LES HISTOIRES D'AARKLASH



W A T I Z I T ?

"Les histoires d'Aarklash" est une nouvelle écrite à plusieurs, se déroulant dans le monde de confrontation. L'idée est apparue sur le forum du sden (Site De l'Elfe Noir pour les nouveau...su vous voulez l'adresse, il est dans mes liens), à partir d'une idée de Nightmare (un des habitués de gobland). Chacun des écrivain développait son personnage et l'incluait dans la trame générale. Le final est pas mal du tout (vous allez voir...) et je le publierai en plusieurs fois (c'est long a faire ! et puis ce sera plus pratique pour vous...).

Chaque auteur possède une couleur particulère, tout ce qu'il a écrit apparaitra dans cette couleur. Ceci vous permet de savoir toujours qui écrit quoi, voire même de ne lire l'histoire vue que par les yeux d'un seul protagoniste. A chaque fois que le nom d'un personnage apparaitra pour la première fois, cliquez dessus pour en avoir une brève (ou plus longue) description, ce qui vous permettra de vous y retrouver.

Voici les différents écrivains avec l'armée qu'ils représentent :

Nightmare avec les morts vivants

Falion avec Alahan

Di Stephano avec les Griffons

Uriak le shaman avec les wolfens

Selketh avec Dirz

Radium avec les gobs

Princess Ork avec les orks

Le gob de gobland avec ...ben les gobs aussi

OK, vous êtes pret ? Alors bonne lecture...


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NIGTHMARE


Karthar, wolfen de la meute de Kersios, regardait la jeune fiana qu'il avait trouvé il y a de cela vingt ans. Elle n'était qu'une enfant à l'époque et elle avait été déposée par un être mystérieux qui avait regardé longuement le wolfen avant de la déposer devant lui. Il savait que c'était une fille keltoise aux tatouages qu'elle avait sur l'épaule, il la prit et l'amena au village wolfen. Kersios, chef de meute qui bien que hargneux n'était pas ingrat accepta que cette enfant soit adoptée par Karthar, en souvenir des services rendu par les keltois à sa meute. Il avait reconnu son appartenance à la tribu des combattants du dolmen à son tatouage. Cette tribu avait été ravagée et cette enfant qui devait être la seule survivante.
Salia, grandit au milieu des wolfen, et elle devint leur ami. Elle s'était vite habituée à leur coutume et elle se battait avec les jeunes wolfens pour des morceaux de viandes. Le temps avait passé et Karthar vit sa petite protégée grandir, peu à peu elle s'interessa à ses origines et au fur et à mesure il lui dévoilait les exploits de sa tribu.
Soudain le calme fut interrompu, une bande de scorpions s'attaqua aux villages.
- Alerte ,s'écria Karthar!
Tous les wolfens accoururent, même les jeunes wolfens se battaient vaillement. Salia quand à elle était très forte au combat à main nue.
Un puissant guerrier keratis se rua vers elle. Dans coup de vouge il l'a proplusa à terre. La jeune Keltoise se releva et d'un coup de pied dans le thorax elle l'envoya s'écraser contre un arbre. Puis d'une prise elle le propulsa au dessus d'elle. Le guerrier se releva, il n'avait plus d'arme mais il n'était pas hors d'état de nuir pour autant, il souleva la fiana et la serra fort contre sa poitrine. Dans un ultime effort elle se dégagea et d'un bond elle s'agrippa à son cou, d'un retournement voilent elle lui brisa la nuque. Le guerrier s'écroula. Les quelques survivants s'enfuirent.
Un rassemblement eu lieu au sujet de cette attaque. A la fin Salia vint trouver Karthar, elle était accompagné du fils de Kersios, Aerix.
- Que s'est il passé Karthar? pourquoi les scorpions nous ont ils attaqué.
- Notre shaman a été clair il faut trouver Uriak, lui seul pourra nous aidé, va lui demander des précisions.
Les deux amis se précipitèrent dans la grotte du shaman.
- Calmez vous, que désirez vous qui vous fasse tant presser le pas, par yllia.
Aerix s'exprima le premier.
- Grand shaman qu'a t'il été dit au conseil.
- hum, je ne sais pas ci...
- S'il te plait,dis le nous, s'écria Salia.
- Bien, il semble que les scorpions aient tenté de détruire le précieux dolmen d'où nous tirons notre force. Un autre dolmen se trouvait chez ta tribu Salia et nous l'avons pris juste à temps et caché ici. Il éxiste un troisième dolmen, je ne sais où il est. Tout ce que je sais c'est que seul certaines personnes définies peuvent lire les écritures de ces dolmens. Salia demain tu m'accompagneras moi et Kersios iront à la tribu d'yllion où se trouve Uriak qui pourra mieux nous renseigner. Et maintenant reposez vous, le combat a été rude et puis je dois appaisé la douleur des blessés, Yllia nous protège.


Les terres d'Achéron:
Feyd Mantis était devant un cercle démoniaque. D'une voix obscure il commença l'invocation. Le cercle s'enflamma, feyd mantis aller prononcer ses dernières paroles.
- Nightmare, seigneur déchu sort des lymbes de noirceur, afin que tu déchaines ta fureur,
afin que tu répandes ta haine et que le chaos règne, créature de bélial, montre ta puissance bestial.
Le cercle s'embrasa et Nightmare le damné apparut.
- Tu as besoin de mon aide, grand duc.
- En effet, je trouves que ces maudits nains creusent un peu trop profond dans les mines bordant Alahan, il pourrait découvrir des choses génantes. Il faut sans débarasser cependant c'est une grosse armée qui s'est rassemblée et si jamais il arrive au fond de la mine, il ne faut pas qu'il en sorte vivant.
- Bien mais as tu pensé à cette jeune fianna, elle est la dernière.
- Je sais mais les scorpions s'en occupent.
- D'après ce que j'ai vu ils ont échoué et tu connais le pouvoir des dolmens.
- Je ne veux pas qu'il sache qu'Achéron est impliqué la dedans, nous avons trop à faire pour avoir en plus à nous occuper des wolfens. Bien maintenant va! N'oublie pas d'utiliser tes pouvoirs contre les nains.
Feyd Mantis lui tendit un globe noir.
- Beaucoup d'ames y sont enfermés, je pense que cela devrait suffire pour que je demandes tes services.
- Bien, je m'occupe que les nains ne parviennent jamais au bout. Que Bélial t'apporte sa puissance.
- Que Bélial te recouvre de ses ténèbres.
Nightmare sortit. il n'allait pas la jeune laisser la jeune fiana s'échapper.
- Nergal!
Un spectre très grand apparut.
- Oui maître?
- Occupe toi de cette jeune fiana, avec les éventreurs. Moi je vais donner des sueurs froides aux nains la nuit tombée, rien ne doit nous échapper.


