’elfes se trouvait. Ils se tourna vers ces subordonnés et tous se dirigèrent vers le dragon qui craché sans arrêt des vagues de flammes sur les morts-vivants. Rapidement les exécuteurs créèrent un périmètre de sécurité autour du dragon. L’elfe recula et vint vers Dolann.
- Retenez les quelques instant je dois dissiper le sort qui entrave les ailes de ma monture.
- Bien monseigneur, il sera fait selon vos désirs !
Les faucheurs tiraient salves sur salves pendant que les exécuteurs tenaient en respect tout les audacieux. Le seigneurs elfes tira un parchemin de la sacoche de sa selle et lut à haute-voie le contre sort Instantanément le sort se dissipa et le dragon se redressa de suite, vomissant un flot de flamme sur un groupe de goule. Laéel grimpa sur le dos de sa bête, remercia rapidement son sauveur et retourna dans la bataille.
Laéel était soulagé, à un moment il a crut rencontrer son destin. Sa monture était gravement blessée mes les deux compères avaient vu déjà bien pire. Le dragon pris de l’altitude et l’elfes scruta l’horizon. La bataille commençait à la faveur des troupes d’achéron : La cavalerie du griffon étaient immobilisée aux centre, Les troupes d’alahan s’étaient fait piéger, leurs avancent trop conséquente les avaient portées loin dans les lignes ennemis désormais elles étaient encerclées. Les fusillés avaient cesser de tirer craignant de toucher leurs propre troupes, mais pire que tout les daikinesse étaient sur le point de céder. Il devait rapidement faire quelque chose. Ces autres dragons ne pouvaient pas être partout à la fois et il ne pouvaient leurs donner l’ordre de couvrire se flanc. Il ne pouvait pas non plus compter sur les wolfen qui n’obéissaient qu’à Yllion, ce dernier était trop occupé à massacrer les orques et les gobelins. Il fit plonger sa monture vers ces cousins espérant ainsi sauver ce flanc. A son arrivé les elfes reprirent courage et redoublèrent d’effort mais il ne fallait presque rien pour que les elfes paniquent et fuient. Soudain le sol trembla sous les sabots de centaines de chevaux. Les renfort Cynwalls venaient enfin de rejoindre le champs de bataille. Leurs attaque fut fulgurante et en un rien de temps les deux peuples elfes combattirent cote à cote. Laéel voulait des explication il fit tourner sa monture vers le commandant de la troupe.
- Et bien où étiez vous ?
- Et bien nous avons eu beaucoup de perte et notre avance fut ralentit par l’ennemi !
- Mais quels ennemi ?
- Nous avons entièrement détruit l’arrière garde d’achéron.
- C’est une très bonne nouvelle ! En avant !
Avec ces nouveau renfort le flan ennemi ne tarda pas à tomber à la grande joie des généraux de l’alliance.
- Le flanc droit est tombé ! L’ennemi cède du terrain !
- Par Merin pas de quartiers !
Covian souriait sous son masque d’ivoire , la bataille pouvait enfin tourner à leurs avantages. Soudain une ombre se dessina au dessus de lui et Astaféros l’ange noir se posa à quelques mètres de lui.
- Maître Covian si l’on terminaient se que l’on à deja commencé ?
- Encore toi ! Par Merin tu vas mourir !
De son coté Yllion jubilé, personne ne pouvait lui résister, il fut surpris d’entendre un hurlement de défit s’adressant visiblement à lui. Il se retourna et tomba nez à nez avec deux guerrier de dirz. L’un était sans aucun doute le célèbre Arkéon Sanath, l’autre il ne le reconnu pas. Un sourire se profila sur sa gueule et il accepta le défit, que pouvaient-il contre lui, le serviteur d’Yllia ? Sans prévenir le deuxième guerrier se transforma en créature blasphématoire : un wolfen portant des symboles de dirz. Yllion ne pouvait tolérer cela, il chargea en poussant son terrible rugissement de guerre.


NIGTHMARE

Un être observait la bataille depuis qu'elle avait commencée à travers un portail noir. Les forces de la lumière avaient réussi à résister grace à l'intervention inattendu des Cynwalls et du général Urland accompagné du non moins célèbre Mighail. Ce combat devait cesser au plus vite.

Covian et Astaferos se toisèrent du regard, puis ils se chargèrent en lachant un cri de guerre. Covian décida de changer de tactique, il serra une gemme de feu dans ses mains et lança le sort attaque primaire de feu sur son ennemi. Celui fut surpris et étourdi, Covian s'apprêta à lui asséner un coup d'épée mais Astaferos le para.
- Il en faut plus que ça pour m'avoir! cette fois personne n'est là pour t'aider!
- Oui mais cette fois je ne me laisserais pas suprendre par tes dires. Le combat reprit.

Malkhut cherchait un adversaire à sa taille, ilvenait d'affonter un garde royal à la surprenante résistance mais pas assez fort pour vaincre le puissant Crane. Il apperçu Urland, il voulut se diriger vers luis mais le souffle d'un dragon proplusa par erreur des arbres enflammés bloquant la route au maudit, de rage il se jeta sur un groupe de trois paladins.

Falion et Salia coururent en direction de la bataille, le garde royal s'arrêta soudain.
- Que se passe t'il Falion?
- Je ne sais pas, je ne veux pas que tu y ailles.Restons ici!
- Mais voyons ils ont besoin de nous, de nos pouvoirs.
- Et pour quelle cause allons nous nous battre?
- Pour celle de la lumière!
- ha ha ha, tu parles! Gorgyn, Urland, ils ne valent pas mieux que le démon qui nous cause tous ces ennuis.
- Ils t'ont sauvés Falion.
- Oui, mais dans quel but? je doutes, je doutes que la cause de la lumière soit noble.
Soudain le garde royal fut saisi de convulsions, puis une voix intérieure lui parla.
- Tu croyais t'être débarasser de moi comme ça, har har, je me suis enfoui eu fond de toi, j'ai ressurgi grace à tes craintes, à tes doutes et à ta haine. Laisse moi te dominer, je t'insuflerais le puissance des ténèbres, tu auras la puissance de vaincre tes ennemis, abandonne toi à moi, ils t'ont trahi, venge toi!
Cette fois ci Flion parla de sa voix.
- Oui, emmissaire de Belial, donne moi le pouvoir, que je les écrase tous, ils ne sont pas dignes de vivre.
Salia s'affola.
- Non ne te laisse pas faire, bas toi, bas toi pour tes parents, pour moi!
Falion reprit son controle.
- Va t'en Nightmare, c'est toi que je hais, bien qu'ils m'aient manipulé, tu es bien pire, je vais me battre pour Salia, sors de moi.
L'ame se détacha du corps, elle avait un visage cadavérique, de petits crocs pointus, des griffes noirs et elle lévitait comme un spectre.
- Night...Nightmare?
- Non, je ne suis qu'un de ses ames damnées utilisées pour controller les êtres comme toi,mais je parle en son nom. Durant cette bataille vous périrez tous les deux, vous affronterez un terrible épreuve, mon maître guidé par Bélial qui est le seul être digne de règner sur Aarklash vous écrasera tous. Vous allez subir une terrible épreuve, vous périrez larve que vous êtes.
Falion voulut frapper la créature de son hallebarde mais celle ci disparut avant.
- J'ai peur Falion, qu'elle est cette fameuse épreuve.
Deux silhouettes sombres se détachèrent de la brume, les deux héros reconnurent Azael, la deuxièmre créature était...Karthar zombifié.
- Kar..thar, c'est toi, tu...
- Gamine, par ta faute ton père adoptif a péri, il est temps de répondre de tes actes, Karthar tue la!
Le wolfen zombi se dirigea lentement vers le fiana.
- N'approche pas! cria Falion se mettant devant Salia.
- Tu as une autre épreuve Felion, dit la nécromancienne. Je suis sur que tu meures d'envie d'affronter celle qui a occis tes parents avec tant de plaisir, ton père m'a donné du mal, mais la putréfaction a eu raison de lui, une mort douloureuse si tu veux mon avis.
- Salle chienne, tu vas mourrir.
Falion n'y tint plus et la chargea.