URIAK LE SHAMAN


Willon observait les grands prédateurs aiguiser leurs lames et graisser les chaînes qui leur servait en combat avec du suif pour évier leur corrosion. Un frisson parcouru l'échine du jeune guerrier qui ressentait l'exitation qui précedait un partie de chasse. Mais dans ce cas il s'agissait d'un partie de chasse voulue par Yllion... il devait don cen réferer à Uriak le shaman récemmentarrivés dans la meute, et qui se servait de lui pour le prévenir de faits et gestes du bouillant chef de meute.
Lorsqu'il trouva le shaman au pelage de neige, celui-ci se trouvait en conversation avec un Wolfen accompagné d'un humaine tatouée."Et où se trouve votre dolmen à présent?
-Il est toujours sous notre protection, si ces créatures du désert ne s'en sont pas emparé depuis le temps.
-Notre shaman dit qu'il ne sait pas où se trouve le dernier dolmen, le savez-vous?"
Uriak se tut pendant un long moment avant de conjédier les deux arrivants.Willon en profita pour s'adresser à lui : "Vénérable Yllion compte bien investir le fort perdu par les Griffons!
-J'espère qu'ainsi nous élimineront un grand nombre des créature de l'au-delà qui s'y trouve à présent.Mais il y aura peut-être un changement de programme..."
Uriak était inquiet; il avait réussi enfin à retourner la combativité d'yllion contre des ennemis plus dangereux pour les Wolfens, hostiles à toute vie sur Aarkalsh, et voilà que les scorpions cherchaient à s'emparer des trois dolmens une antique source de puissance gardée par les races proches de la nature. Le dernier était aux mains des elfes Daïkinees, mais il ignorait son emplacement actuel. En tous cas il lui sembla que les deux dolmens menacés devraient être rapatriés ici-même, à l'abri des nombreuses troupes que rassemblait Yllion. Uriak partit convaincre le chef de guerre de libérer des troupes pour une expedition très importante...


RADIUM


-approche Radium,tu dois être juger par tes pairs.
dans la salle du conseil de klune la capitale gobeline etait présent les ambassadeurs importants de chaque castes gobelines.
gidzzit et la babayagob représentaient les magiciens,azzoth et becbuzen les soldats et enfin goretzh les mutants.ce fut goretzh qui pris la parole:
-nous membres du conseil de klune nous avons décidé de te bannir de notre cité pour ton echec cuissant de la forteresse banshee.
-mais je n'y suis pour rien...
-silence jeune impudent cria la baba.
-tu ne pourra revenir parmis les tiens que lorsque tu auras ramené le crâne de notre anciens roi édéf qui se trouvait dans notre krak de stilus.maintenant sort banni tu n'as plus ta place ici.
Radium trouvait la sanction démesurer par rapport a sa défaite, il n'etait pour rien ds cette défaite de la forteresse.si ces maudits necros ne lui avait pas tuer les trois-quarts de son armée cette forteresse ne serait + qu'une ruine.
en plus il fallait ramener ce maudit crâne d'édéf qui devait se trouver on ne sait ou maintenant.RADIUM passa ds sa taniere pour rassembler ses affaires et ses sorts puis partis accompagnés de son fidèle rat fungus . mais en sortant de sa taniere il se rendis compte qu'une escouade de chevalier strohm l'attendais.
-nous avons reçu l'ordre de vérifier que tu quittait bien notre cité sale lache.
Radium fut escorté jusqu'au fleuve zokom par des jets de pierre que lancait les gobs sur son passage.
-et bien mon cher fungus il ne nous reste qu'une chose a faire retrouver se crâne et pour cela on va fouiller les ruines du krak.


LE GOB DE GOBLAND


Au fur et à mesure que Radium progressait vers les frontières de No Dan Khar, le paysage devenait de plus en plus sombre et inhospitalier. Le général mutant n'arrivait même plus à sentir l'odeur si familière de la vermine…bientôt il se retrouverait seul dans un territoire étranger…et dangereux.
La peur revenait petit à petit, le conseil l'avait épargné, mais l'avait envoyé droit au casse pipe...et il ne risquait plus que sa vie, il risquait aussi son âme.

"Besoin d'un coup de main ?"

La voix s'était élevée dans la nuit, et semblait venir de nulle part. Radium attrapa l'une de ses nombreuses épées, et la tira lentement et le plus silencieusement possible de son fourreau. Puis il se tourna dans une direction au hasard et dit :
- qui va là ?
C'est alors qu'il le vit sortir de l'ombre.
C'était un lancier gob, ni plus grand, ni plus musclé que ses congénères, mais dont les yeux rouges vifs semblaient détenir une grande malice. Le gob semblait être le chef d'un petit groupe qui suivait, plus loin.