Uriak et Thryos se décidèrent enfin à se montrer. Uriak fit signe à Thryos de le suivre en direction des dolmens, il fallai les protéger à tout prix. Soudain Uriak apperçut Fassar encerclé par ses pantins, il tenait dans ses mains la lame de givre, il avait été contraint de l'utiliser pour ne pas mourrir sous les coups de ses ennemis. Melmoth serrait fermement dans sa main sa lame de carnage, attiré par l'éclat magique de l'épée il avait l'intention de s'en emparer. Uriak ne savait plus que faire.

Les humains les elfes et les peaux subissaient tous les effets du froid. Cependant les scorpions, grâce aux mutagènes qui coulaient dans leurs veines, les inquisiteurs habitaient par la flamme de Merrin et les plus résistants des guerriers parvenaient à supporter le froid. Mais seul les wolfens et les morts vivants y étaient totalement immunisés, et vu le nombre des morts vivants comparés à celui des wolfens la bataille était inégale.
Les sentinelles eurent alors la bonne idée d'invoquer les pouvoirs de l'eau, à une telle température celle ci se changerait instantanèment en glace et causerait de sérieux dégats aux ennemis. Les inquisiteurs complétaient le pouvoir de la glace par celui du feu ce qui faisait éclater les créatures adverses à cause du contraste du chaud et du froid. Mighail vint voir l'une des sentinelles.
- Faites jaillir des arbres au centre que les inquisiteurs les enflammes, les guerriers seront révigoraient.
- Cela n'est pas dans nos principes.
- Vous préférez donc que la nature soit corrompu?
- Soit, que dame nature me pardonne, mes amis si nous voulons suaver Aarklash il va falloir sacrifier une partie de la nature mais celle ci renaitra plus forte après la bataille.
Après avoir appelé à l'aide les pouvoirs de la Terre faisant jaillir des arbres du sol, les inquisiteurs les chnagèrent en brasier, procurant du courage aux guerriers à la peau gercée. Finalement la bataille n'était peut être pas perdu pour les forces de la lumière...


LE GOB DE GOBLAND


"Eeeh ! Ca brûle ! "
Le gob de gobland s'éloigna le plus vite possible de l'arbre qui venait de pousser d'un seul coup, et qui, maintenant, prenait feu.
- Saloperie d'inquisiteurs !!!
Le flan droit de l'armée d'achéron venait de tomber sous les coups des renforts elfes. Les gobs tenaient le flan gauche, mais commençaient à fléchir, brulés par les flammes des dragons, ou étripés par les féroces guerriers wolfens qui les avaient pris à revers.
Il est impossible que tous ces efforts aient été vains.
Devenu subitement enragé, le gob de gobland bondit sur un destrier d'alahan qui passait, fauchant les maraudeurs. Avec une rapidité presque surnaturelle, il trancha deux pattes au cheval, faisant basculer le guerrier d'alahan qui s'écroula à terre. Le gob l'égorgea d'un coup sec, puis s'empara de sa lance de cavalerie, qui était deux fois grande comme lui. Puis, sans reprendre son souffle, il escalada le dos d'un troll et se percha sur ses épaules, afin d'être bien en vue de l'armée des peaux vertes. Il éperonna le troll, qui fonça en beuglant sur les wolfen tranchant en deux l'un des chasseurs, d'un coup de ses terribles manchons de guerres.
Le gob de gobland leva sa lance de cavalerie et se dressa le plus possible. Puis il cria.
"LA VICTOIRE OU LA MORT ! "
La vision de l'un de leur général chevauchant ainsi un troll galvanisa l'armée gob et lui redonna courage. Les fuyards retournèrent au combat, certains trouvant même le courage de charger les terribles wolfens.

Le fer de lance de l'armée des peaux vertes était composé de trois féroces combattants. Il s'agissait de Radium, Vorak, et princesse ork. Les trois guerriers, s'entraidant mutuellement avaient enfoncé les rangs humains et elfes. Ils avançaient inexorablement, tant et si bien qu'ils se retrouvèrent, par excès de zèle, totalement isolés au cœur de l'armée ennemie. Se mettant tous trois dos à dos, ils découpaient tous ceux qui s'approchaient, car ils le savaient : la moindre erreur leur serait désormais mortelle.

Nirhüne jura. Le dolmen était énorme !!! Jamais il ne pourrait le transporter tout seul, et de toute façon, il semblait bien gardé par les troupes d'achéron. Prudent néanmoins, le gob se mit à couvert et banda son arc, bien décidé à embrocher le premier adversaire qui s'approcherai du dolmen.

Pour ajouter le drame à la violence, la grêle se mit à tomber, de plus en plus fort, de plus en plus vite, éteignant les feux sur le champs de bataille et malmenant les combattants.
Une gigantesque tempête éclata sur la plaine glacée.
Les éclairs zébraient le ciel, et des grondement énormes se répercutaient dans les montagnes, comme si les dieux eux même s'étaient mis à livrer bataille. De gigantesque nuages noirs filaient dans le ciel, cachant la lumière du soleil. Il faisait nit en plein jour.
Mais les événements célestes, bien que troublants et dérangeant, n'interrompirent pas la violence de la bataille. La neige se teintait peu à peu de rouge tandis que les guerriers tombaient les uns après les autres.
Le climat fit rejaillir la mana dans l'air, et les magiciens en profitèrent pour donner plus de puissances à leurs invocations. Bientôt de gigantesques élémentaires se dressèrent et s'affrontèrent dans des combats dévastateurs. L'air autour d'eux semblait vibrer, et le vent soufflait en de terribles rafales.

Au cœur de se chaos se déroulait un combat d'une rare violence. Covian et Astaféros usaient de toutes leur énergie afin de surpasser l'autre, sans jamais y arriver. La grèle rebondissait durement sur l'armure des deux guerriers sans même les inquiéter. Les deux bretteurs savaient que ce combat ne se terminerait que par la mort de l'un d'eu. Ils tournoyaient, lançant leurs attaques tout en se défendant. Nul n'osait s'approcher d'eux.

"Allez les boulets, on charge !"
Du haut de son troll, le gob de gobland avait repéré la mauvaise posture de Radium et des deux autres. Ayant pris le commandement de l'armée des peaux vertes, il mena les gobs dans une dernière charge afin de donner un coup de main au général mutant. Les orques s'occupaient difficilement des wolfens tandis que les goblins fonçaient derrière le troll, en direction du centre du champ de bataille, suivant leur chef qui embrochait furieusement tous les ennemis que son troll n'abattait pas. En face, les troupes de la lumière resserrèrent leur rangs afin de recevoir la terrible charge.


FALION


Le grand garde royal fonça à toute allure avec un cri de rage lui venant du plus profond de son être, sur cette chose infâme qui ressemblait vaguement à un être humain.
Celle-ci, fit un sourire ironique en le voyant avancer sur elle tête baissé.
- "Comme ton père…, il mourra de la même manière que son père, stupidement !" marmonna la sorcière en incantant une sorte de sort noir aux assonances plus que malsaine.
Mais un trait lumineux dépassa le colosse, et percuta la nécromancienne de plein fouet. FALION fut surpris et s'arrêta en glissant sur la neige.
Un nuage de neige la dissimula quelques instants. Puis une fois cette couverture naturelle retombée, la vile nécromancienne redescendit un bras en soufflant fortement.
- Mais qu'est ce que...!
- AZAEL, cria le sélénite. C’est moi qui vais t'affronter, laisse ce jeune garçon tranquille! et vient te battre contre quelqu'un qui possède des pouvoirs magiques.
Le guerrier d'ALAHAN se mit en garde et se prépara au combat.
Soudain, derrière lui le cri d'appel de la jeune fianna déchira sa concentration. Faisant volte face avec rapidité, il vit avec horreur que sa protégée avait du mal a s'occuper de son ancien père tombé au main des maitres-pantins d'ACHERON.
Ne se préoccupant plus de sa vengeance personnelle, il fit demi-tour et fonça dans le dos pourrissant du monstrueux wolfen zombi, sa hallebarde sacrée levée et menaçante.
- FALION, JE NE PEUX PAS LE FRAPPER AIDE MOI! continua la jeune femme en esquivant habilement la longue lame de son père, à plusieurs reprise.
Celui-ci arriva au contact et donna un puissant coup de son arme dans le flanc droit de la bête. La lame acérée de la grosse hallebarde rentra aussi facilement qu'une flèche dans une pomme et déchira avec une étonnante facilité la moitié de son torse.
L'ancien wolfen ne dégagea aucun bruit ni aucun grognement, il tourna simplement sa tête à moitié arraché vers celui qui venait de le toucher et frappa d'un revers du bras le soldat humain qui surpris par tant de résistance, valdingua pour le compte au tapi dans la neige rosit par les combats précédent.
Le jeune homme couvert de neige se redressa sur ces coudes et se secoua la tête pour retrouver ses esprits. Le monstrueux zombi ayant délaissé sa première cible quelques temps, avança d'un pas lent vers le ALAHANAIS qui regarda stupéfait la vaste blessure de la créature se cicatriser à vue d'oeil, enfermant sa précieuse arme à l'intérieur même de la bête.
- Par LAHN ! Est-ce ma punition!! murmura t'il.
KARTHAR arriva au pied de FALION et leva bien haut l'énorme lame de chasse qu'on lui avait harnaché sur son autre bras meurtri.
Incapable de faire un mouvement, il cru sa dernière heure arriver et attendit presque le coup fatal, mais une lame traversa une seconde fois le corps de la créature et se retira aussitôt. Terrassé par ce coup qui avait transpercé son coeur il tomba lourdement face contre terre dans la neige, libérant le reste de sang qu'il devait posséder encore.
Le garde leva son regard et aperçut la jeune fianna les larmes aux yeux faire tomber son épée à deux mains au sol, avant de fondre en larmes.
- "SALIA!" laissa échapper à voix basse le guerrier du roi en se relevant à moitié étourdit.
- Il le fallait ..., j'ai du le faire...! pleurnicha la fille au tatouage.
FALION se porta à son côté et la releva avec délicatesse. Il leva ensuite son regard vers le ciel étrangement noir et adressa une prière de remerciement discrète aux dieux qu'il avait renié l'espace d'un moment.
- SALIA vient maintenant nous devons aller sur les lieux du rituel.
La keltoise regarda encore longtemps le corps désormais inerte de son ancien père. Puis forcé par l'insistance de son compagnon, elle détourna ses yeux du cadavre et coura avec son aimé vers les hauteurs du mont AEXEMPLAR.
- "Adieu père" pensa t'elle en séchant se dernières larmes.


NIGTHMARE

Nihrune attendait patiemment caché dans les buissons attendant qu'un ennemie s'approche trop prêt du dolmen pour le cribler de flêches, un bruit dans le ciel lui fit lever les yeux vers le haut, c'est alors qu'il apperçu une quinzaine d'anges morbides dirigés par l'un des deux frères d'Astaferos, le plus jeune surement. Ils voulaient surement passer à la dernière étape, la corruption des trois dolmens, la nuée maléfique s'empara du lourd dolmen tandis que les guerriers squellettes et zombis qui faisaient office de gardes s'écartaient.
- Bien, apportez ce dolmen en haut du mont Aexamplar, c'est là bas que se trouvent les deux autres.
Garshan ne partit pas dans le même direction que les anges morbides, il lui restait une dernière mission.