Radium lui jeta un regard mauvais et grogna en exhibant son impressionnante dentition.
- tire toi minable ! Je n'ai plus rien à dire aux gens de ton espèce ! Je suis général, et j'ai été banni de Klüne…aussi je n'ai pas l'humeur de supporter la présence d'une bande de tires laines aussi minable !
- Je sais déjà tout cela…Radium… Je ne viens pas de Klüne, et les décision du grand conseil m'importent peu…Je viens de Gobland…

Radium eut un sourire méprisant.
- Gobland ? Pas à moi mon gars…cette ville est un mythe, une vulgaire utopie qui n'existe pas et n'a jamais existé.
Le gob le regarda longuement, avec un petit sourire sournois.
- Qui sait…De toute façon, ca n'a rien à voir. J'étais, avec mes hommes dans ton armée lors de la défaite de la forteresse banshee. On a perdu beaucoup d'hommes et on a fui quand on s'est rendu compte que la bataille était perdue avant même d'être commencée…
- Sale lâche ! C'est à cause de gars comme toi qu'on à perdu.
Le gob ne prêta aucune attention à ce que Radium venait de dire.
- J'ai moi aussi une dent contre les morts vivants, et j'ai besoin d'alliés puissant. Toi, tu ne feras pas long feu si tu reste seul…
Les deux gobs se toisèrent longuement du regard. Puis Radium prit la parole.
- Suis moi…nous allons au Krak de Stilus… Je prend la direction des opération…
C'est donc ensemble qu'ils passèrent les frontières de No Dan Khar…


DI STEPHANO


Covian porta son regard dans le lointain, les troupes alchimiques prenaient la fuites… plutôt rapidement, trop rapidement aux goûts de l’inquisiteur. C’est étrange songea t’il, les traîtres de dirz sont pervers, vicieux, sadique mes pas lâche ! il ne refuse jamais un beau combat surtout contre leurs ennemi de toujours ! Cela n’avait aucun sens.
Cela faisait plusieurs semaine que l’inquisiteur Covian et sa glorieuse 3eme cohorte traqués une bande d’alchimiste en maraude. Ce matin le rapport des éclaireurs avaient repéré l’arrière garde des traîtres et la bataille c’était engagée dans l’après-midi, a peine ébranlé la ligne alchimique s’était désagrégée pour qu’enfin la bataille se transforme en déroute totale . Ce n’était pas une débandade banal mais plutôt une retraite stratégique comme si il se moquaient de nous, comme si nous ne les préoccupions pas. Il semblaient avoir un but secret, ce n’est pas simplement une bande de pillards comme les autres, plusieurs fois sur notre chemin nous avons découvert les restes calcinés e villages wolfen ou sessaires toujours près de sépultures qui furent profanées, visiblement ces hérétique recherche quelque chose…
- Mon seigneur Covian…
- Oui Gabriel qui y a t’il ?
- Un messager est arrivé pendant l’escarmouche, il demande a vous voir. Il dit que c’est de la plus haute importance !
- Faite le venir tout de suite.
- Bien mon seigneur, votre verbe est mon ordre !
Le guerrier fit le signe u point sur son armure en marque de respect, l’inquisiteur le lui rendit. Covian regarda s’éloigné son second, quel brave cet homme, pensa t’il, toujours en première ligne un vrai défenseur de la vérité, du verbe de Merin. Covian lui était aussi redevable, car c’était ce jeune officier qui l’avait conduit en alahan pour qu’y soit accomplie l’exorcisme. C’est un homme de valeur les dieux lui ont confié un bel avenir, il sera au moins commandeur.
Le messager s’avança, il portait au-dessus de son armure une tunique au couleur de la célèbre 7eme légion d’akkylnie, de plus il portait un médaillions a la livré du commandant Kurt von Grundberg le général en chef des armée de l’est. L’homme lui tendit un parchemin que l’inquisiteur déplia pour en lire le contenu :
« Mon cher ami les nouvelles que je vous annonces ne sont pas vraiment bonnes. Je dois rappelé les 2 cohortes qui vous servait de réserve… de mauvaise nouvelles sont arrivé de l’ouest et il semble que les alahanais ont de grosse difficulté avec les gobs et les assauts répétés des wolfen du fanatique Yllion. Je ma vois donc dans l’obligeance de rappelé ces troupes et de porté secours immédiatement à nos alliers . Malheureusement cela implique aussi le fait que maintenant vous êtes seul en territoire wolfen. Pour l’instant nos médiateur travail encor pour trouver une solution mais vous devez considérer les wolfen comme hostile et ceux jusqu'à nouvel ordre ! En se qui concerne votre mission les ordres sont toujours d’annihiler les hérétique de dirz. Prenez garde a vous…
que la gloire de Merin vous accompagne
Général Kurt von Grundberg »
Soit les ordres sont les ordres, ce dit Covian. Il attrapa le harnais de son cheval et pris le devant de la troupe, puis s’adressa a ses hommes :
« Soldat les ordres sont claires ces hérétique doivent périrent, il en dépend de la sûreté de notre nation ! Cependant je ne peux vous le cacher, désormais nous somme seul ! Pour éviter la perte de temps nous avancerons en marche forcées pour rattraper la nuée alchimique, que Merin soit avec vous ! »
La déclaration terminée le cheval de l’inquisiteur se cabra et tous acclamèrent leurs chef. Covian était un meneur d’homme, ces hommes avaient confiance en lui, il pourrait les mener tout droit dans l’antre de Bélial, toujours il le suivrait.
Les alchimiste n’avaient qu’a bien se tenir, il n’ont aucune chance… mais que cherchait t’il ?


FALION


Cela faisait plus de trois jours que le grand roi des lions n'avait pu trouver le sommeil. Depuis son affreux cauchemar, il n'avait pu résoudre le malaise qui torturé son âme si pure.
Assis sur son trône d'ivoire il regardait le vide en face de lui, pourtant le salut d'un de ces soldats le tira temporairement de sa torpeur.
- ô, grand roi, me voila pour accomplir ma mission.
En face du souverain, un imposant garde royal à l'armure immaculé. s'inclinait un genou à terre et tête baissé devant son maitre.
- connais tu ta quête, sir FALION de FIRAEL! posa calmement GORGYN le lion.
- oui seigneur ! répondit-il avec respect.
- bien, tu partira sur-l'heure pour ratrapper cette cohorte griffon, mais n'oublie pas, tu devras donner ta vie s'il le faut, pour protéger ce commandant COVIAN.
- oui, seigneur mon honneur et la lumière sont mes guides.Continua le soldat d'élite.
- va, maintenant ton équipement et ton suivant t'attendent.
- ...un suivant, seigneur! dit-il surpris en redressant pour la première fois la tête.
le grand lion le toisa de ses yeux fachés mais fatigués.
- ...bien seigneur, il en sera fait selon votre désir. que LAHN vous garde. Termina celui-ci en rougissant de honte.
- que la grandeur de la lumière vous garde aussi noble capitaine.
Le colosse se leva respectueusement et s'en alla vers les grandes portes de la salles du trône.
Au côté du lion d'ALAHAN un conseillé en armure finement ciselé et ouvragé se rapprocha doucement de son suzerain pour lui chuchoter quelques mots à son oreille.
- vous ne lui avait pas tout dit sur les raison de son départ. je ne sais pas si cela est jidicieux.
- ne t'inquiète pas, URLAND, son coeur est pur et son aide de camps de grande valeur. peu m'importe les dires des autres nobles il faut détruire cette aberration né de mon esprit, avant qu'il ne cause un véritable carnage, chez tous les peuples d'AARKLASH.
URLAND ferma les yeux est acquiésca de la tête.
- sinon, pour le front ouest et les attaques répété de ces monstrueux wolfens, que devons nous faire.
GORGYN se massa soigneusement sa longue barbe en guise de réflection, puis répondit à voix haute.
- qu'on m'envoie mon greffier, sur-le-champ! quand à toi URLAND, part pour les territoires du nord et ramène moi le mage du nom de MIGAÏL.
- bien, seigneur. salua commandant en chef de l'armée d'ALAHAN.
d'un salut sommaire le champion du roi se retira à son tourde la vaste pièce.