Covian et Astaferos étaient en sueur, aucun des deux n'osaient tenté de véritable feinte de peur de relacher leur défense, les deux héros étaient épuisés, le combat semblait interminable, soudain Astaferos apperçu le dolmen dans le ciel tiré par des anges morbides, donc Nightmare avait ordonné d'agir maintenant, il décida que ce duel devait prendre fin, il déploya ses ailes et s'envola.
- Désolé mais j'ai à faire, au plaisir commandant!
- Reviens maudit!
L'ange noir se dirigea en direction du sommet du mont Aexemplar. La Lionne vint trouver l'inquisiteur.
- Sir Covian, je n'ai vu ni Falion ni Salia durant la bataille, où sont ils donc passés? nous ne résisterons pas longtemps(la Lionne désigna le brasier), même avec ce stimulant de fortune!
- Je sais dame Laureena, je vais surement vous apprendre quelquechose, Aerix et l'élu des Daïkiness sont partis à leur recherche, je pense que nous devrions tous nous diriger vers le point culminant du mont, l'ennemi s'y trouve déjà, rassemblez tous les hommes valides possibles et rejoignez moi!
- Bien...
Covian fonça vers le sommet, quelqu'un le stoppa, un des semblable d'Astaferos. L'inquisiteur épuisé trouva quand même la force de brandir son épée et de l'illuminer de la flamme de Merrin.
- Encore un de ces maudits hérétiques!
- Calme toi! griffon, je suis Cantaol frère d'Astaferos et trahi de Lahn et des griffons.
- Que me raconte tu là? tes paroles sont indignes, inutile de répandre ton venin sur moi, ça ne marche pas!
- Peut être as tu su quelquechose à ce sujet, le nom de Meneviene t'évoque t'il un souvenir.
- Oui, je me rappelle, une ange, tout le contraire de toi.
- Ne me fais pas rire!
- Je ne crois pas comprendre où tu veux en venir...
- Cele s'est passé il y a plusieurs années déjà, les griffons étaient pris au piège par les scorpions, ils étaient perdu, mais trois anges qui étaient en mission assitèrent à cette scène et décidèrent d'intervenir, une ange du nom de Meneviene était parmi eux.
- Je sais tout ça, j'accompagnais Arkhos, la bataille était perdu.
- En effet mais les trois anges sont intervenus, et vous avez lachement abandonnez Meneviene, vous l'avez laissé mourrir contre l'ennemi, quand j'ai appris sa mort j'ai pris ma décision, suivre mon frère Astaferos. La lumière a trahi ma bien aimée, je me suis vengé en trahissant la lumière.
- Oui Meneviene nous a sauvé d'une mort certaine, elle s'est jetée sur l'ennemi et l'a ébloui de sa lumière, elle l'a combattu vaillament, puis les scorpions l'ont encerclé, les deux anges et nous même étions prêt à intervenir mais elle nous a supplié de partir, mais avant de mourrir elle a dit qu'elle se sacrifiée pour son aimé, mais pas celui que tu étais devenu mais celui que tu étais avant.
- C'est faux, si j'ai trahi Lahn c'est parce que Meneviene a été trahi.
Une voix intérieure parla soudain à l'ange noir, une voix douce est agréable, celle de son aimée. Covian fut soudain aveuglé. Il entendait juste la voix de Cantaol.
- Meneviene c'est toi?
- Oui Cantaol, pourquoi as tu fais ça?
- Je leur ai rendu la pareille, rien de plus, Lahn t'a trahi!
- C'est faux, mon aimé, je me suis sacrifiée, je me suis senti responsable de ton changement de côté, tu n'étais plus celui que j'aimais, ma vie n'avait plus aucun sens, j'ai décidé de consacrer mes derniers instants à faire le bien. Tu as suivi ton frère avant que je meure, bien avant, j'aurais du rester plus à tes côtés...
- Tu...c'est par ma faute que tu t'es sacrifiée, je...
- Je dois partir, maintenant, Azel m'a permis de te parler un instant, tu sais maintenant pourquoi je me suis sacrifié, en fait tu l'as toujours su, seulement tu n'as pas voulu le reconnaitre, si les élus meurent eux aussi, imagine le chaos engendré... Adieu, mon aimé
- que s'est t'il passé? demanda Covian qui retrouvait à peine la vue.
- Meneviene... tu m'as abandonné! le destin m'a maudit, j'assume!