Devant les marches du palais deux cheveaux caparaconné trépignaient d'impatience. le capitaine de la garde royale essaya de percevoir son suivant sur son destrier, mais le soleil rougoyant du soir le força à placer une main devant ses yeux.
lorsqu'il arriva enfin à voir son compagnon d'arme, il en ouvrit de grands yeux d'étonnement.
- vous,...noble lionne rousse, pardonnez mon irrespect à votre égard!
- suffit, levez-vous maintenant, pour cette mission je suis sous vos ordres. grogna la jeune femme.
FAlion se releva sans plus de forme et se dirigea vers sa monture qu'un page du palais lui gardait. il saisit les lanières de cuir du harnais et d'un geste habile grimpa sur la selle d'un trait.
- Pouvons-nous partir maintenant, s'énerva l'héroïne d'ALAHAN.

Sous le soleil couchant, les deux cavaliers du royaume d'ALAHAN partirent au galop accomplir les desseins de leur roi.


NIGHTMARE


Le seigneur démon était terré dans son antre, Kergelfen, une forteresse souterraine. Autour de lui s'agitaient de nombreux pantins occupaient à piocher et à creuser de nouvelle galerie. Au centre des souterrains se trouvaient une très grande tout noire, devant la porte principâle se trouvaient de robustes minotaures dévoués corps et âme au maître des lieux. Assis sur son trône l'emmissaire de Bélial contemplait son oeuvre. Des fins fonds des souterrains s'échappaient les plaintes des prisonniers enfermés dans les geoles sombres et humides.
Le démon attendait avec impatience le rapport de Nergal, mais avant tout il devait soccuper des nains!
Salia et Kersios étaient désormais fixé sur le lieu où se trouvait le troisième dolmen. La jeune keltoise était pressée de rentrer, pour retrouver Karthar! Après qu'ils eurent salué Uriak, ils s'en allèrent, celui ci leur promit de leur apporter leur soutien dès que possible. Ils partirent pour leur village. le jeune Aerix se posait autant de questions que la fianna.
- Allons nous rencontrer les Daïkiness?
Kersios regarda son fils et acquiesa.
Les deux amis poussèrent un cri de joie!
Après deux longues heures de marche ils parvirent à destination! Soudain quelquechose les alerta, des bruits éclataient en provenance du village, les scorpions tentaient une nouvelle attaque.
Kersios hurla de rage.
- Les maudits, je vais les écraser!
Kersios se rua dans la mélée, laissant les deux jeunes amis sans défense. Salia remarqua quelquechose bougeait près des arbres, qu'est ce que cela pouvait bien être!
- J'ai vu une chose étrange, une sorte d'ombre!
- Qu'est ce que...
Aerix n'eut pas le temps de finir sa phrase, il fut blessé au bras par une étrange lame.
Plusieurs créatures surgirent des bois.
- Des spectres!
L'un d'eux apparut, il était plus grand que les autres et sa peau était rouge sombre.
- Ainsi c'est toi la petite fiana que je dois tuer har har, rien ne sera plus facile.
Salia se rua sur lui et lui asséna un coup de poing. Ce qui le traversa sans rien lui faire. Celui ci éjecta la fiana et se rapprocha d'elle. De toutes ses forces elle lui envoya un coup de pied violent, cette fois ci la créature fut blessée.
- arg, tu vas le payer de ta vie.
Son arme s'enfonça dans la chair de la fiana. celle ci était gravement blessée. Il la souleva prêt à en finir, au loin elle vit un spectre éventrer un wolfen puis plonger sa main à travers son corps pour lui arracher le coeur. Elle hurla. Karthar vit au loin sa jeune protégée dans un état critique, elle était trop loin, il était désespéré, seul un miracle pourrait les sauver. Il était clair que ses attaques n'étaient pas un hasard, les scorpions étaient guidés par un puissant seigneur de guerre et avaient un objectif, et ils risquaient de parvenir à l'accomplir...


DI STEPHANO


Cela faisait plusieurs jours que la colonne marchais sans rencontrer aucune résistance qu’elle soit de la part des wolfen ou de ses misérable alchimiste. La pluie tombait a torrent depuis quelque heure détrempant les tuniques, transformant la terre en boue. L’avance se faisait de plus en plus lente. En milieu de journée la troupe atteint un col, Covian donna les ordres d’avance puis lui et son état major gravir les hauteurs pour avoir une vision d’ensemble de la vallée a venir. Arrivé au sommet Covian scruta dans le lointain, il y avait quelque-chose d’étrange a quelque lieu d’ici, une épaisse fumé noir s’élevée de ce qui ressemblait a un village de primitif. De petite forme s’agitaient au loin, ce n’était ni plus ni moins qu’une bataille. Malheureusement il était impossible de savoir l’identité des protagonistes. Covian se retourna vers ses hommes :
- Bien je veux des précision sur la situation je vous écoute !
- Mon seigneurs, se risqua le cartographe de l’expédition, il semblerait d’après les écrit de saphon le prêcheur que ce village soit wolfen, de plus ce serait un site religieux important.
- Que l’on m’apporte une longue vue je veux savoir de quoi il retourne.
Le capitaine des fusillé s’exécuta, il dévissa l’instrument de son fusil et la tendit a l’inquisiteur. Covian la calla à son masque d’ivoire et scruta l’horizon. Ce qu’il vit lui fit lâché un petit un petit rire sardonique.
- Soit, nous avons de la chance ! J’ai repéré un étendard alchimique, visiblement les wolfens sont en mauvaise posture, nous allons donc leurs porter secours. Une alliance avec ces bêtes sera la bienvenu, de plus nous pourrions en finir avec les traîtres de dirz !
- Quels sont vos ordres monseigneur ? Interrompit Gabriel le second de l’inquisiteur.
- Nous allons avancer en marche forcé puis encercler le village ! Gabriel vous allez prendre quinze de vos meilleurs hommes et vous rendre sur place.
- Il sera fait selon vos désirs seigneurs Covian !
- Surtout ne vous impliqué pas directement, prenez le moins de risques possibles, essayé tout de même de contacté le chef des wolfen, dites lui qu’il a notre soutien !
Sur ceux Gabriel redescendit vers ces troupes et sélectionna une quinzaine d’homme. Ils prirent leurs chevaux et se dirigèrent vers le village. Derrière eux le tambour donnait le pas et l’étendard de guerre fut levé. La force écrasante du griffon était en marche.
Gabriel pouvait entendre au loin les bruits des combats. Lui et son escouade avançait prudemment sur le flanc droit de l’ennemi. Ils traversèrent un petit court d’eau et se retrouvèrent a la lisière d’une forêt. Le vacarme du combats se fit plus clair, soudain ils purent entendre clairement les cris de désespoir d’une femme. La troupe laissa là les chevaux et se dirigèrent au pas de course vers la source de ces hurlement. Arrivé a quelque mètres ils purent voir distinctement plusieurs spectre affronter un nombre plus que réduit de wolfen. Nombre de ses créature gisaient déjà sur le sol atrocement mutilé. Plus terrible encor un grand spectre carmin tenait, dans une de ces main rachitique, une jeune keltoise. Le spectre allait lui donner le coups de grâce. Le sang de Gabriel ne fit qu’un tour :
- Pour Merin sus aux ténèbres !
La troupe chargea les ténébreux. En peu de temps deux exécuteur engagèrent l’un des être éthéré et le taillèrent en pièce. Galvanisé par cette aide inattendu les wolfen reprirent courage et lentement le combat tourna à l’avantage des forces du bien. Les spectre restaient des adversaire de taille, ils massacrèrent de nombreux hommes, on pu en voir un plonger sa lame au travers d’un templier et en retirer le cœur encor chaud avant d’être bannit par un prêtre akkylannais. Deux lancier tombèrent effroyablement mutilés par la lame maudite d’un spectre. Au milieu de ce chaos Gabriel affrontait le spectre rouge :
- Tu ne c’est pas ce que tu fais pauvre mortel ! En intervenant tu t’attire la colère d’acheron, tu a scellé ton destin misérable !
- Silence monstre ! Par Merin je vais te purifier !
A ses mots la lame du serviteur de Merin devint incandescente. Le spectre déposa la jeune femme et fit face à son nouvel adversaire. Le soldat fit un bon et frappa a la taille la créature, cette dernière poussa un terrible rugissement de douleur et fit faire un grand moulinet à sa lame, et frappa . La lame du spectre entama l’armure du brave et pénétra la chaire du soldat. Gabriel fit un pas en arrière, le sang coulait abondamment de sa blessure, un sang noir, cela ne disait rien qui vaille. Le spectre revint a la charge et fit chuter Gabriel. Alors que le monstre s’apprêté à achever le brave templier, ce dernier jeta sa lame qui blessa profondément la créature. Désarmé, blessé, le défenseur de la foie s’attendait a périre glorieusement de la main d’un adversaire qui semblait invincible. Il tira a sa dague et tendis son bouclier près a recevoir l’attaque du spectre
- Rends toi monstre ! Apprête toi a subir le châtiment de Merin !
C’était la voie d’un des exécuteur. S’étend débarrassé des compagnons du ténébreux, les survivant des wolfen et akkylanien avaient encerclé le spectre. La créature poussa un hurlement se retourna et prit la fuite en passant au travers d’un lancier qui s’écroula pris de convulsion. Le spectre disparu dans le bois.
Gabriel se releva, il essuya le sang qui coulait de sa blessure. Deux wolfen se tenaient devant lui. Au loin Gabriel pu entendre les tambours de guerre du griffon. La vraie bataille ne faisait que commencer…