Salia et Falion courraient à perdre haleine, deux nouvelles silhouettes se dessinèrent dans la brume.
- Pas encore une de ces maudites épreuves! s'énerva le capitaine de la garde royale.
- En voila un accueil, dit Aerix.
Il était accompagné d'un elfe.
- Tu es l'élu, demanda Salia au Daïkiness.
Celui ci acquiesa. Aerix parla de nouveau.
- Le temps nous est compté, allons vite au sommet du mont, le rituel doit commencer, tout est en place, il manque juste un dolmen. Cependant Uriak affirme que les troupes de Nightmare tenteront de l'amener, nos arbalétriers attendent cachés pour abbattre les ennemis qui porteront le dernier dolmen.
Une voix sombre les interrompi.
- Qu'ais je entendu?alors on veut nous tendre un piège.
Devant les quatre élus se trouvaient Malkuth accompagné de Garshan.
Garshan parla à son tour.
- De toute manière c'est vous qui êtes tombé dans le piège du maître, vous avez à vos côtés Knedar, elfe akkyshan, expert en déguisement. Celui qui est à côté de vous n'est pas l'élu.
Les trois vrais élus eurent à peine le temps de se retourner, le faux elfe Daïkiness sortit un globe, ils sentirent tout trois qu'ils leur manquaient quelquechose, le globe avait un effet malsain, une parti de leur essence de pureté leur fut instantatnément enlevé. Puis Knedar envoya le globe à des anges morbides qui l'attendaient, ceux ci se dirigèrent vers l'objectif finale.
- Qu'avez vous fait? demanda Falion fou de rage.
Garshan parlé.
- Cet artefact a été confectionné par le maître, il a absorbé une parti de votre essence, puis il l'a corrompu, Knedar a tué le vrai élu après lui avoir oté une parti de son essence également, les trois pouvoirs ont été assemblés et corrompu, le rituel de damnation va commencer. Votre rôle s'arrête ici, ce fut un plaisir.Vois tu Falion, par l'erreur de ton roi vous allez tous périr, si tu n'avais pas été capturé Nightmare n'aurait pas fait de test sur toi et n'auait pas compris comment marchait vos pouvoirs donc il n'aurait jamais pu crée cet artefact, mais le destin en a voulu autrement.
- quoi?! des expériences sur moi!
- Bon, finissons en, dit Garshan agacé.
Six combattants s'opposaient, Malkuth s'attaqua à Falion, Aerix à Knedar et Salia à Garshan.
La keltoise allait se battre de son mieux, l'ange noir dégaina sa rapière, pressé d'en finir. Salia envoya d'abord un violent coup de pied à son ennemi, celui ci tituba, puis se ressaisit, Salia continua un enchainement de coups variés propulsant son ennemi à terre.
- Tu es plus forte que tu en avais l'air.
Il ramassa de la neige au sol et l'envoya à la figure de la fianna, puis se jeta sur elle, la plaquant au sol. Il rapprocha lentement sa lame de la gorge de la jeune femme. Quelqu'un assista à cette scène, Cantaol savait que le trio du mal était chargé de détruire celui du bien. Nightmare avait en fait prévu beaucoup de choses, sauf bien sûr le renforts lions et la 7eme compagnie, mais il avait élaboré l'artefact et avait ordonné à Knedar de prendre la place de l'élu, l'Akkyshan devait en plus d'alimenter le globe obtenir des renseignement sur les défenses des deux dolmens et agir en conséquence, il avait alors trouvé Garshan et Malkuth et leur avait tout dit, Garshan était allé chercher le dolmen, Malkuth avait attendu Garshan et Knedar avait rejoint Aerix en se faisant passer pour l'élu Daïkiness. Cantaol savait tout, il avait assisté à leur conversation puis il était parti à la recherche de Covian, curieusement il avait ressenti le besoin de voir cette scène. Salia allait périr, celle ci se débattait, hurlait, elle était perdu, Cantaol n'y tint plus, il bondit de l'arbre d'où il était caché et perfora le dos de Garshan, celui ci hurla de douleur et se retouran lentement.
- Mon... frère...
Aerix avait tué Knedar qui était meilleur assassin et bluffeur que combattant, il ne restait plus qu'un affrontement, Malkuth contre Falion. Le Crâne comprit que Centaol les avaient trahi, il éjecta son adversaire d'un coup violent, éperonna son destrier d'un noir absolu et parti prévenir Astaferos de la mort d'un de ses frères et de la trahison de l'autre. Personne ne le poursuivit car personne n'en avait la force.
Centaol parlé.
- Il faut vous dépêcher maintenant, avait cette attaque Malkuth a ordonné a ses officiers de prendre les arbalétriers wolfens d'Uriak sur les flancs, à l'heure qu'il est les deux dolmens doivent être sans défense.
- Merci, dit Salia.
Centaol les laissa. Falion, Aerix et Salia se sentaient perdus, après tout l'élu Daîkiness n'était plus, mais ils se hatèrent quand même vers le chemin qui les mènerait à leur destin. Ils courrurent de toutes les forces qui leur restaient, ils purent percevoir au loin ce qui se passait, les arbalétriers étaient morts comme l'avait dit Centaol, au sommet Uriak, Thryos, Covian et La Lionne ainsi que tous les survivants de la lumière empêchaient l'ennemi de s'approcher des deux pierres. Ca y est, le rituel était en marche, de nombreux questeurs apparurent de toutes parts, même d'où ils étaient les trois amis entendaient leurs sombres incantations. Les trois héros s'écroulèrent en même temps comme un seul homme, le froid, les combats, le désespoir, ils se sentaient perdu.
Tout à coup le temps se figea, plus rein ne bougeaient autour d'eux, le froid ne les atteignaient pas, devant eux se trouve une femme à l'allure noble, Falion l'a reconnut.
- Grande Azel!
Il s'agenouilla et les deux autres élus firent de même.
- Héros de lumière, je voulais d'abord vous féliciter pour ne jamais avoir abandonner votre quête jusque là, mais il reste une dernière épreuve. Un autre élu Daïkiness est en vie, c'est un homme arbre, il vous attend au sommet, mais l'incantaion a commencé, Nightmare l'un des plus puissants démons de Belial a trouvé le moyen de faire quelquechose qui me semblait impossible, il va donner vie aux ténèbres. Une créature va apparaître une fois que les trois dolmens corrompus auront été assemblé. Je... Belial lui même m'empêche de vous parler, pour vaincre la créature crée à partir des dolmens... le rituel de pureté...les quatre éléments...banissement.
La froideur revint, les rafales de neige glacèrent à nouveau le trio.
- On les a enfin trouvé!
ils apperçurent Laeel et son dragon ainsi que Mighail.
- Montez tous les trois! s'exclama le Cynwall.
Ils étaient maintenant cinq sur le puissant dragon des cimes, sans lui les trois élus n'auraient jamais eu la force de parvenir où ils devaient se rendre, dans le ciel sombre de grosses bourrasques manquaient de peu de faire tomber les héros. Falion posa une question à Mighail.
- Comment vous en êtes vous sorti?
- Azael et moi même avons été séparé par une bourrasque, Laeel qui cherchait d'éventuels survivants pour défendre les dolmens est arrivé au bon moment. Une chance qu'on vous ai trouvé.