SELKETH


-Encerclez les!
Des dizaines de soldats de Dirz surgirent de nulle part, se ruant sur le village Wolfen. Les hommes-loups surprit par l'offensive n'avaient pas eu le temps de prendre les armes. Une ligne de guerriers de l'aube s'élança au contact de l'adversaire. Mais le meneur des scorpions avait mal évalué ses forces. Les griffes acérées des fils d'Yllia pénétraient l'armure de ses farouches battants.
-Nos troupes sont en train de se faire décimées. Je les ai sous-estimés.
Selketh contemplait le terrible affront, retenant tant bien que mal son tigre, avide de chair. Il fit signe à une silhouette.
-Lieutenant Jarkhan approchez. Il faut utiliser l'élite de Dirz. C'est eux qui décideront du sort de la bataille.
Deux rangées de trois Kératis s'avancèrent.
-A mon signal...Mutagène...CHARGEZ!
Des cris inhumais résonnèrent dans le village. Les clones émettaient des sons étranges, mélange de peine et de haine, peine de leur aspect, haine envers les ennemis qu'il s'apprétait à affronter.
-Jarkhan, cette bataille n'est pas de tout repos pour notre escouade. Je ne veux pas décevoir Arkéon. Avec lui c'est la victoire ou la mort. Cette fianna est aussi importante que les trois dolmens que nous recherchont. Alors il ne faut surtout pas se replier. Si je meurs prend le commandement mais n'échoue pas ou tu payeras.
Selketh disparut avec Orka, son "animal de compagnie". Au coeur du village la bataille faisait rage. Mais l'arrivée des Kératis avait considérablement aidé les Syhars qui possédaient maintenant le surnombre. Dans un recoin du combat, deux hallebardiers, acculés, peinaient à se défaire de trois prédateurs. L'un des Wolfens se retourna, ayant perçut un grognement. En moins de deux secondes sa tête fut arrachée! Orka avit bondi du haut d'un toit et avec uner dextérité assez incroyable avait violemment détaché la tête du reste du corps. Un deuxième loup agonisa sous les multiples assauts des deux soldats de Dirz. Le dernier n'eut pas le temps de comprendre la situation que déjà il s'effondrait, un coup de faux ayant sectionné ces jambes.
-Amenez-le à Jarkhan, murmura Selketh, mais maintenez le en vie. Je vais m'occuper du chef, un certain Kersios.
Ce dernier venait justement de se joindre à la bataille. Avec une habileté déconcertante, il éparpillait du scorpion par-ci par-là. Les Wolfens dans un dernier réflexe stratégique s'était regroupé au centre du village. A bout de force ils luttaient pour leur peuple. L'instinct animal avait repris le dessus, ils tuaient pour SURvivre. A quelques mètres à peine le duel s'engagea.
-Alors c'est toi le fameux Kersios.
-Tais toi misérable! Comment oses-tu t'attaquer à mon peuple?
Les deux adversaires se tournaient autour cherchant la faille dans la défense adverse. Tout à coup le loup porta une estocade. Selketh eut à peine le temps de parer le coup, la lame l'avait effleuré.
-Aux grands mots, les grands remèdes, ricana Selketh.
Il lâcha sa faux et sortit deux cimeterres de sa ceinture. Il fit quelques moulinets tentant d'impressioner son adversaire. Tous deux se toisaient du regard. Et puis un éclair de lucidité! Le Syhar se redressa, ramassa sa faux, jeta un coup d'oeil derrière lui et puis s'enfuit.
-Sale lâche, hurla Kersios.
-Pas lâche, MALIN, répondit Selketh.
A l'orée du bois Jarkhan avait regroupé les troupes et n'attendaient plus que Selketh. Les pertes étaient nombreuses dans les deux camps. Les Wolfens avaient également abandonné le combat, préférant se consacrer au soin des blessés. Enfin le meneur revint.
-Maître, les spectres d'Achéron ont échoué. Ils n'ont pas eu la fianna. Ils auraient même essayé de la tuer.
-Je la veux vivante je leur avait dit, grogna Selketh rouge de colère.
-Mais il y autre chose, ils on fui. Je ne sais pas pourquoi...
-Moi je sais Jarkhan. Les griffons nous ont rejoint. Nous nous replions jusqu'à nouvelle ordre. Nous reviendrons plus tard pour cette keltoise et nous l'aurons.
Samaris reprit sa monture et se mit en marche avec les troupes à travers la forêt...


FALION


A des lieux plus à l'EST, des cavaliers d'ALAHAN se préparèrent à installer leur bivouac au clair d'YLLIA. Dans une sombre forêt au côté de la grande route commerciale de l'OUEST, le couple d'humains fit à la hâte un feu de camps pour éclairer les ténèbres les entourant.
Le campement enfin monté, le garde royal s'assis à proximité du feu puis eguisa lentement sa lame déja accérée de son hallebarde, sans préter plus d'attention à sa compagne de route. la LIONNE ROUSSE, quand à elle, observa un instant le colosse de dos, puis détachant ensuite son arme sacrée de son dos elle s'installa en face de lui en reprenant son observation.
Le regard instant de la demoiselle commença fortement à gêner la concentration du jeune capitaine, provoquant parfois de petits sursaut de sa pierre à éguiser.
- Sir FALION de FIRAEL! parla enfin la jeune femme. Depuis notre départ vous n'avez pas décroché un seul mot à mon égard, puis je en savoir la raison!
le guerrier d'ALAHAN déposa sa pierre dans sa sacoche de voyage, puis retira son grand heaume panaché de rouge.
- Pardonnez mon impolitesse, ma dame, mais les discussions ne sont pas mon fort! répondit-il en rougissant.
Se raclant ensuite la gorge discrétement, il se leva en reprenant son heaume sous le bras.
- Je dois faire le premier tour de garde, ma dame, veuillez vous reposer un peu je vais assurer votre protection. poursuivit le garde en saisissant son hallebarde.
Les trois derniers mots mis hors d'elle la jeune femme rousse, se levant d'un trait elle en guirlanda le pauvre avec virulence, pretextant qu'elle n'avait besoin d'aucune aide ou protection d'aucune sorte et qu'elle savait se débrouiller toute seule depuis toujours.
Ne comprenant pas son attitude il la regarda avec une note de surprise dans les yeux s'éloigner énervé.
-"Mais qu'est ce que j'ai dit encore" murmura le soldat du roi.

Le matin se leva enfin, emmenant avec elle une légère brume qui envellopa les terres et la forêt environnante.
Sortant de sa tente la LIONNE ROUSSE s'étira les membres à la lueure du jour. Puis se frottant les yeux, elle apperçut le grand garde royal toujours assis sur son tronc d'arbre coupé, son arme à ses côtés. Un sourire apparut sur son splendide visage, elle se dirigea lentement vers lui et l'observa pour la seconde fois.
Percevant une présence, l'homme à moitié endormie se redressa d'un trait et chercha rapidement l'individu. là, un rire monumentale et féminin le reveilla de sa semi-léthargie, son regard s'habitua à la lumière du jour et il apperçut enfin l'héroïne du royaume rire en face de lui.
Frustré, il se porta à ses affaires et les pris de rage, toujours sous l'hilarité de sa compagne de route. Il alla ensuite vers son destrier et installa son pactage à l'arrière de la bête.
- C'est comme çà que vous vouliez me protéger! s'exclaffa encore un peu plus le jeune fille.
Le garde royal grogna derrière son heaume et monta sur son cheval.
- Ma dame nous devons partir, vous n'avez besoin d'aucune aide, je le crois alors je vous attends à l'extérieur de ce sous bois dans cinq minutes.
Tirant sur les rennes de sa monture, le soldat d'élite s'en alla de l'autre côté de la barrière naturel du bois et attendit patiement l'arrivé de la jeune fille qui avait perdu son rire subitement.

La porte de la taverne s'ouvrit dans un grincement typique. deux silouhettes pénétrèrent les lieux et se posèrent devant une table, en prenant bien soin évidement de débarrasser celle-ci de l'ivrogne qui l'occupait.
Un petit bonhomme barbu se dirigea aussi vite que ses jambes le lui permettaient devant les deux nouveaux visiteurs.
- Que puis je vous servir ? interrogea le nain en essuyant vite fait de son torchon sale la table de divers détritus.
- Donne nous deux GROGS ainsi que ta tambouille, tenancier. répondit le soldat en armure blanche et finement travaillée.
- Bien mes seigneurs! s'inclina le nain avant de partir dans les cuisines s'occuper de cette commande.
Les deux soldats d'ALAHAN toisèrent les autres occupants de ce taudis, et ceux-ci ne se privèrent pas d'en faire autant.
Pourtant l'apparition de la splendide lame de la jeune femme devant elle, réfreina immédiatement les regards indiscret envers sa personne.
- Ma dame, vous savez convaincre les gens ! dit le garde royal avec un léger humour.
- Suffit, sir FALION de FIRAEL, je n'aime pas ses endroits alors je le montre. marmona la jeune femme qui continuait à observer méchament l'assistance.
Le nain arriva avec son plateau quelques minutes plus tard jusqu'a la table de ses nouveaux clients et leur déposa leur commande.
- Bon appétit! s'enquit-il avant de reculer avec une courbette.
- Hep.. attends une minute. demanda le colosse d'ALAHAN en lui faisant signe de la main.
- Oui, seigneur.
- Tu n'aurrais pas attendu par hasard, si une cohorte de l'empire d'AKKYNALIE était passée dans le coin.
- Oh que si seigneur, il y a environ une journée. C'est un de mes fidèles clients qui me la annonçé. Il parrait que des SYHARS voyagerais sur vos terres et que ceux-ci les pourchassent.
- Bien et dans qu'elle direction ils sont partis? continua le jeune guerrier.
- Vers l'OUEST il me semble.
- Tiens voila pour toi!
Le garde royal lui lança deux piecettes d'or de sa bourse et commença son repas sans plus d'attention. Le nain les saisit au vol et les porta à sa bouche pour vérifier si elles étaient vrai, car jamais il n'avait vue de pièces en or.
Il s'inclina encore plus bas tout en reculant, mais le pauvre buta sur un obstacle imprévu. levant la tête, il vit une bande de gros et grands humains regarder dans la direction des deux soldats d'ALAHAN. D'un geste il poussa le tennacier contre une table et avança jusqu'à celle des ALAHANAIS.
Le chef de la bande posa ses mains violement contre celkle-ci et les toisa avec beaucoup de méchanceté.
Sans peur la LIONNE ROUSSE leva son regard vers ceux du chef.
- Qu'est ce que tu nous veux maraud?
- Votre bourse je crois que c'est évident, non ! et puis toi par la même occasion petite souris.
- Barrez vous de là avant que cette jeune personne ne s'énnerve! complémenta le garde qui continuait son repas.
Un violent rire secoua toute la bande.
- AHAAAHHA! elle est bien bonne celle là! encore un peu et tu nous faisait mourrir de peur.
- Bon léve toi jeune fille que je m'occupe de ton cas.
Une lame de couteau se positionna sous la gorge du garde royal.
- Ils sont à vous, ma dame. En tournant un oeil vers le traitre derrière lui.
- je le vois!
La jeune fille à la chevelure rousse renversa subitement la table et d'un habile coup de pied enfonça les "noisettes" du premier des brigands qui sous le choc tomba évanouhie sur le sol crasseux de la taverne.
Les trois autres vilains sortir tout à coup de longs poignrds de leur ceinturon et chargèrent presque en même temps la grande héroïne du royaume.
Elle esquiva le premier, abattit son poing ganté sur le second et térassa le dernier de sa propre arme. Dés son premier passage il ne restait plus que deux vermines en état de se battre.
- Besoin d'aide s'enquit le garde royal avec la tête de son agresseur inconscient dans un de ces bras.
- Ne me fais pas rire il ne sont même pas bon pour m'échauffer!
L'un des derniers marauds la chargea avec violence son arme en avant, la LIONNE ROUSE lui saisit le bras et avec habileté lui brisa ce dernier en deux, faisant ressortir l'os de ce vil à l'air libre.
Désormais seul le dernier des brigands ne demanda pas son reste et s'enfuit terrorisé.
Tout était rentrée dans l'ordre, quand surgissant de nul part le chef de la bande se jeta dessus la jeune fille avec son couteau devant lui. l'héroïne ne pouvait rien faire et vit sa dernière heure arriver, pourtant le traitre s'éfondra à ses côtés une dague planté dans le dos.
Tournant son regard vers le garde royal celui-ci abaissa son bras et resaisit son énorme hallebarde.
- On a toujours besoin d'aide! dit-il en passant à côté d'elle.
- J'aurais pu m'en défaire toute seule.
- "Mais oui c'est çà" marmona le garde en s'apprétant à sortir de la taverne ravagée.
Soudain un homme rentra en trombe et s'écroula devant ses grèves.
- Un griffon! s'enquit la LIONNE ROUSSE.