La scène devint maintenant net, les anges morbides dans le ciel tenaient le dernier dolmen, ceux ci le placèrent de telle manière que les trois dolmens forment un triangle, Falion reconnut Kalim, le questeur, il avait participé à son deuxième envoutement, celui ci brandissait vers le ciel le globe qui contenait les essences et il prononçait le rituel de corruption accompagné de la voie de ses frères des ténèbres. Les alentours du mont Aexemplar furent plongé dans l'abyme, des éclairs déchirèrent le ciel. De l'extrèmité de chaque dolmen devenu maintenant noir sombre un portail s'ouvrit d'où s'échappèrent de nombreuses ames damnés qui entrèrent dans les dolmens, les trois dolmens se rejoignirent pour ne former plus qu'une seule chose.
La créature avait pris forme, une énorme gargouille aux yeux rouges perçants étaient nés de l'union de trois dolmens corrompus. Ses crocs était longs comme des poignards, ses griffes était aiguisées comme un scalpel, sa longue queue hérissée de pointes fouettait l'air, la bête mesurée environ six mètres de hauteur.
Uriak hurla:
- Que chacun unisse ses pouvoirs!
La gargouille cracha un souffle noir, provoquant des mutations à ceux qui furent touchés, les pantins tombés durant le combat se relevèrent, désormais les survivants étaient encerclé, si ils étaient encore en vie c'était surement grâce aux dragons mes l'onde de noirceur de la gargouille les avaient grandement affaiblis. Le bête noir battit des ailes, éjectant ceux qui l'approchainet de trop prêts. Le sol se fendait autour d'elle, elle fut séparée de la plupart des combattants, seul restaient face à elle Covian, Uriak, Thryos, deux sentinelles et les passagers du dragon qui venaient d'arriver ainsi que l'homme arbre.
- Son pouvoir est destructeur, cria Covian.
- Et il ne cesse d'augmenter,ajouta Uriak.
En effet la gargouille avait au moins gagné un mètre.
- Nous allons la frapper chacun d'un élément, continua Uriak, Thryos de l'air, Covian du feu,une des sentinelle de l'eau et l'autre de la terre, moi je réciterais les paroles du rituel de purification, et vous les élus vous devrez toucher la gargouille une fois le rituel achevé.
Ensemble les quatre mages appelèrent à la puissance de leurs éléments, si ils voulaient survivre ils devaient former une équipe, la bête fut surprise de la puissance qui la toucha, Uriak commença le rituel, les quatres élus foncèrent en direction de la créature corrompue. Leurs mains s'illuminaient, les branches de l'homme arbre devenaient verdoyantes et fleuris même dans ce climat. La bête les tenaient en respect à l'aide de son orbe de noirceur qui brulait au toucher, mais la foudre, les flammes, l'eau glacée et la roche l'ayant frappé sa protection se brisa. Chacun des élus s'approcha de la gargouille, une puissante lumière se répandit, les ames damnés qui haitaient la gargouille avaient du mal à rester dans les dolmens. La créature obscure lacha un cri et chargea, de sa longue queue elle balaya tous les mages qui ne cessaient de faire pleuvoir des sorts sur elle. Covian fut précipité vers le fond mais il se rattrapa de justesse. Uriak continuait le rituel et lança un regard insistant à Thryos, celui ci comprit que tant que le rituel n'était pas achevé il fallait occuper leur ennemi.
- Tous sur elle, cria l'allié d'Uriak.
La bête cracha une pluie d'épines qui vinrent se planter dans le corps de ses opposants. Les deux sentinelles en perdirent connaissance, Thryos lui même avait du mal a résister et covian n'aurait pas tenu sans sa résistante armure. Ils l'occupèrent encore un peu, puis Uriak conclut le rituel. Falion, Aerix, Salia et l'homme arbre furent gorgés de lumière, tous pointèrent leur main vers l'abbération, celle ci fut frappée de plein fouet par de multiples faisceaux de lumière, elle hurla. Folle de rage elle laissa échapper un grand souffle noir qui enveloppa entièrement Falion qui s'écroula.
- Falion! cria Salia. Mighail, vite, utilisez le banissement.
Celui ci s'executa,tenant des gemmes de lumière dans sa main il appela à l'aide la puissance de Lahn, les ames damnées furent éjectées de la gargouille, celle ci se divisa et disparus dans un cri, les trois dolmens se brisèrent, dégageant une aura de lumière immense,l'élément purificateur avait prit le dessus sur l'élément corrupteur. La chaleur envahit soudain tous les guerriers de la lumière, les morts vivants s'écroulèrent, les dolmens avaient été sacrifié afin que tout Aarklash ne soit pas corrompu. Le rituel s'était effectué, cependant les puissances des ténèbres et de la lumière s'étaient affrontés en eux, la lumière avait prit le dessus mais les dolmens n'étaient plus, la lutte les avait détruit. La plupart des morts vivants avaient été anéantis par la lumière, les autres fuyaient, Aarklash était sauvé. Falion se releva,il était cependant très mal, sa vision était floue, il vit s'enfuir Achéron et ses alliés, pour la première fois il sentit la peur chez les morts vivants. Aerix, Laureena, Covian, Salia, Uriak, Thryos, Laeel, Mighail, tous étaient là.
Covian apperçut Urland, si il n'avait pas retenu les ennemis le pire serait arrivé, la quiètude retomba rapidement sur le pays des glaces, le destin avait tranché, ce n'est pas aujourd'hui qu'il serait décidé si le bien ou le mal règnerait sur Aarklash...


FALION


La vue de ces êtres de cauchemars s'enfuyant réchauffa le coeur du grand garde royal qui essoufflé par tous ces combats passés, remit un genou au sol en prenant de grandes respirations.
Mais une chose anormale se déroula subitement.
- Qu'est ce qui m'arrive je ne comprends pas ! s'inquiéta FALION, en posant une main ganté de noir sur le métal froid du plastron; au niveau du coeur.
Il s'essouffla de plus en plus vite, comme s'il avait fait une course pendant des heures. Puis sans crier garde il ouvrit de grands yeux de surprise et s'affala une nouvelle fois dans la neige.
SALIA ne le vit s'écrouler à cet instant, elle était avec les autres souriant à pleines dents sur leur victoire sur le démon. Mais quand celle-ci se tourna en direction de son aimé, elle le vit allongé de tout son long ne donnant aucun signe de vie, elle perdit sur le champ son sourire et fut paniqué. Tant et si bien qu'elle hurla son nom dans un silence de fin de bataille en se précipitant sur lui.
La fianna le retourna en pleure et enleva son heaume avec précipitation.
FALION ne respirait plus, ne bougeait plus, il était comme mort. La jeune femme demanda l'assistance de MIGAÏL qui malgré son age avancé se porta à son secours.
Arrivé à son chevet il apposa une main sur le jeune homme et incantât une formule de magique.
Une gigantesque colonne de lumière se détacha des nuages au dessus de leurs têtes et se posa délicatement sur le mort. Une sorte d'éclat lumineux l'entoura aussitôt le soulevant du sol à quelques pouces de hauteur. Au même moment le garde royal prit une soudaine et grande respiration, rassurant sa compagne et les spectateurs venu voir la gravité de la situation.
Une sorte de fumée noirâtre s'échappa de son corps et se dissous dans la lumière ambiante. Dès lors le garde reprit une respiration presque normale. La lumière qui l'entourait se dissipa à son tour quelques secondes plus tard et redéposa le guerrier sur le sol neigeux du mont. L'immense colonne de lumière repartit dans les cieux pour disparaître derrière les quelques nuages restant.
SALIA se jeta au cou du garde qui n'avait pas ré ouvert les yeux et le blottit avec beaucoup de tendresse dans ses bras. La LIONNE posa une main sur l'épaule de la keltoise et la félicita sur le guerrier dont elle s'était éprise.
URLAND arriva avec son bras droit et s'agenouillèrent devant le couple humain têtes baissées.
-sir FALION de FIRAEL, pardonnez nos erreurs passées. Nous aurions dû envisager d'autres solutions pour bannir ce démon. Déclara le général en chef des armées d'ALAHAN.
Puis sans attendre une quelconque réponse, il se releva et ordonna à son capitaine de cavalerie de ramasser ce digne soldat d'ALAHAN. S'exécutant immédiatement le chevalier d'URLAND aida le colosse à se relever et l'aida avec la fianna à le mettre sur un destrier.
- Pourquoi, le seigneur URLAND m'a dit cela? demanda à demi conscient le garde royal.
- Je ne sais pas, sir. Peut-être qu'il voulait être en paix avec son âme! lui répondit son homologue ALAHANAIS.
Puis se tournant avec difficulté vers la jeune keltoise, il lui tendit une main fébrile dans sa direction.
- SALIA accompagne moi...!
La jeune fille en rougit et saisit la main de son aimé. Elle acquiesça de la tête et grimpa derrière le guerrier.
La LIONNE s'approcha du jeune couple et saisit le harnais du cheval.
- Sir FALION, vous savez que ce combat n'est pas fini n'est ce pas! je le lis dans vos yeux.
- Dame LAUREENA, j'ai été possédé par lui j'ai agit comme il le désirait, et de cette fâcheuse expérience, je n'ai vue qu'une seule chose; c'est la destruction pur et simple de ce monde. Ce démon est très dangereux et j'ai bien peur qu'il revienne me hanter encore, j'en garde des traces au fond de moi, je le sais! Alors quand vous dites qu'il reviendra, alors oui je vous le confirme, il reviendra à la charge provoquer mort et chaos.
- J'espère que vous serez des nôtre, parce que dans le cas contraire je serais forcer de vous éliminer!
- Dame LAUREENA! S’énerva SALIA.
Le général URLAND leva son épée ancestrale et sonna la retraite vers la capitale du royaume du lion.