LE GOB DE GOBLAND


- un spectre ! un spectre !
Le gob de Gobland se mit à courir le plus vite possible.
(ne pas se retourner. . . surtout ne pas se retourner . . .)
Derrière son dos, il entendait les murmures lugubres et effrayants, communs à toutes les troupes de la baronnie d'Achéron.
(Retrouver Radium. . . vite. . .)
C'est avec soulagement qu'il vit enfin apparaître la silhouette déformée par les mutations de son puissant compagnon de route. En hurlant, le gob de gobland se jeta à couvert. Il entendit distinctement le choc d'un combat, puis plus rien.
Quand il se releva, Radium était debout, le spectre avait disparu. Le rire du mutant s'éleva dans la nuit.
- Ha. . . Misérable pleutre ! Il ne t'en faut pas beaucoup pour fuir !
Une fois de plus, le gob de Gobland ignora la moquerie.
- J'ai vu des choses. . . Il y a eu une bataille pas loin, de nombreuses armées étaient réunies. Il y avait des alchimistes de Dirz, des griffons, des wolfens . . . et puis, ces spectres . . . Il semblerait que Dirz ait perdu la bataille.
- Qu'est qu'ils peuvent bien trafiquer ?
- Aucune idée, mais ça à l'air important…La bataille s'est déroulée dans la forêt en contrebas, je vais aller y jeter un œil.
Radium scella son rat géant.
- Sans moi ! J'ai une mission et je dois m'y tenir, je dois explorer la forteresse, sinon ma carrière de général sera finie à jamais.
Le gob de gobland fouilla dans son sac, il en sorti un petit anneau, parfaitement lisse.
- Prend ça Radium. Avec cette anneau, tu pourras me retrouver en cas de besoin. Il est magique . . .
- OK. J'espère que ca marche ton truc.

Puis Radium éperonna sa monture, et continua sa route, qui menait à l'antique forteresse. Le gob de gobland rassembla ses quelques hommes qui avaient établis leur campement.
- OK les gars, changement de plan : on va voir ce qui s'est passé en contrebas. Une mission d'espionnage ! Si on déclenche les hostilités, on se fera massacrer. . . ca grouille de wolfens en bas !

La petite troupe descendit la colline, profitant de l'obscurité pour se cacher. Le silence était maintenant total. Même les animaux semblaient être partis.
C'est alors qu'ils virent le champ de bataille. Un véritable charnier où s'entremêlaient des cadavres de griffons, de wolfens, de dirz et de morts vivants.
Nirhüne, l'un des compagnons du gob de gobland s'approcha.
- Dis chef, si tu nous expliquais une bonne fois pour toute ce qu'on fout là ?
- Ok . . . Les shamans étaient formels, il se passe dans ce coin quelque chose d'important. Les prédictions parlaient de dolmens, d'une jeune fille, et aussi de morts vivants qui contrôlaient alahan. C'était assez obscur, mais on m'a envoyé pour permettre au peuple gob de tirer son épingle du jeu. L'alliance avec Radium était essentiel : il est puissant et reconnu. Il sera probablement très utile à notre cause.
- Et en attendant, on fait quoi ?
- On observe et on attend : il doit bien rester des survivants dans le coin . . .


NIGHTMARE


Achéron terre des maudits:
Feyd mantis était perplexe, beaucoup de nécromants attendaient ce qu'il allait dire, il s'exprima enfin.
- Je trouves que ces dolmens ne peuvent pas être une puissance importante au point qu'on focalise nos efforts dessus. Il est bien plus important que les infiltrations mort vivantes dans cadwallon grâce à notre emmissaire Drahas parviennent à passer l'avant poste en terres cynwalls.
Un autre nécromant pris la parole.
- Quels sont les pouvoirs à craindre à leurs sujets?
- Peu m'importe les dires du démon,ces dolmens seront de toutes manières détruits par les dirzs et puis...
Il allait continua, quelqu'un l'interrompit.
- Il s'emblerait que le grand duc ne contrôle pas entièrement la situation et qu'il préfère nous le cacher.
Un nécromant venait d'oser couper la parole à Feyd Mantis.
- Qu'as tu dis, imbécile! Cette affaire nous prend trop de temps, laissons la de côté pour l'instant.Et je ne comprends pas pourquoi les serviteurs du bien se focalisent tous dessus.
Soudain le grand duc eut un petit sourire, il avait une idée, une idée qui les feraient tous taire...

Le démon projeta son orbe, il avait tout vu d'ici et il avait compris où voulait en venir Feyd Mantis à la dernière phrase dite.
Bien sûr Achéron pourrait toujours parvenir à ses fins mais les dolmens étaient véritablement un danger. Nergal revenait acompagné des minotaures.
- Eh bien, Nergal il semblerait que tu es échoué.
- Maître, les griffons sont intervenus.
- Attends avant de ressurgir, surprends l'ennemi et achève cette fiana.
- Bien...
Ainsi feyd Mantis voulait que toute l'attention soit focalisée sur les dolmens et ils allaient surement envoyer des troupes mais surement pas pour tuer la fiana, plutôt pour que l'avant poste cynwall soit obligé d'envoyer des renforts prenant l'affaire au sérieux, en effet si une simple fiana attirait tant l'attention d'Achéron c'est qu'elle est importante. Mantis insinuerait d'abord la présence du mal puis s'occuperait plus intensément de l'histoire et ainsi, les cynwalls seraient surpris d'un assaut en force contre leur avant poste. Si la fiana venait à mourrir, Achéron n'aurait plus d'intérêt à continuer ses assauts et les cynwalls retourneraient dans leur avant poste avant même que la baronnie maudite n'est tentée un nouvel assaut. Non feyd Mantis voulait qu'elle vive longtemps mais cela ne se passerait pas comme ça.
La nuit était tombée les nains dormaient dans l'excavation. Soudain deux des trois dirigeants firent un rêve. Dans ce songe le dernier dirigeant nain, kahinir, voulait se débarasser d'eux car il avait fait une découverte qu'il voulait garder pour lui seul. Alors que les deux nains étaient de dos, quelqu'un les assomaient et les amenait dans le dortoir improvisé, les deux nains qui se sentaient traîné distingué vaguement Kahinir. Celui ci s'apprêtait alors à briser les poutres en bois qui soutenait le plafond pour créer un éboulement et tous les ensevelir. A leur réveil les deux avaient fait le même rêve et ils trouvèrent ça tellement étrange qu'ils y crurentd'autant plus qu'ils se retrouvaient mystérieusement dans le dortoir. Fou de rage ils réveillèrent tout le monde accusant Kahinir d'avoir voulu les tuer. Une énorme bagarre écalta.
Pendant ce temps des troupes ténébreuses s'approchaient d'eux...




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