URIAK LE SHAMAN


Fassar grimpa péniblement, le chemin raid e et verglacé qui menait au sommet, tout en essayant de se remémorer ce qui venait d'avoir lieu. Dans la confusion de la bataille il avait soudain perçu des cris de rage et d'effroi et une gigantesque forme noire était apparut au sommet des trois collines. Un combat qui avait mis en jeu des énergies magiques impressionantes s'était alors déroulé se soldant par une destruction cataclismique de la créature. En tant que shaman, il s'était rendu compte qu'un grande quantité d'énergie ténébreuses et naturelle s'étaient annihilées faisant imploser les dolmens. Ne sachant à quoi s'attendre il avit montait pour savoir la vérité.
Les morts avaient fui où étaient revenu à la terre. mais bien des leurs en faisaient partie à présent : l'empire le royaume les meutes et leurs alliés elfiques avietn payé un lourd tribu pour leur liberté. Parvenu au sommet, Fassar aperçu une scene qui le desespera: alors que les ténèbres venaient d'être vaincues, Uriak, thrios et Yllion se faisaient face au cours d'une discussion houleuse. Yllion accusait les shmans de n'avoir pas su empécher ce gachis qui les avaient privé des dolmens. Uriak apparement furieux pour la même raison ne supportait pas ces insultes et Thrios, qui rejetait l'autorité de ceux qui ne connaissaietn pas les arcanes s'était rangé de son côté.
Fassar hésita à se montrer, son maître faisait face à une montagne de muscles et nerfs qui se contenait à grand peine; mais il savait bien qu'Uriak aurait céder à la folie des grandeurs et faire un mauvais usage des dolmens. Fassar se doutait cependant que les positions d'Yllion n'était pas les plus pacifistes, et la fragile paix retrouvée pouvait être compromise par ce belliciste.Hesitant, il se demanda s'il ne pouvait chercher de l'aide parmis les alliés de la lumière.
-Uriak crois tu vraiment que je tairais tes manipulations aux autres des nos amis? je le ferais certainement si tu ne me prête pas ton soutien dans la lutte pour la grandeur de notre peuple!
-Yllion la folie te consume, je suis sûr qu'il y a en toi des ténèbres qu'aucune magie ne chassera jamais!
-Uriak a raison Yllion, qu'importae le futurde ces dolmens, ils ont remplis leur office.
-Et les serviteurs de la lumière dans leur armures resplendissantes, hein? Combien de temps nous respecteront-ils pour ce qui vient de se passer avant de tuer au noms de leurs dieux? Ces dolmens ont été confiés aux peuples originels pour lutter contre les ténèbres pas pour la gloire des Baronnies et de l'Empire!
-Comment oses-tu? Tu as privé des meutes entière de leurs chefs afin de t'arroger le droit de punir nos adversaires attisant la haine contre nous! Ta puissance te sera inutile si les Griffons et Alahans voulaient se débarasser de leurs encombrants voisins.
-Justement il faut les attaquer dès maintenant, pendant qu'ils se remttent des batailles de ces derniers jours.
-Tu ne changeras pas notre destin, Yllion.

Fassar entendait la voix de la raison chez les shmans mais savait aussi combien les hommes sont condescendants envers les Wolfens. Yllion pouvait faire cesser cet état de fait. L'épée de givre bourdonna dans sa tête et il la dégaina au cas où...
Soudain le combat éclata et sans y réfléchier Fassar se jeta dans le groupe. Yllion venait de blesser Thryos et Uriak riposta mais l'énergie physique du chef de meut eétait impressionante. Fassar attaqua avec l'épée ce qui fit écarquiller les yeux d'Uriak surpris par l'attaque de son disciple. yllion le renversa et sa lame de chasse creusa profondement la neige durcie par le froid. Thryos dégaina sa propre lame et les deux armes s'entrochoquèrent dans un toubillon de givre. Yllion se prépara à assener le coup de grâce à Uriak et celui-ci perdit toute raison et laissa toute sa magie s'écouler librement.
Les derniers combattants de la lumière restés sur les lieux aperçurent une grande lueur bleutée suivie de cris perçants...

Thrios se relelva et considéra le lieu où se tenait les dolmens avant le comabt final. Il se retourna et eut le souffle coupé : Yllion et Fassar se tenaient légèrement au dessus du sol, leurs corps perforés de milleirs de cristaux de glace qui les retenaient ainsi pour l'éternité, leurs visages empreints de douleur. Il enleva doucement la lame de givre des mains du jeune shaman qui avait péri pour avoir tenu tête à son maître. Celui-ci avait tout de mêm dans les yeux comme une lueur d'apaisement, peut-être d'avoir tenté de défendre ses propres valeurs.
Thryos s'éloigna et vit Uriak redescendant lentement vers la valée; ses pensées sont sombres et sont coeur et désormais froid comme la glace qu'il a toujours aimée.
-Uriak...
-Tout est fini Thryos, laisse moi... Nightmare payera.. un jour
-Cette vengeance sera gratuite, elle ne changera rien.
-Je sais.


LE GOB DE GOBLAND


Nirhüne écarquilla les yeux. Il avait eu la mauvaise idée de suivre la route des anges morbides emportant le dolmen, jusqu'en haut du mont Aexemplar. La haut, il avait aperçu ce que nul gob ne devrait jamais apercevoir. Il lui sembla alors que des événements cruciaux pour le destin d'Aarklash s'étaient déroulés sous ses yeux.
Maintenant la lumière semblait avoir triomphé. Les morts vivants avaient disparus. Seul les troupes d'alahan et du griffon se trouvaient sur les lieux à présent. Ils semblaient se réjouir de leur victoire.
Caché derrière une pierre, Nirhüne banda son arc, visant la fianna.
Mais il ne tira pas. A quoi bon, cela ne servirait plus à rien. Les dolmens avaient été détruits et ne représentaient donc plus de danger pour les peaux vertes.
Nirhüne se glissa furtivement le plus loin possible des troupes de la lumière. Puis, lorsqu'il fut hors de vue, il se dressa, cracha par terre, et s'enfuit en courant, afin de retrouver son armée.

La bataille touchait à sa fin. Les combattants étaient tous exténués, et les troupes de la lumière avaient reculé jusqu'au mont Aexemplar, place qu'ils semblaient mettre un point d'honneur à défendre. Chevauchant son troll, le gob de gobland sourit. Cette fois la bataille se passait plutôt bien. Chargeant, il rejoint Radium, Vorak et Princess Ork, tous trois couvert du sang de leurs adversaires. Radium leva la tête vers lui.
- Qu'est ce que tu fous la haut toi ?
- Je gagne une bataille.
- Allez, on continue, faut les tuer !!!
Soudain le ciel fut éclairé par une lueur magique, qui avait pour source le sommet du mont. Les trois combattants se dévisagèrent, inquiets. A ce moment, la grande majorité des troupes morts vivants encore sur le champ de bataille s'écroulèrent ou s'enfuirent. Des ombres traversaient le ciel, tandis que les goules détalaient. Voyant cela, les quelques troupes de Dirz encore debout opérèrent un repli stratégique, et, se remettant en ordre serré de bataille, quittèrent le champ de bataille.
Les peaux vertes se retrouvèrent seuls face aux troupes d'alahan, du griffon et elfiques. Ceux ci poussaient des cris de joie en voyant la débâcle adverse. Puis ils chargèrent les peaux vertes qui, affolés, tournèrent les talons et s'enfuirent à leurs tours, laissant derrière eux un champ de bataille semblable à un immense charnier.
Quand les gobs arrivèrent enfin à semer leurs poursuivants, ils n'étaient plus qu'une quinzaine. Avec eux, Vorak avait réussi à conserver une dizaine d'homme. La troupe se dissimula dans une caverne pour se protéger du froid, de la nuit et de leurs poursuivants. Radium s'approcha du gob de gobland.
- Bon. . . bah je crois qu'on a perdu là. . .
- Nan, on s'en sort pas si mal.
- Comment ca ?
- Si la lumière avait réussi son rituel, toi et les orques vous seriez déjà morts. De plus, achéron a pas réussi à nous doubler, et il nous reste un petit bout de notre armée. Moi je dis, on s'en tire pas si mal.
- Mouais. . .n'empêche, tout ca pour ca c'est un peu frustrant.

A ce moment un gob entra dans la caverne en courant. C'était Nirhüne. Il se rua vers ses chefs. Son regard avait changé et il avait la tête de celui qui en a vu trop. Le gob de gobland se tourna vers lui.
- alors ?
Nirhüne leur raconta ce qu'il avait vu. Il essaya de n'omettre aucun détail. Quand il eut finit il posa la question qui brûlait les lèvre de tous.
- qu'est ce qu'on fait maintenant ?
Radium grogna.
- J'me casse ! J'en ai ras l'cul de ces conneries. Avec tout ca, je serai sûrement accepté de nouveau à Klüne.
Le gob de gobland sourit.
- Ok. Salut mon gars, et bonne chance.
- C'est ca. Toi de même.
Radium enfourcha son rat et se dirigea vers la sortie de la caverne. Puis il se retourna.
- J'y pense, je connais toujours pas ton nom ?
Le gob de gobland sourit mais ne répondit pas. Ses yeux rouges scintillèrent dans l'obscurité. Radium était décontenancé.
- Tu viens vraiment de Gobland ? Je veux dire. . .cette ville existe vraiment ?
- Ouais.
Tout était dit. Radium éperonna son rat et partit. Dans la grotte, le gob de gobland s'allongea et sourit. Ce n'était pas encore aujourd'hui que la lumière arriverait à éradiquer les ténèbres, il le savait. . .
Nightmare était sûrement encore en vie.


DI STEPHANO


Cela c’était passé si vite et si lentement à la foi, mais enfin c’était fini. Covian se releva et contempla le champs de bataille, partout les troupes de l’ennemi avait fuit, les forces d’achéron était tombée en poussière, Dirz voyant la mauvaise tournure des événement avait tout bonnement abandonné ces alliers et avait fuit la plaine de même pour les peaux vertes qui ont aussi pris leurs jambes à leurs cous. Covian ne pu s’empêcher de sourire, les pertes avaient lourdes mais ils avaient vaincus et c’était une belle victoire, de si de là des elfes et les hommes des différentes nations déambulé en chantant, heureux d’avoir vaincus. Covian avait même entendu un barde chanter une balade qu’il venait de composer sur la bataille.
Gabriel arriva avec la garde de l’inquisiteur et quelques elfes, ils s’inclinèrent et soulevèrent Covian qui fut portait en triomphe au milieu de ces troupes en liesse. Il ordonna qu’on le lâche, puis il se dirigea vers Urland et le seigneurs Laéel. L’inquisiteur pris dans ces bras ces deux amis et tout trois éclatèrent de rire. Il pouvait le dire il était heureux, tout était fini il allé pouvoir repartir, regagner sa patrie et recevoir les félicitations de ces supérieures, il se voyait déjà montant triomphalement les marches du palais papale accompagné de sa garde et de Gabriel qui recevra lui aussi les honneur qui lui sont dues. Covian revint à la réalité et aperçu Dolann, l’exécuteur assit sur une large pierre en train d’aiguiser sa lame. Covian s’avança vers lui et aussi-tôt il se mit au garde-à-vous.
- Repos soldat !
- Oui mon Seigneurs.
- Vous, vous êtes bien battu, vos actions pertinentes et courageuse ont permis au seigneurs Laéel d’avoir la vie sauve et pour cela je vous en remercie.
- Je suis là pour vous servire.
- J’aime votre loyauté, j’ai décidé de quadrupler votre solde…
- Merci Sir.
- et de vous prendre comme garde du corps personnel.
- C’est trop d’honneur.
- Alors vous acceptez ?
- Bien sur je vous protégerez au péril de ma vie.
Puis l ‘inquisiteur s’en retourna, quand une explosion le jeta à terre. Il se releva et vit un peu plus loin d’où venait la détonation. Au sommet de la colline les wolfens en étaient aux mains et déjà Yllion et un jeune shaman gisait sans vie transpercé de dizaines de petites pointes de glace. Partout les loups devenaient agressifs et d’autre combats avaient lieux entre partisans du défint Yllion et du haut shaman Uriak. Non si ils voulaient encor se battre se serait sans eux, déjà les elfes et les troupes d’alahan s’étaient regroupées et s’apprêter à fuir à leurs tour le sinistre champs de bataille. Covian fit de même, il ordonna que l’on sonne le rassemblement et dés que tout fut prêt les quatre armées levèrent le camps. Parmi les troupes les troupes d’Urland Covian pu voir Salia et Sir Falion, il les salua de la mains et au fond de lui il était sur de les revoir. La Lionne, elle, conversé gentiment avec Gabriel et ignora tout bonnement l’inquisiteur. Pour lui en tout cas ils étaient quitte, il laissa de coté la veille rancune. Les quatre host se séparèrent, prenant chacune la direction de leurs pays natales, laissant derrière les wolfens et leurs stupides rivalités.




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